VISITE À KOULIKORO : le Président de la Transition pose la 1re pierre du Complexe multi sport Mali-ARENA

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Ce mercredi 15 janvier 2025, Koulikoro, la capitale du Méguétan, a accueilli une visite mémorable du Président de la Transition, Son Excellence le Général d’Armée Assimi GOÏTA. À cette occasion, une étape majeure dans le développement du sport au Mali a été franchie avec la pose de la première pierre du Complexe multisport Mali-ARENA, à Bakaryblébougou.
Conçu en forme de calebasse, symbole profondément ancré dans les traditions maliennes, Mali-ARENA incarne un mariage harmonieux entre modernité et héritage culturel. Avec ses dix entrées principales, son entrée VIP et sa capacité de 10 000 places réparties sur deux étages, l’arène promet de devenir un lieu emblématique pour le sport national et international.
En intégrant des équipements aux normes internationales : salles VIP, vestiaires, salle de conférences, restaurant, salle de physiothérapie et bureaux fonctionnels ; Mali-ARENA ambitionne de transformer le Mali en une véritable nation de sport.
Lors de la cérémonie, en présence du Premier ministre, du Président du Conseil national de Transition (CNT), et des autorités locales, le Ministre de la Jeunesse et des Sports, Abdoul Kassim FOMBA, a souligné l’importance de ce projet pour le rayonnement du Mali. « Ce complexe répond aux normes internationales et reflète la volonté du Président de la Transition de faire du sport un pilier stratégique pour l’épanouissement de notre jeunesse et le rayonnement de notre nation », a-t-il expliqué.
Mali-ARENA ne se limite pas à sa fonction sportive : il s’inscrit dans une vision plus large de refondation nationale, portée par le Président GOÏTA. En célébrant le sport comme vecteur d’unité, de discipline et d’espoir, ce projet illustre une ambition de long terme : positionner le Mali comme un acteur majeur du sport en Afrique, tout en renforçant son identité culturelle.

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Le Président de la Transition, le Général d’Armée Assimi GOÏTA, reçoit en audience Monsieur Alexandre NOVAK, Vice-Premier ministre de la Fédération de Russie

En visite officielle au Mali, Monsieur Alexandre NOVAK, Vice-Premier ministre de la Fédération de Russie, accompagné d’une importante délégation multisectorielle, a été reçu en audience par le Président de la Transition, le Général d’Armée Assimi GOÏTA. Cette visite s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations historiques et stratégiques entre les deux nations. Le jeudi 28 novembre 2024, Monsieur NOVAK, à la tête d’une délégation composée de six vice-ministres ainsi que de plusieurs chefs de service et dirigeants d’entreprises, a effectué une visite de travail au Mali. Cette mission, qui s’inscrit dans le cadre d’une tournée dans les pays membres de la Confédération des États du Sahel (AES), visait à échanger sur les perspectives de coopération bilatérale entre la Russie et le Mali. Au cours de l’audience avec le Président de la Transition, les discussions ont porté sur des secteurs clés tels que l’énergie, les infrastructures, le transport et l’agriculture. Monsieur NOVAK a exprimé sa volonté de hisser les relations russo-maliennes à un niveau stratégique supérieur. « Nous voulons porter nos relations historiques à un niveau stratégique encore plus élevé », a-t-il déclaré, soulignant également l’importance de la coopération dans les domaines de la lutte contre le terrorisme et du développement économique. Le Premier ministre, le Général de division Abdoulaye MAÏGA, également ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, a salué cette visite en mettant en avant les résultats concrets déjà obtenus grâce à la coopération entre le Mali et la Russie, notamment en matière de sécurité. « La venue de cette forte délégation marque une nouvelle étape pour consolider ces acquis et envisager un avenir commun prospère », a-t-il affirmé. Il a également souligné que cette rencontre renforce les efforts de la Confédération des États du Sahel (AES), une alliance réunissant le Mali, le Burkina Faso et le Niger, en vue d’une mutualisation des ressources et des actions. Cette visite fait suite à la première Conférence ministérielle du Forum de partenariat Russie-Afrique, tenue les 9 et 10 novembre 2024 à Sotchi. Lors de cette conférence, la délégation malienne, conduite par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, avait convenu avec les autorités russes d’accélérer la mise en œuvre de projets de développement et de renforcer les relations économiques et commerciales. Les liens entre le Mali et la Russie, enracinés depuis les indépendances, continuent de s’intensifier, ouvrant la voie à une coopération toujours plus dynamique dans les domaines stratégiques.

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COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 21 JUIN 2023 CM N°2023-26/SGG

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le mercredi 21 juin 2023, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat. Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a : – adopté des projets de texte ; – procédé à des nominations ; – et entendu des communications. AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES Sur le rapport du ministre de la Refondation de l’Etat, chargé des Relations avec les Institutions, le Conseil des Ministres a adopté un projet de loi autorisant le Gouvernement à prendre certaines mesures par ordonnances. 1. Le présent projet de loi est initié en application des articles 74 de la Constitution et 13 de la Charte de la Transition. Il vise à autoriser le Gouvernement à prendre, par ordonnances, des mesures qui sont normalement du domaine de la loi, durant la période comprise entre la clôture de la session ordinaire du Conseil national de Transition ouverte le 03 avril 2023 et l’ouverture de la session ordinaire du mois d’octobre 2023. Le projet de loi adopté habilite le Gouvernement à prendre des mesures nécessaires pour la réalisation de son programme dans les domaines ci-après : – la création, l’organisation et le contrôle des services et organismes publics ; – l’organisation de la production ; – les statuts du personnel ; – les traités et accords internationaux. 2. Sur le rapport du ministre des Transports et des Infrastructures, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation et aux modalités de fonctionnement du Centre national de Recherche et d’Expérimentation en Bâtiment et Travaux publics. Le Centre national de Recherche et d’Expérimentation en Bâtiment et Travaux publics a pour mission de contribuer à la définition et à la mise en œuvre de la politique nationale en matière de recherche et d’expérimentation dans le domaine du Bâtiment et des Travaux publics. Après plusieurs années de fonctionnement, le centre est confronté à des difficultés liées, notamment : – à la concentration des activités du Centre autour des prestations génératrices de revenus en sous-traitance avec les bureaux d’études et les entreprises ; – à la timide réalisation des programmes de recherche due à l’insuffisance de moyens financiers et humains ; – à la non implication du Centre à la vérification de la qualité et de la conformité des matériaux de construction importés et fabriqués localement ; – à la non implication du Centre dans les projets d’envergure nationale ; – à l’insuffisance d’équipement adéquat pour l’exécution de ses missions. Par ailleurs, l’adoption de la Loi n°2019-048 du 24 juillet 2019 régissant les laboratoires du bâtiment et des travaux publics et du Décret n°2022-075/PT-RM du 17 février 2022 fixant les conditions de qualification et de classification des laboratoires spécialisés dans les études géotechniques, au contrôle de qualité des sols et des matériaux de construction exige d’adapter le cadre législatif et réglementaire du Centre au nouveau contexte institutionnel. Les présents projets de texte sont adoptés dans ce cadre. Ils redéfinissent les missions du Centre et l’érigent en laboratoire de référence national en lui assignant de nouvelles attributions, entre autres : – la vérification de la qualité des matériaux de construction et leur mise en œuvre pour garantir la sécurité et la durabilité des infrastructures ; – la contribution au contrôle et à la surveillance des travaux neufs et d’entretien du secteur du bâtiment et des travaux publics pour s’assurer du respect des normes, favoriser la maîtrise des délais contractuels ; – la vérification de la qualité des matériaux conventionnels de construction avant leur mise sur le marché pour contraindre les producteurs et importateurs au respect des caractéristiques normatives et contribuer à la prévention des risques d’effondrement ou de vieillissement précoce des infrastructures ; – l’élaboration de la carte géotechnique du Mali. 3. SurlerapportduministredesMines,del’Energieetdel’Eau,leConseildes Ministres a adopté : – un projet de loi portant Code minier en République du Mali ; – un projet de loi relatif au contenu local dans le secteur minier. La Réforme du secteur minier est une des fortes recommandations des Assises nationales de la Refondation. Elle s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des trois (03) principes édictés par le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Colonel Assimi GOITA et qui gouvernent l’action publique, à savoir : – le respect de la souveraineté du Mali ; – le respect des choix stratégiques et de partenaires opérés par le Mali ; – la prise en compte des intérêts vitaux du peuple malien dans les décisions prises. Dans le but de faire profiter les potentialités minières et énergétiques à l’ensemble de la population, le Gouvernement a engagé une série de réformes dans le secteur minier. C’est ainsi que furent adoptés, successivement les Codes miniers de 1963, 1970, 1991, 1999, 2012 et 2019. L’Ordonnance n°2019-022/P-RM du 27 septembre 2019 a apporté plusieurs innovations. En dépit de ces innovations, il est apparu des insuffisances de fond pour une amélioration substantielle de la contribution du secteur minier à l’essor économique et social. Ces insuffisances portent essentiellement sur : – la faible intégration de l’activité minière à l’économie nationale malgré le contexte favorable marqué par la hausse du cours de l’or ; – le manque d’inclusivité dans la signature des Conventions d’établissement et l’approbation des avenants introduits par les sociétés minières ; – l’insuffisance des moyens de contrôle de l’Etat sur l’exploitation minière ; – les procédures d’ouvertures de comptes offshores ; – la non prise en compte dans la législation minière du traitement de minerai par péage ; – les contraintes liées à un système de convention d’établissement unique qui couvre la phase de recherche et la phase d’exploitation ; – les prises d’engagements par l’Etat sur l’exploitation avant même la découverte du gisement ; – la faiblesse des textes nationaux par rapport au contenu local. Les projets de loi sont adoptés afin d’apporter des solutions aux insuffisances relevées. Ils réaffirment la

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Dr Alhousseyni DIAWARA, Segal de la Présidence

Journée mondiale de lutte contre le Sida : mobilisation renforcée pour la lutte contre le VIH/Sida

Le vendredi 1er décembre 2023, s’est tenue au Centre international de Conférences de Bamako, la cérémonie de célébration de la Journée internationale de lutte contre le VIH/Sida. Ladite cérémonie était   présidée par le ministre Secrétaire Général de la Présidence, Dr Alhousseyni DIAWARA, représentant le Président de la Transition. La manifestation a rassemblé des personnalités telles que le Dr Ichiaka Moumouni KONE du Haut Conseil National de Lutte contre le Sida (HCNLS), le Coordinateur du système des Nations Unies Alain Noudéhou, l’ambassadrice des États-Unis au Mali, Mme Rachna KORHONEN, et la chanteuse engagée Coumba Gawlo SECK, ambassadrice de la lutte contre le sida. En cette Journée mondiale de lutte contre le Sida 2023, la mobilisation contre le VIH/Sida revêt un caractère exceptionnel. Sous le thème évocateur « Confier le leadership aux communautés », cette année marque un tournant décisif vers une implication accrue des communautés dans la lutte contre cette pandémie mondiale. Dr Alhousseyni DIAWARA a souligné la pertinence du thème choisi cette année en mettant en exergue les inégalités persistantes, tant économiques, sociales, culturelles que juridiques, qui ont alimenté la propagation du VIH/Sida au Mali et au-delà. Il affirme que l’éradication de ces inégalités, couplée à un leadership communautaire solide, est la clé pour améliorer la qualité de vie des personnes vivant avec le virus, visant ainsi l’élimination du VIH d’ici 2030 en tant que menace pour la santé publique. Mme Mariam TOURE, Présidente du Réseau malien des personnes vivant avec le VIH/Sida (RMAP+), a souligné les défis persistants, plaidant pour un renforcement des financements destinés aux organisations de lutte contre le sida. Elle a appelé à une augmentation des fonds nationaux pour accroître l’indépendance du pays et a particulièrement insisté sur le dépistage systématique des femmes enceintes pour réduire les naissances d’enfants atteints du VIH. Le Dr Ichiaka Moumouni KONE, Secrétaire exécutif du HCNLS, a mis en lumière l’écart persistant dans la lutte contre le VIH/Sida malgré des progrès notables, appelant à des politiques renforcées pour inverser cette tendance, en mettant particulièrement l’accent sur la transmission mère-enfant. Le Coordinateur des Nations Unies, Alain NOUDEHOU, a exprimé la conviction qu’il est possible de mettre fin au VIH/Sida d’ici 2030 en libérant le potentiel du leadership communautaire. Il a attiré l’attention sur le rôle crucial des communautés dans cette lutte, tout en soulignant l’engagement continu des États-Unis avec le programme « Maintenir le contrôle de la pandémie » au Mali. Le Mali a récemment dévoilé son cadre stratégique national de lutte contre le VIH pour la période 2022-2026, visant à intensifier les efforts de prévention, de diagnostic et de traitement des infections sexuellement transmissibles pour atténuer leur impact sur la population, a rappelé le représentant du Chef de l’État à cette cérémonie. Le Dr Alfousseyni DIAWARA a rappelé que les investissements substantiels du gouvernement, soutenus par l’engagement politique du Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, ont contribué à améliorer la santé des Maliens affectés par le VIH/Sida.

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