Opération ramadan : des vivres et non-vivres remis aux populations de Nara

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Une délégation de la Présidence, conduite par la Conseillère spéciale du Président de la Transition, s’est rendu ce mardi 21 mars 2023, à Nara. Cette visite du colonel Assa Badiallo TOURÉ, accompagnée pour la circonstance du chef de cabinet du Colonel Assimi GOÏTA et du ministre à la sécurité alimentaire, s’est effectué dans le cadre du lancement de l’opération ramadan.
Dans le cadre de ses œuvres sociales, issu de son fonds de souveraineté nationale, le Président de la Transition, SE le Colonel Assimi GOÏTA, ne se lasse point de porter son assistance aux couches les plus vulnérables. Au seuil du mois de ramadan, il a envoyé des émissaires à Nara pour soutenir 200 ménages vulnérables, à travers une remise de vivres et de non vivres. 
Selon les précisions de Daouda DIARRA, Directeur du service du développement social et de l’Economie solidaire, ces kits se composent de 20 tonnes de riz, de 20 tonnes de petit mil, de 10 tonnes de sucre, de 4000 litres d’huile. Ajoutés à ceux-ci 800 cartons de pâtes alimentaires, 200 paquets de Lipton et des dattes.
Chaque ménage a reçu un sac de sucre de 50 kg, un sac de petit mil de 50 kg, un sac de riz de 50 kg, un bidon d’huile de 20 litres, un paquet de Lipton, un paquet de couscous, un carton de dattes et un carton de macaroni.
Quant aux tapis de prières, aux chapelets, aux exemplaires de coran, ils ont été remis au Haut Conseil islamique de Nara à l’intention des différentes mosquées.
Cette opération a concerné toutes les 11 communes de la région de Nara.
Amara DOUMBIA, Gouverneur de la Région, s’est rejoui de ce geste du Président de la Transition à l’endroit des populations de sa circonscription administrative. Tout en remerciant le Chef de l’État, il a rappelé tous les efforts que celui-ci déploie sans cesse pour le bien-être des populations de Nara, depuis son arrivée au pouvoir.
Les bénéficiaires n’ont pas manqué également d’exprimer toute leur joie. Ils ont formulé des prières pour la réussite de la Transition et exprimé tout leur soutien aux autorités maliennes.
Colonel Assa Badiallo TOURÉ, Conseillère spéciale du Président de la Transition, a profité de l’occasion pour exhorter les Maliens à la solidarité et à l’union sacrée autour de la Nation.

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Audience accordée à une délégation de l'Union africaine.

Situation humanitaire : le Président de la Transition a reçu une délégation de l’Union africaine

En mission humanitaire au Mali depuis quelques jours, Mme Minata SAMATE, Commissaire de l’Union africaine en charge de la Santé, des Affaires humanitaires et du Développement social, a été reçue en audience, ce jeudi 9 février 2023, par le Président de la Transition, SE le Colonel Assimi GOÏTA, Chef de l’État. Mme Minata SAMATE a rendu compte au Président GOÏTA des résultats obtenus lors de sa mission à Gao et à Ménaka. L’objectif final de cette mission était d’évaluer comment l’Union africaine pourrait soutenir le Mali. La Commissaire de l’Union africaine en charge de la Santé, des Affaires humanitaires et du Développement social s’est réjouie de la couverture de 30 % des besoins des déplacés par les autorités maliennes. Cette mission, a-t-elle rappelé, fait suite à la visite de Moussa Faki MAHAMAT, Président de la Commission de l’Union africaine, au Mali, la semaine dernière. « Nous sommes ici dans la suite logique de sa mission, en solidarité avec le Mali, en soutien aux autorités de la Transition, dans cette difficulté de la gestion de la problématique du déplacement forcé et aussi une mission d’écoute », a précisé l’hôte du jour du Président de la Transition. Mme Minata SAMATE soutient que cette visite permettra de mobiliser  les États membres de l’Organisation. Car, « la solidarité doit être d’abord africaine. Nous devons être solidaires les uns avec les autres ». Elle a rassuré que cette mission donnera l’occasion, dans quelques jours, de sensibiliser les Ministres, qui auront leur Conseil exécutif et, par la suite la Conférence des Chefs d’État et de Gouvernement, « sur la nécessité de soutenir les pays qui sont en difficulté, dont le Mali, et le Sahel, d’une manière générale en Afrique de l’Ouest ». Le Président GOÏTA a salué cet engagement de l’Union africaine à vouloir soutenir le Mali dans la gestion du déplacement forcé des populations. Il s’est réjoui de cette visite, considérant surtout que les Africains doivent être sur la première ligne dans la gestion des problèmes auxquels leurs peuples sont confrontés.        

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COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU VENDREDI 16 JUIN 2023 CM N°2023-25/SGG

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le vendredi 16 juin 2023, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat. Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a : – adopté des projets de texte ; – et entendu des communications. AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES 1. Sur le rapport du ministre des Transports et des Infrastructures, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte régissant la circulation routière. Les textes législatifs et réglementaires constituant le code de la route comprennent la Loi n°99- 004 du 02 mars 1999 régissant la circulation routière et le Décret n°99-134/P-RM du 26 mai 1999 fixant les conditions de l’usage des voies ouvertes à la circulation publique et de la mise en circulation des véhicules. Dans la pratique, ces textes ont révélé des insuffisances parmi lesquelles on peut citer, notamment : – la non réglementation du transport mixte ; – la prolifération de nouveaux types de tricycles et quadricycles utilisés comme moyens de transport public ; – la non prise en compte des corbillards dans la catégorie des véhicules prioritaires ; – le faible niveau de formation des candidats à l’examen du permis de conduire, dû à l’absence de formation préalable et obligatoire dans un établissement d’enseignement de la conduite des véhicules ; – l’absence de moyens adéquats pour contrôler les dépassements de vitesse ; – l’absence de règlementation relative aux conditions de travail dans les transports routiers, en ce qui concerne les temps de conduite et de repos ; – la centralisation de la commission technique spéciale de retrait du permis et autorisation de conduire ; – la non prise en compte dans la règlementation sur le port du casque des passagers des motocyclettes, des conducteurs et passagers des vélomoteurs, cyclomoteurs ainsi que des cycles ; – la limitation du port de la ceinture de sécurité en rase campagne ; – la non-conformité aux dispositions communautaires relatives à l’harmonisation des normes et procédures du contrôle de gabarit, du poids et de la charge à l’essieu des véhicules lourds de transport de marchandises dans les Etats de l’Union Economique et Monétaire Ouest africaine ; – la non-conformité aux dispositions communautaires relatives à l’institution d’un schéma harmonisé de gestion de la sécurité routière et à l’organisation du système de formation à l’obtention du permis de conduire dans les Etats membres de l’Union Economique et Monétaire Ouest africaine ; – l’absence des dispositifs de signalisation des véhicules à traction animale en stationnement et d’un centre de transformation des véhicules. Les projets de texte adoptés visent à corriger les insuffisances constatées et à renforcer la sécurité individuelle et collective sur les routes à travers, notamment : – l’introduction des sanctions liées aux surcharges des véhicules de transport en commun ; – l’interdiction expresse du transport mixte ; – l’instauration du permis de conduire de la catégorie B1 pour les tricycles et quadricycles affectés au transport public ; – l’extension de la catégorie C aux appareils de levage et de manutention, comme il est prévu pour les engins de travaux publics, les tracteurs agricoles et les machines agricoles automotrices ; – le classement des corbillards dans la catégorie des véhicules prioritaires ; – l’instauration de la formation préalable obligatoire des candidats à l’examen du permis de conduire dans un établissement d’enseignement de la conduite des véhicules ; – l’institution d’une formation complémentaire pour les conducteurs professionnels ; – la déconcentration de la Commission technique spéciale de retrait du permis et de l’autorisation de conduire au niveau des régions ; – la règlementation du temps de conduite et de repos ; – la fixation de la vitesse maximum sur autoroute à 120 km par heure et l’institution d’un système de contrôle de la vitesse par radar ; – l’introduction du contrôle du taux d’alcoolémie et de celui du taux de consommation de la drogue ; – l’élargissement de la règlementation du port obligatoire du casque aux passagers de motocyclettes aux conducteurs et aux passagers des vélomoteurs, cyclomoteurs et des cycles ; – le port obligatoire de la ceinture de sécurité pour les conducteurs et les passagers de véhicules équipés de ceinture ; – la soumission des motocyclettes, tricycles et quadricycles au contrôle technique. 2. Sur le rapport du ministre de l’Economie et des Finances, le Conseil des Ministres a adopté un projet de décret portant reconnaissance du caractère extraordinaire de la crise énergétique. Les conditions difficiles de production ainsi que les difficultés d’accès à l’énergie sont des évènements qui ont abouti à une crise énergétique. La Société Energie du Mali, qui a pour mission la mise en œuvre du service public de l’électricité, a des indicateurs de performance financière fortement dégradés depuis plusieurs années qui ne favorisent pas les investissements conséquents pour faire face à la demande croissante. Cette dégradation des indicateurs est due essentiellement au fait que le kilo watt heure d’électricité produit à 140 francs CFA est vendu à 100 francs CFA, soit une perte de 40 francs CFA par kilo watt heure produit. Pour faire face à cette situation, le Gouvernement a adopté en mars 2022, un Plan de Redressement de la société Energie du Mali accompagné d’un plan quinquennal d’investissement sur la période 2022-2026 dont la mise en œuvre requiert l’accompagnement et le soutien de l’Etat. Le projet de décret adopté vise à reconnaître le caractère extraordinaire de la crise énergétique pour permettre d’accorder, à la Société Energie du Mali, des exonérations fiscales et douanières pour l’acquisition de certains biens et services dans le cadre de la mise en œuvre du plan d’investissement 2022-2026. 3. Sur le rapport du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation et aux modalités de fonctionnement de l’Institut national de Recherche sur la Médecine et la pharmacopée traditionnelles. La médecine traditionnelle est l’ensemble des connaissances et

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Le Président de la Transition reçoit une délégation de parlementaires du Burkina Faso

Le Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Chef de l’État, a reçu en audience, le mardi 08 octobre 2024, l’honorable Ousmane BOUGOUMA, Président l’Assemblée législative de Transition du Burkina Faso, en visite d’amitié et de travail dans notre pays. La délégation de parlementaires Burkinabés, en séjour dans notre pays pour participer à l’ouverture de la session d’octobre du Conseil National de Transition du Mali, est venue rendre une visite de courtoisie au Chef de l’État. La Mission est composée de parlementaires et d’un staff administratif. L’occasion était bonne pour le Chef de la délégation, l’honorable Ousmane BOUGOUMA, de rendre hommage au Chef de l’État tout en lui réitérant l’accompagnement du peuple Burkinabé pour la réussite de la Transition. L’honorable BOUGOUMA a également fait le point des différents échanges qu’ils ont eus avec les personnalités rencontrées et fait part de leur satisfécit. Pour sa part, le Président de la Transition a remercié les parlementaires pour l’intérêt qu’ils portent au Mali et pour leur accompagnement.

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