Dans le cadre des œuvres sociales du Président de la Transition, l’équipe en charge des œuvres sociales a procédé, ce samedi 31 décembre 2022, à la remise de 03 véhicules, deux forages,35 tricycles,100 kits alimentaires, 5000 casques, deux imprimantes et un lot de papier braille au profit des élèves et étudiants du Mali et l’Union malienne des aveugles.
Cette cérémonie s’est déroulée en présence du ministre en charge de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, de plusieurs membres du gouvernement, du gouverneur de la région de Koulikoro, et du directeur du centre national des œuvres universitaires.
Après les mots de bienvenue du Chef de village de Kabala, M. Soiba Traore, le Recteur de l’université de Kabala, Pr Koniba Traore, a indiqué que cette journée mémorable sera gravée dans les annales de l’histoire de l’enseignement supérieur, par la taille et l’envergure des dons reçus qui sans doute vont contribuer à améliorer les conditions de vie dans le milieu universitaire et scolaire a-t-il poursuivi.
Quant à Siriman Niare, Secretaire Général de l’Association des Élèves et Étudiants du Mali (AEEM), il estime que le soulagement est grand, à la réception de ces matériels, gracieusement offert par le Chef de l’Etat.
Selon le SGAL de l’AEEM, cet élan de solidarité du Président de la Transition à l’égard des élèves et étudiants du Mali et particulièrement à l’égard des personnes vivants avec un handicap, démontre encore, au-delà de son leadership apprécié de tous, la compassion et l’humanisme qu’a le Chef de l’Etat à l’égard de chaque Malien et malienne, des villages les plus reculés jusqu’aux grandes villes, sans une distinction aucune.
C’est pour moi, le lieu d’adresser au Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, les vifs remerciements de l’ensemble des élèves et étudiants du Mali, a-t-il ajouté.
La conseillère spéciale du Président de la Transition, Colonel Assa Badiallo Toure a exhorté les bénéficiaires à faire bon usage du matériel. Elle a par ailleurs, invité les jeunes à faire du milieu universitaire et scolaire, un cadre à hauteur du Mali que nous souhaitons

Coopération tripartite : Signature de la Charte du Liptako-Gourma instituant l’Alliance des États du Sahel
Le Président de la Transition, Son Excellence, le Colonel Assimi GOITA, Chef de l’État, et ses homologues du Burkina Faso et du Niger ont signé, le 16 septembre 2023 au palais de Koulouba, la Charte du Liptako-Gourma, qui institue l’Alliance des États du Sahel (AES). La coopération entre ces trois pays vient de se renforcer davantage avec la naissance de l’Alliance pour le Sahel, à travers la signataire de la Charte du Liptako-Gourma. Cette Convention qui s’appuie largement sur le volet diplomatique dans son fonctionnement a été signée par le Chef suprême de la diplomatie malienne en présence de l’Ambassadrice du Burkina Faso auprès de la République du Mali ; du ministre de la Jeunesse, des Sports, des Arts et de la Culture du Niger, représentant le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et des Nigériens à l’Extérieur. Selon les parties contractantes de cette Charte, la naissance de l’Alliance des États du Sahel est un signal fort pour la préservation de la souveraineté des trois États. Elle entre surtout dans le cadre de la perspective panafricaniste de ces États. Le Mali, le Burkina Faso et le Niger sont trois pays confrontés aux mêmes réalités politiques, économiques et sécuritaires. Ils sont animés également par les mêmes aspirations, à savoir la souveraineté et l’assistance à leurs populations. C’est ce qui motive la mise en place de cette Alliance qui vise à avoir une solution commune aux maux dont souffrent ces États. Le Président de la Transition, le Colonel Assimi GOITA a donc laissé entendre : « Nous ne pouvons plus faire semblant étant donné que nos pays sont confrontés aux mêmes réalités. Nous n’avons plus d’autre choix que de résister ». Après les discussions ayant conduit à la mise en place de cette Alliance, ouverte à tout État désireux de devenir membre du regroupement, les trois États disposent désormais d’un acte juridique encadrant leur coopération. Il s’agit alors maintenant de passer aux actes concrets sur le terrain. Mais avant, il convient d’intensifier la « communication afin de bénéficier de l’adhésion de nos populations ». La crédibilité de cette Alliance sera à l’aune du degré d’engagement de tous les États signataires.


