Mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion: le Chef de l’Etat soutient les veuves et orphelins des Forces de défense et de sécurité

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Dans le cadre de la quatrième semaine de l’édition 2024 du mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion, une délégation des œuvres sociales du Président de la Transition, SE le Général d’Armée Assimi GOÏTA, conduite par M Aguibou Dembele a participé à une journée de remise de vivres au camp du Génie militaire de Bamako.
Au cours de cette journée, 100 kits alimentaires, composés de sacs de riz, de sacs de sucre, des bidons d’huile et une quantité importante de pâtes alimentaires ont été distribués aux familles de militaires et paramilitaires tombés pour la patrie.
Le Conseiller spécial du Chef de l’Etat a appelé les femmes des camps à l’entraide et à un élan de solidarité pour faire face aux difficultés quotidiennes.
Mariam Malle, bénéficiaire de kits alimentaires a remercié le Président GOÏTA pour son engagement et pour son souci constant pour le bien-être des veuves et orphelins des FDS. Elle a ensuite formulé des prières pour le Chef de l’Etat.
Le Conseiller spécial du Président de la Transition a félicité le direction du Service Social des Armées pour leur engagement envers les femmes et enfants de l’Armée malienne.

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SOLIDARITÉ : Le Général d’Armée Assimi GOÏTA au chevet des enfants du Village SOS Sanankoroba et des familles démunies

Dans le cadre de ses œuvres sociales, Son Excellence le Général d’Armée Assimi GOÏTA, Président de la Transition, a fait don, le vendredi 28 février 2025, de 150 kits alimentaires au Village SOS Sanankoroba. Chaque kit comprend 50 kg de riz, 50 kg de sucre, 5 kg de pâtes alimentaires et un bidon d’huile de 5 litres. Le même jour, 300 familles démunies des localités de Bougouni et Ouélessébougou ont également bénéficié de ces denrées de première nécessité. Ce geste vise à soutenir la direction du Village SOS Sanankoroba dans la prise en charge des enfants pensionnaires et à soulager les familles vulnérables, en particulier durant cette période de jeûne. À Ouélessébougou, le représentant du Chef de village, M. Daba SAMAKÉ, a salué l’initiative du Président, la qualifiant d’acte de bienveillance et de solidarité exemplaire. Mme Sira SANOGO, une bénéficiaire, a tenu à exprimer sa reconnaissance en soulignant l’impact positif de cette aide, notamment pour les veuves de militaires, qui traversent des moments particulièrement difficiles. De son côté, M. Amadou SOÏBA, Directeur du Village SOS Sanankoroba, a rappelé que l’établissement accueille actuellement 58 filles et 56 garçons. Il a mis en avant le rôle crucial des mamans SOS, des tantes SOS, des éducateurs et des assistantes sociales dans l’encadrement des enfants. Il a également plaidé pour que ces œuvres sociales bénéficient aux autres Villages SOS du pays, notamment ceux de Kita, Kayes et Mopti. « Ce don est une contribution précieuse qui vient renforcer la participation locale à la prise en charge et au bon fonctionnement du Village », a-t-il affirmé. Mme Assétou FANÉ, maman SOS, a également salué le Président pour cette action généreuse, rappelant qu’il avait déjà offert un forage et des vivres au Village SOS Sanankoroba. Lors de la cérémonie, M. Aguibou DEMBÉLÉ a souligné la volonté du Chef de l’État de soutenir les plus fragiles. « Dans le cadre des œuvres sociales du Président de la Transition, Son Excellence le Général d’Armée Assimi GOÏTA, nous procédons aujourd’hui à la distribution de kits alimentaires composés de produits de première nécessité. Ces denrées visent à soulager les familles durant cette période de jeûne et à leur apporter un peu de réconfort. Pour le Village SOS Sanankoroba, il s’agit d’un coup de cœur pour ces enfants qui sont chers au Président Assimi GOÏTA », a-t-il indiqué. Par ailleurs, M. Aguibou DEMBÉLÉ a exhorté les Maliens à cultiver, en cette période, les valeurs d’entraide et de solidarité pour le bien-être de tous.

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Présentation du rapport d’audit minier au Président de la Transition

Les cabinets Iventus et Mazars ont présenté, jeudi 23 mars 2023, au Président de la Transition, SE le Colonel Assimi GOÏTA, Chef de l’État, leur rapport d’audit du secteur minier au Mali. Les conclusions auxquelles ces experts sont parvenus montrent une nécessité pressante de réformes du secteur des mines au Mali. Depuis des mois, une trentaine d’experts travaillent sur l’audit minier au Mali, avec comme objectif, trouver des voies et moyens afin que « l’or brille pour les Maliens ». En collaboration avec une équipe technique basée au ministère de l’Économie et des Finances, les cabinets Iventus-Mazars ont relevé beaucoup d’anomalies dans le secteur de l’exploitation minière au Mali. Il ressort de cet audit, un constat peu reluisant selon M. Mamou TOURE, Coordinateur des cabinets Iventus-Mazars, qui souligne l’existence d’énormes problèmes, voire d’irrégularités, dans le secteur minier malien. Des problèmes se rapportant notamment au non-respect des lois en vigueur dans le domaine. Face à de telles situations, les experts recommandent des améliorations, surtout en ce qui concerne les méthodes utilisées dans l’exploitation minière. Pour faire de cette activité un véritable tremplin économique pour le Mali, des réformes institutionnelles sont indispensables. C’est pourquoi, il convient, selon les précisions du Coordinateur d’Iventus-Mazars, d’exiger le rapatriement des devises d’exploitation conformément à la réglementation en vigueur. Rappelant les trois principes qui guident les actions publiques au Mali, le Ministre de l’Économie et des Finances, M. Alousséni SANOU, a indiqué que l’une des préoccupations majeures des Maliens lors des Assises nationales de la refondation, étaient de savoir si un jour l’or pourrait briller pour le Mali et les Maliens. Il rassure donc que grâce aux conclusions de cette étude, l’espoir est permis. Cet audit a été mené suivant les instructions du Président de la Transition quant à la mise en place de mécanismes pouvant permettre au Mali de pleinement profiter de l’exploitation de son or. Cette mission d’audit a été conduite à la suite d’un appel d’offres international ouvert à l’issue duquel le cabinet malien Iventus, en collaboration avec le cabinet Mazars ont été retenus. Selon le Ministre SANOU, ces cabinets ont travaillé avec l’ensemble des 15 mines en exploitation présentement au Mali, avec une équipe technique basée au ministère de l’Économie et des Finances. Un plan de mise en œuvre de toutes les recommandations issues de ce rapport est attendu au prochain Conseil des ministres.

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Le Président Bah N’DAW lors de la 50ème session du Conseil des Ministres de l’OHADA : « Partout où règnent la paix et la sécurité, le commerce prospère ».

Le Président de la Transition SEM Bah N’DAW a présidé, ce mercredi 24 mars 2021, la 50ème session du Conseil des Ministres de l’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA). La rencontre qui a enregistré la présence du Premier ministre Moctar OUANE, ainsi que d’autres ministres des pays membres de l’OHADA, était une occasion pour le Chef de l’Etat de signifier l’importance que notre pays accorde à l’organisation, dont le Mali est d’ailleurs membre fondateur. Le Président Bah N’DAW dans son allocution d’ouverture des travaux a mis l’accent sur les défis sur lesquels achoppe l’OHADA, notamment l’amélioration des ressources propres de l’Organisation, ainsi que la régularité et la ponctualité des contributions des Etats membres au budget de l’OHADA. « Le Mali est un membre fondateur de l’OHADA et sa présence assidue ainsi que l’acquittement régulier de ses devoirs envers notre organisation commune attestent, s’il en était encore besoin, de l’importance primordiale que nous lui accordons », a assuré le Chef de l’Etat, pour qui, l’OHADA est d’abord et avant tout un instrument de promotion de l’unité africaine à laquelle le Mali est plus que jamais attaché.   Selon le Président N’DAW, l’idéal de panafricanisme que porte l’OHADA a une résonance particulière en terre malienne. « Mon pays étant de ceux qui pensent que l’intégration et la coopération entre pays africains sont essentielles au développement du continent et sont de nature à relever les défis contemporains de sécurité, notamment le terrorisme, le blanchiment de capitaux et de criminalité transnationale organisée et d’assurer l’essor socioéconomique« , a précisé le Chef de l’Etat. Pour lui, le terrorisme est une menace imminente pour la stabilité économique et la paix dans le monde. « Il est à l’antipode des principes qui gouvernent les normes économiques, entame la crédibilité du système financier, valeur chère à l’OHADA car partout où règnent la paix et la sécurité le commerce prospère« , a ajouté SEM Bah N’DAW. Outil de promotion de l’unité africaine, « l’OHADA est également et incontestablement un moteur de développement de l’Afrique« , a assuré le Président N’DAW. Avant d’ajouter : « Les grandes réalisations enregistrées dans l’affermissement de l’Etat de droit économique en Afrique subsaharienne ces deux dernières décennies l’ont largement été grâce à l’oeuvre de l’OHADA, il est par conséquent de notre responsabilité d’oeuvrer à la pérennisation de ce précieux outil pour ce faire , il convient d’abord de capitaliser les très importants progrès enregistrés en terme de gouvernance pour mériter dans la confiance de nos partenaires, ensuite il y a lieu pour les Institutions de l’OHADA de travailler à l’amélioration constante de leur ressources propres de façon à alléger progressivement le fardeau de la charge contributive de nos concitoyens et de nos Etats déjà confrontés à de nombreux autres défis », a recommandé SEM Bah N’DAW. Pour lui, nous ne devons pas oublier que c’est la responsabilité première de nos gouvernements que de s’assurer de la disponibilité des ressources nécessaires au fonctionnement régulier de l’organisation. C’est pourquoi, il invite les membres du Conseil des Ministres à prendre leurs responsabilités pour que les présentes assises débouchent sur des positions fortes à même de garantir aussi bien la régularité que la ponctualité des contributions des Etats membres au budget de l’OHADA.  

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