Prière de l’Aïd El Fitr : le Président Assimi GOÏTA place la paix, la solidarité et la souveraineté au cœur de son message

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Le Président de la Transition, Son Excellence le Général d’Armée Assimi GOÏTA, Chef de l’État, a accompli la prière de l’Aïd El Fitr, ce dimanche 30 mars 2025, au Palais de Koulouba, entouré des membres du Gouvernement, de son Cabinet, du Secrétariat général de la Présidence, ainsi que du Président du Conseil national de Transition. Des diplomates accrédités auprès de la République du Mali étaient également présents.
Dans son sermon, l’Imam Abdourahmane TOURÉ de la mosquée de Koulouba a prêché les valeurs de pardon, d’humilité, de soumission à Dieu, tout en rappelant les vertus du jeûne pour tout musulman aspirant au bonheur. Des prières ont été dites pour la paix, la stabilité et l’autosuffisance alimentaire du Mali ainsi que pour la sécurité et l’économie.
Après la prière, le Président de la Transition a accordé une interview à la presse dans laquelle il a adressé ses vœux les plus chaleureux à l’ensemble de la communauté musulmane du Mali, des pays de l’AES, et à la diaspora malienne.
Il a salué l’esprit de solidarité développé tout au long du mois de Ramadan, exhortant les Maliens à préserver cet élan. Le Chef de l’État a également placé la paix et la stabilité du pays au cœur de son intervention. Il a aussi insisté sur l’importance d’une résilience collective pour l’émergence du Mali.
Son Excellence le Général d’Armée Assimi GOÏTA a enfin mis en perspective la décision de décréter 2025 « année de la culture », en insistant sur sa portée stratégique. La culture est l’arme douce de notre souveraineté. Être culturellement souverain, c’est être intellectuellement libre, économiquement autonome, et socialement uni.

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Rencontre ministérielle à Bamako : le Président de la Transition donne des orientations aux ministres des Affaires étrangères

Le Chef de l’État, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Président de la Transition, a accordé une audience le vendredi 1er décembre 2023 aux ministres des Affaires étrangères des pays membres de l’Alliance des États du Sahel. L’objectif de cette rencontre était de présenter les résultats des travaux de la rencontre de Bamako et de solliciter les conseils et orientations du Président de la Transition. À l’issue de l’audience, deux ministres ont partagé leurs impressions avec la presse : le ministre des Affaires étrangères du Burkina Faso et celui du Niger. Dans son intervention, Olivia Ragnaghnewende ROUAMBA, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur, a souligné que lors de cette première réunion ministérielle de l’Alliance des États du Sahel à Bamako, la délégation ministérielle avait élaboré des documents. En raison de leur importance, ces documents ont été présentés au Président malien de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA. La délégation a profité de l’occasion pour solliciter des conseils et des orientations afin de finaliser lesdits documents. Au cours des discussions, l’accent a été mis sur les trois axes principaux que le Président malien de la Transition désigne comme les trois D : la Diplomatie, la Défense et le Développement. Ces éléments fondamentaux doivent caractériser l’Alliance des États du Sahel. Olivia Ragnaghnewende ROUAMBA a expliqué : « Nous avons formulé d’autres aspirations sous forme de recommandations en faveur de la mise en place d’une confédération prenant en compte les intérêts majeurs de nos populations respectives qui réclament des actions concrètes impactant leur quotidien. » Bakary Yaou SANGARE, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et des Nigériens à l’extérieur, a, pour sa part, indiqué que les actions à venir après la rencontre de Bamako consisteront à valider les recommandations issues de celle-ci. La réunion des experts a examiné l’avant-projet soumis aux ministres des Affaires étrangères, qui ont apporté des amendements pour parvenir à un document consolidé, le projet qui sera soumis aux Chefs d’État. Le ministre SANGARE a expliqué que ce projet est principalement structuré sur l’architecture, l’organigramme et l’organisation de l’Alliance. « Sur la base des recommandations de nos Chefs d’État, nous avons privilégié une architecture légère, innovatrice, fonctionnelle qui nous permettra d’agir avec souplesse et efficacité. », a confié le ministre SANGARE tout en indiquant que la question de l’intégration monétaire est également en discussion dans le cadre du volet développement.

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Paix et Stabilité : Le Haut Conseil islamique entend jouer sa partition

Le Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOITA, Chef de l’Etat, a reçu en audience, ce vendredi 11 juin 2021, une délégation du Haut Conseil islamique sous la conduite de son Président, Chérif Ousmane Madani HAIDARA. Au cours de l’audience, il a été question de sécurité, de paix, d’inclusivité et surtout de stabilité, toutes choses auxquelles les Maliens aspirent en cette période de Transition. « Nous sommes très heureux d’avoir eu l’occasion de rencontrer Son Excellence, le Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat, au nom du Haut Conseil islamique », a indiqué le deuxième Vice-président, Thierno Hady THIAM qui a qualifié de très important un tel cadre d’échanges au regard des multiples défis qui caractérisent le contexte de la Transition avec en arrière plan la question de l’insécurité. Ainsi, le rôle du Haut Conseil Islamique, selon M. THIAM, est hautement utile auprès des populations, surtout lorsqu’il s’agit de promouvoir le dialogue, facteur de stabilité et de paix sociales. Rappelant les deux points d’appui du Haut Conseil Islamique que sont le culte et la culture, il a estimé nécessaire qu’une bonne communication soit faite dans les langues nationales, via la presse et les hommes de culture. Le Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOITA s’est réjoui de la démarche entreprise par le Haut Conseil islamique et signifier sa disponibilité pour toutes les actions visant au resserrement des rangs en faveur de la paix, la stabilité et l’unité nationale.  

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Nouvelle carte administrative

Réorganisation administrative et territoriale : remise de la nouvelle carte administrative du Mali, celles des 19 régions et celle du district de Bamako au Chef de l’État

Le Président de la Transition, SE le Colonel Assimi GOITA, Chef de l’État, a reçu le vendredi 19 mai 2023 la première carte administrative du Mali et les cartes des 19 régions et du district de Bamako. La remise a été faite par le ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, le Colonel Abdoulaye MAIGA, ministre d’État et Porte-parole du Gouvernement. Cette cérémonie a enregistré la présence du Premier ministre, du Président du Conseil national de Transition (CNT), des Présidents des institutions de la République, des Gouverneurs de région et des Maires. A l’entame de ses propos, le Président de la Transition, après avoir reçu la nouvelle carte, a exprimé toute sa joie. « C’est avec plaisir que je reçois ce matin la nouvelle carte administrative issue de la réorganisation territoriale de notre pays, dont les textes ont été promulgués le 13 mars 2023 », a-t-il expliqué après la réception de la nouvelle carte administrative du Mali. Selon ses explications, cette carte administrative, mise à jour, « constitue la consécration de la volonté du Gouvernement de matérialiser les circonscriptions administratives et les Collectivités territoriales du Mali, conformément aux recommandations des Assises nationales de la Refondation (ANR) ». Le Président GOITA est convaincu que cette nouvelle carte administrative contribuera à la refondation de l’État pour une gouvernance forte et efficace. Dans le cadre de l’élaboration de cette nouvelle carte, le processus de la réorganisation territoriale s’est servi de principes directeurs et des critères précis afin d’opérationnaliser les régions et le district de Bamako et permettre ainsi le maillage du territoire en prenant en compte les critères démographiques sociologiques et d’accessibilité des populations à l’administration. Le Chef de l’État a rappelé que l’activité de réorganisation administrative du territoire vise, d’une part, à prendre en charge la prescription de la Feuille de Route de la Transition, de « parachever la réorganisation territoriale » et, d’autre part, d’exécuter le Plan d’Action du Gouvernement (PAG) adopté par le Conseil National de Transition (CNT). En outre, « elle contribue à la prise en compte des préoccupations formulées dans le sens d’une impulsion du processus de décentralisation en capitalisant les réussites et les difficultés enregistrées par des acteurs locaux ». Dans son allocution à la suite de la réception de cette carte, le Chef de l’État a expliqué que pour la bonne conduite de cette organisation administrative du territoire, « il est institué une codification numérique en vue de faciliter l’identification des circonscriptions administratives, des Collectivités territoriales, ainsi que des villages, fractions et quartiers ». Le Président de la Transition a saisi cette occasion pour féliciter les membres du Gouvernement pour leur solidarité autour de ce projet, notamment pour leur engagement constant. Il les a félicités pour avoir su relever ce défi « important de conduite du processus de réorganisation administrative et territoriale par la conception et la production de cette carte administrative du Mali ». Ce processus de réorganisation administrative et territoriale a été l’œuvre d’une équipe pluridisciplinaire exclusivement constituée de cadres nationaux. Le Président GOITA a exhorté à faire de ces cartes, des outils de planification du développement économique et social des territoires du Mali. En tant qu’outil de développement, de planification, d’orientation et de suivi des actions au profit des populations, « la carte administrative est et demeure un véritable outil de base », a indiqué le Chef de l’État. Cette carte administrative servira de référentiel pour l’amélioration d’autres cartes, notamment géographiques, historiques, pédologiques, démographiques, sanitaires, éducatives, militaires et de télécommunication, a conclu le Président de la Transition.

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