Visite de travail du Chef de l’État à Ouagadougou : Dernier virage avant le prochain Sommet du G5 Sahel

Actualités

Son Excellence Monsieur, Bah N’DAW, Président de la Transition, Chef de l’État poursuit sa tournée sous régionale.

Après Nouakchott et Niamey, le Président de la Transition s’est rendu à Ouagadougou au Burkina Faso, ce samedi 13 février 2021.

A la tête d’une importante délégation composée de plusieurs membres du Gouvernement, Son Excellence Monsieur, le Président a été accueilli à l’Aéroport international de Ouagadougou par son homologue burkinabé Rock Marc Christian KABORE.

Après les honneurs protocolaires suivis d’un bref entretien, la délégation s’est rendue au Palais présidentiel pour un tête-à-tête entre les deux Chefs d’État.

De l’importance que revêt la dimension de l’enjeu, un point de presse co-animé par le Ministre des Affaires étrangères de la Coopération, de l’Intégration Africaine et des Burkinabè de l’extérieur et son homologue malien, aura servi de cadre pour évoquer les défis et exprimer leurs préoccupations, mais aussi et surtout, leurs attentes.

La visite de travail et d’amitié a pris fin autour d’un déjeuner offert au Président de la Transition et à sa délégation au Palais présidentiel du Burkina Faso.

Autres articles qui font l'actualité

Diplomatie et Coopération : le Mali et la Chine esquissent l’avenir ensemble

Le Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Chef de l’État, a reçu en audience, ce vendredi 22 mars 2024, M. LIU Yuxi, Représentant spécial du Gouvernement chinois pour les affaires africaines. Cette rencontre s’inscrit dans une démarche visant à renforcer les liens bilatéraux entre le Mali et la Chine, ouvrant la voie à de nouvelles perspectives de coopération entre les deux nations. La délégation chinoise, manifestant un intérêt sincère pour le développement et la stabilité du Mali, a souligné l’importance d’approfondir les relations dans un esprit de partenariat mutuellement avantageux. Selon M. LIU Yuxi, cette réunion a permis d’explorer de nouvelles opportunités de coopération dans plusieurs secteurs clés tels que l’énergie, la médecine, l’agriculture et le commerce, identifiés comme prioritaires pour le bénéfice des deux pays. Les discussions ont également porté sur la facilitation des échanges commerciaux et des investissements, avec un engagement commun à respecter les normes internationales en matière de développement durable et de responsabilité sociale. L’aspect politique et sécuritaire a également été abordé. La partie chinoise a salué les progrès réalisés par les autorités maliennes en matière de réformes, de bonne gouvernance, ainsi que de paix et sécurité — des domaines dans lesquels la Chine s’est engagée à apporter un soutien renforcé. La rencontre, à laquelle ont participé le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Son Excellence Abdoulaye DIOP, ainsi que le ministre chargé de l’Industrie et du Commerce, Moussa Allasane DIALLO, témoigne de la vitalité et du potentiel des relations entre le Mali et la Chine. Elle marque un jalon important vers l’approfondissement d’une coopération bénéfique pour les deux parties.

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Présentation des lettres de créance de quatre nouveaux Ambassadeurs au Chef de l’État

Le Président de la Transition, SEM Bah N’DAW, Chef de l’Etat a reçu, ce lundi 8 février 2021, les lettres de créance de quatre nouveaux Ambassadeurs accrédités au Mali. C’est à la faveur du dispositif protocolaire traditionnel en l’honneur et à la qualité des hôtes du jour que : SE Mme Margaretha KASSANGANA, Ambassadeur agréé de la République de Pologne au Mali avec résidence à Dakar, SEM Giovanni Umberto DE VITO, Ambassadeur agréé de la République Italienne au Mali avec résidence à Dakar, SE Mme Claudia Turbay QUINTERO, Ambassadeur agréé de la République de Colombie au Mali avec résidence à Accra et SE Mme Ingrid AMER, Ambassadeur agréé de la République d’Estonie au Mali avec résidence à Tallinn (Estonie), se sont prêtés au rituel de présentation de leurs lettres de créance. C’était sous la haute Présidence de SEM Bah N’DAW, Président de la Transition, Chef de l’Etat. En marge de la solennité de l’événement, l’occasion a été bonne pour les diplomates et le Président de la Transition, d’échanger sur le renforcement de la coopération, le partenariat, aussi bien que le développement, les questions sécuritaires, la paix et la stabilité au Mali et au Sahel.

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COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 14 FEVRIER 2024/CM N°2024-07/SGG

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le mercredi 14 février 2024, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat. Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a : adopté des projets de texte ; procédé à des nominations ; et entendu des communications. AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES Sur le rapport du ministre de la Réconciliation, de la paix et de la Cohésion nationale, Chargé de l’Accord pour la Paix et la Réconciliation nationale, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation et aux modalités de fonctionnement du Centre pour la Promotion de la Paix et de l’Unité au Mali. Les graves crises, notamment les rébellions, les violences politiques et les conflits inter ou intracommunautaires ont créé chez le citoyen en général et les victimes en particulier, un énorme besoin de justice et de réparation, de fixer ces faits dans la mémoire collective nationale et internationale et d’obtenir de l’Etat une garantie de leur non répétition. En vue de préserver la mémoire historique des périodes de violence et de répression, des initiatives éducatives indispensables ont été envisagées pour permettre d’établir une mémoire publique qui sert de bastion contre le déni et la récidive. Dans cette perspective, le Gouvernement a opté pour la justice transitionnelle pour établir la paix, construire le tissu social en vue d’un meilleur vivre ensemble et d’aboutir à la réconciliation nationale. L’architecture institutionnelle mise en place à cet effet doit être complétée pour une meilleure conservation des mémoires collectives en vue de garantir la non-répétition des évènements douloureux. Les projets de texte adoptés créent le Centre pour la Promotion de la Paix et de l’Unité au Mali, sous la forme d’un Etablissement public à caractère scientifique et technologique avec pour mission d’entreprendre des recherches relatives à la conservation de mémoire des violations graves des droits de l’Homme commises lors des crises au Mali depuis 1960. La création du Centre permettra notamment : de concevoir et de mettre en place des programmes de recherches, de formation des citoyens et autres manifestations scientifiques sur la promotion de la paix et la non répétition des conflits ; de construire le tissu social pour un vivre ensemble harmonieux ; – de contribuer à la cohésion et à la réconciliation nationale ; –      de consolider la paix durable. Sur le rapport du ministre de l’Economie et des Finances, le Conseil des Ministres a adopté un projet de décret portant approbation du marché relatif aux travaux de construction de l’immeuble R+8 du siège de la Direction générale des Impôts en lot unique. Le marché est conclu entre le Gouvernement de la République du Mali et l’Entreprise CHECEC pour un montant de 15 milliards 999 millions 109 mille 681 francs CFA, toutes taxes comprises et un délai d’exécution de 36 mois. La réalisation de ce projet permettra d’améliorer les conditions de travail de l’Administration fiscale.      AU CHAPITRE DES MESURES INDIVIDUELLES Le Conseil des Ministres a procédé aux nominations suivantes : AU TITRE DU MINISTERE DE DE LA REFONDATION DE L’ETAT Secrétaire Général : Monsieur Ibrahim SIMPARA, Inspecteur des Impôts. Commissaire au Développement Institutionnel : Monsieur Mamadou DEMBELE, Professeur principal de l’Enseignement secondaire général. AU TITRE DU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES ET DE LA COOPERATION INTERNATIONALE       –     Ambassadeur, Directeur de la Coopération Multilatérale : Monsieur Kanisson COULIBALY, Conseiller des Affaires Etrangères. AU TITRE DU MINISTERE DE L’AGRICULTURE Inspecteur à l’Inspection de l’Agriculture : Monsieur Mamadou TOGOLA, Ingénieur de l’Agriculture et du Génie Rural. Président Directeur Général de l’Office du Niger : Monsieur Badara Aliou TRAORE, Ingénieur en Génie civil. AU TITRE DU MINISTERE DE L’ENTREPRENARIAT NATIONAL, DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE       –     Chargé de mission : Monsieur Drissa DIOUARA, Journaliste-Réalisateur. AU TITRE DU MINISTERE DE L’ARTISANAT, DE LA CULTURE, DE L’INDUSTRIE HOTELIERE ET DU TOURISME Chargé de mission : Monsieur Alpha Atikou MAIGA, Journaliste-Réalisateur. Directeur Général du Conservatoire des Arts et Métiers Multimédia Balla Fasséké KOUYATE : Monsieur Oumar KAMARA dit KAMARA KA, Enseignant-chercheur. Directeur national des Bibliothèques et de la Documentation : Monsieur Amadou SIDIBE, Administrateur des Arts et de la Culture. AU CHAPITRE DES COMMUNICATIONS Le ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux a informé le Conseil des Ministres de la tenue de la « Semaine Nationale pour l’Harmonisation et l’Utilisation des Symboles de l’Etat ». Le Ministère de la Justice et des Droits de l’Homme, conformément à la vision du Président de la Transition, Chef de l’Etat, se propose de mieux encadrer l’usage des symboles de l’Etat, attributs majeurs de la République. De la proclamation de la République du Mali à ce jour, des lois constitutionnelles et ordinaires ont permis de définir et consacrer les différents symboles de l’Etat, dont cinq (05) fondamentaux, que sont : le Drapeau, la Devise, l’Hymne national, le Sceau et les Armoiries. Les symboles de l’Etat répondent à trois (03) principes de base : la souveraineté : caractère unique inaliénable ; l’exclusivité : droit d’usage strictement réservé, soumis à autorisation et contrôle ; – la conformité : normalisation, invariabilité, standard. Il a été donné de constater, à la pratique, des erreurs, vices et anomalies dans la configuration, l’interprétation, les modalités et les conditions d’arborer le drapeau, l’application et la reproduction desdits symboles, et leur emploi anarchique. Ces irrégularités s’imputent habituellement à une méconnaissance de l’objet, non seulement par les citoyens, mais aussi par certains agents de l’Etat, en l’absence parfois de textes juridiques de référence. En vue de trouver une solution pérenne aux difficultés soulevées, il est prévu d’organiser une « Semaine Nationale pour l’Harmonisation et l’Utilisation des Symboles de l’Etat » pour bannir leur utilisation désordonnée et frauduleuse et mettre fin à leurs violations à la fois profane ou délictuelle. La « Semaine Nationale pour l’Harmonisation et l’Utilisation des Symboles de l’Etat » a pour but entre autres : de sauvegarder

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