Vers une économie prospère : les recommandations du Forum économique de Ségou présentées au Président de la Transition

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Le Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Chef de l’État, a présidé, le lundi 8 janvier 2024, la cérémonie officielle de remise du Rapport du Forum national de relance économique du Mali. Cette cérémonie, qui a enregistré la présence du Premier ministre, du Président du Conseil national de Transition, du ministre d’État, ministre de l’Administration et de la Décentralisation, Porte-parole du gouvernement, des membres du gouvernement, s’est tenue dans la salle des Banquets du Palais de Koulouba.

Faire du Mali un pays émergent adossé à un développement endogène, tel est l’objectif du Forum national de relance économique, qui s’est tenu à Ségou les 30 et 31 mars 2023.

À sa prise de parole, au début de la cérémonie de remise du rapport du Forum, Mandjou SIMPARA, Président de la Chambre du Commerce et d’Industrie du Mali, a adressé ses vifs remerciements au Chef de l’État pour le rôle qu’il a joué dans la tenue de ce Forum de Ségou.

Selon ses précisions, depuis près d’une décennie, l’organisation de ce genre de forum est devenue une tradition en République du Mali. Mais la mise en œuvre des recommandations issues de ce cadre d’échange pose toujours problème, a-t-il déploré avant d’indiquer que l’objectif du Forum est d’assurer au Mali un développement durable. M. SIMPARA reconnaît surtout qu’il n’y a point de développement sans sécurité. Avec ce forum, il garde espoir que le Mali n’aurait plus besoin d’autres pays pour son développement.

Pour sa part, Mamadou Tiéni KONATÉ, Président du Comité Scientifique du Forum national pour la relance économique, a présenté le rapport en procédant à un exposé synthétique de son contenu. Il précise que depuis près de dix ans, différents diagnostics et propositions de solutions ont été faites mais sans atteindre les résultats escomptés. Pourtant plusieurs domaines d’intervention avaient été identifiés en vue de promouvoir surtout les produits locaux. Lors des diagnostics, l’insuffisance des infrastructures avait été décelée.

Parmi les propositions faites, figure l’ambition pour le Mali de sortir de l’agriculture vivrière pour l’agriculture industrielle. Lors de ce Forum, il a également été recommandé que le secteur privé soit mis au cœur de l’opérationnalisation des différentes solutions proposées. Pour ce faire, le Forum  sollicite l’accompagnement de l’État. Aussi, le renforcement des ressources humaines dans tous les secteurs économiques était également au centre des discussions durant le Forum de Ségou. Le secteur minier a également bénéficié des propositions en vue de faciliter la distribution des produits.

En annexe du rapport, le Forum a proposé des stratégies de mise en œuvre des différentes recommandations. Toutefois, les participants sont optimistes quant à la mise en œuvre diligente des différentes propositions issues du Forum

Ils réitèrent leur accompagnement au Chef de l’État et à sa vision pour le Mali Kura. Ce forum est un « outil de développement ».

Moussa Alassane DIALLO, ministre de l’Industrie et du Commerce, a, pour sa part, rappelé l’embargo économique décrété par la CEDEAO et l’UEMOA contre le Mali en 2022. Selon ses explications, malgré les prédictions des oiseaux de mauvais augures qui prédisaient un chaos économique pour le Mali, l’économie malienne ne s’est point effondrée. Le pays a su relever les défis grâce à l’engagement des acteurs du secteur de l’économie. Il a donc saisi cette occasion pour saluer  le leadership du Chef de l’État qui a donné au Mali un nouveau cap. Cette cérémonie est la preuve de la disponibilité du Chef de l’État à accompagner le secteur privé ainsi que le monde des affaires. La souveraineté du Mali est adossée à un développement endogène, a indiqué le ministre du Commerce et de l’Industrie.

D’où la nécessité pour le Ministre de rappeler les nombreuses initiatives du Chef de l’État pour la relance économique du pays. Le Président GOÏTA a compris que les importations ne font point développer un pays.

Le ministre exhorte donc à une synergie d’action entre les acteurs du commerce et de l’industrie du Mali en vue de faire de ce pays un pays émergent.

L’année 2024 s’annonce chargée en défis. Une année durant laquelle le pays pourrait commencer la pleine exploitation de toutes ses potentialités, souhaite le ministre.

Ces discours ont été suivis par la remise du rapport du Forum national pour la relance économique du Mali au Chef de l’État par le Président de la Chambre d’Industrie et du Commerce. Une photo de famille a clôturé cette cérémonie.

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Visite du Président Bah N’DAW en Algérie : Les jalons d’une dynamisation des relations tant attendue

Mali – Algérie : Une coopération exemplaire ! La République du Mali et la République Algérienne Démocratique et Populaire entretiennent de très longues années d’amitié liée à l’histoire et à la géographie. Les deux pays se partagent 1 329 km de ligne frontalière entièrement bornée depuis 1985 et entretiennent des relations privilégiées de coopération étoffées sur les liens de fraternité et de bon voisinage. Sur le plan sécuritaire, avec son corollaire de porosité des frontières et d’assaut terroristes multiformes, l’Algérie a toujours joué un rôle d’interface et stratégique pour le Mali. C’est elle qui a coordonné avec tact les négociations ayant abouti à l’Accord pour la Paix et la Réconciliation issu du processus d’Alger. C’est également elle qui dirige le Comité de suivi dudit Accord. Les grands efforts menés par l’Algérie pour assurer le retour et le maintien de la stabilité au Mali ne sont plus à démontrer. Le Comité de Suivi de l’Accord (CSA), placé sous l’égide de l’Algérie comme Chef de File de la Médiation internationale, n’a ménagé aucun effort pour maintenir l’équilibre de ce processus. Sous le leadership de l’Algérie, les partenaires de l’Accord issu du processus d’Alger se sont réunis pour la première fois, en mi-février 2021, dans la ville de Kidal. L’Algérie soutient le processus de la Transition au Mali et accompagne la mise en œuvre de la Feuille de route de la Transition et l’opérationnalisation des actions retenues dans la feuille de route actualisée pour diligenter la mise en œuvre de l’Accord pendant la période de la Transition. Dans le cadre de la lutte contre la pandémie du Covid-19, l’Algérie a accordé une aide humanitaire en 2020 au Mali, composée essentiellement de 90 tonnes de denrées alimentaires et de produits de protection contre le coronavirus. La visite d’Amitié et de Travail de 72 heures du Président de la Transition, Chef de l’Etat, SEM Bah N’DAW à Alger, ce dimanche 14 mars 2021, intervient après la tenue à Bamako en février dernier de la 14è session du Comité mixte Mali-Algérie chargé du suivi de la coopération militaire et technique. L’ordre du jour de cette session était la coopération bilatérale et la relance du processus de paix au Mali. La visite de SEM Bah N’DAW intervient également quelques semaines après que le Ministre des Affaires Etrangères de l’Algérie, a été reçu par les plus hautes autorités du Mali. Il a été question des relations bilatérales et des perspectives de leur renforcement, outre les voies susceptibles d’accélérer la cadence de mise en œuvre de l’Accord pour la Paix et de Réconciliation au Mali, issu du processus d’Alger. Cette visite a permis d’aborder les relations bilatérales et les modalités de faire progresser le processus de paix et de réconciliation que l’Algérie accompagne et soutient. Au cours de sa visite, le Chef de la diplomatie algérienne avait assisté à la cérémonie de la signature du mémorandum d’entente pour un partenariat avec l’Ecole de Maintien de la Paix (EMP) au Mali. Cette visite, la troisième de M. BOUKADOUM depuis les changements politiques survenus au Mali le mois d’août 2020, s’inscrivait dans le cadre des efforts visant à promouvoir les relations bilatérales et à donner un élan au processus de paix dans ce pays voisin. Les jalons d’une dynamisation des relations tant attendue Au nombre des points qui feront l’objet d’échanges lors de la visite de SEM Bah N’DAW : la Relance du Conseil d’Affaires Algéro-Malien, la Relance du Processus d’attribution de la 4ème Licence mobile et la Relance des activités de recherche pétrolière sur le bloc du Bassin de Taoudéni. Aussi, la visite permettra d’aborder la situation de la diaspora malienne, laquelle aspire à de meilleures conditions de vie en Algérie. Il faut signaler que la Communauté malienne en Algérie est évaluée à 7 000 personnes et vit majoritairement dans la partie méridionale du pays (Tamanrasset, Adrar, Ghardaïa, Bechar) et à Alger. Au-delà de l’opportunité du tête-à-tête franc que le Président Bah N’DAW aura avec son homologue, le Président de la République démocratique et populaire d’Algérie, M. Abdelmadjid TEBBOUNE, deux thématiques majeures meubleront la visite de travail du Chef de l’Etat : la Paix et la Sécurité. La visite du Chef de l’Etat, SEM Bah N’DAW, permettra de faire le point de la coopération entre l’axe Bamako-Alger et posera les jalons d’un renforcement des priorités de cette coopération. C’est une grande visite à la mesure des deux nations. Un des objectifs phares recherchés c’est la contribution de l’Algérie dans le processus d’accélération du processus de stabilisation du Mali. Il sera question des relations bilatérales, la situation internationale, la question libyenne, et celle des frontières… Au regard des enjeux sécuritaires et économiques du moment, fallait-il que les deux Chefs d’Etats se rencontrent. Sur la question du Sahara occidental, le Mali réaffirmera sa position qui est identique à celle des Nations unies. Le Président Bah N’DAW marquera sa disponibilité pour le renforcement des relations entre les deux pays et soulignera la nécessité d’une étroite collaboration entre les deux pays dans tous les domaines de coopération, y compris la lutte contre la criminalité transfrontalière organisée, notamment le terrorisme. Il renouvellera les remerciements de notre pays à l’Algérie pour tous les efforts consentis pour le retour et la consolidation de la Paix au Mali.  Il convient de signaler que la coopération entre le Mali et l’Algérie souffre suffisamment de la crise sécuritaire que vit le Mali dans les régions du Nord du Mali. Le défi à relever réside dans l’engagement des deux Etats et le dynamisme des ministères sectoriels à mettre en œuvre : – La Grande Commission Mixte de Coopération Mali-Algérie – Le Comité Bilatéral Stratégique Maliano-Algérien – Le Comité bilatéral Frontalier Maliano-Algérien – La Commission Mixte de Sécurité Maliano-Algérienne

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Diplomatie et réconciliation : le Président de la Transition accorde une audience à une délégation ministérielle de l’AES

Le Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Chef de l’État, a reçu en audience, ce mardi 17 septembre 2024, une délégation ministérielle de la Confédération des États du Sahel (AES). Cette délégation était conduite par le Ministre malien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Son Excellence Abdoulaye DIOP, et le Ministre de la Réconciliation nationale, de la Paix et de la Cohésion nationale, le Colonel Ismaël WAGUÉ. A leur sortie d’audience, des précisions ont été données sur l’objectif de cette visite au Président de la Transition. Selon Mohamed TOUMBA, Ministre nigérien de l’Intérieur et de la Décentralisation, a exprimé toute sa satisfaction d’être conjointement reçu par le Président de la Transition en marge de leurs activités à Bamako. Cette audience visait à rendre compte de ces rencontres qui se sont déroulées au cours de la semaine dans la capitale malienne. Le Général de Brigade nigérien a rappelé que les ministres de la Réconciliation des pays de l’AES ont effectué, le week-end dernier, un déplacement à Gao en vue de prendre part au lancement de la 3ème édition de la semaine nationale de la réconciliation, dont le thème portait sur la solidarité nationale à l’endroit des victimes des inondations. Un phénomène naturel qui touche tous les pays de la Confédération, cette année, en raison de l’abondance de la pluviométrie. Le lancement de cette édition de la Semaine nationale de la réconciliation a coïncidé avec la réunion des diplomates des pays de la Confédération des États du sahel, qui s’est tenue le 16 septembre à Bamako, date anniversaire de la signature de la Charte du Liptako-Gourma instituant l’Alliance des États du Sahel, devenue, le 6 juillet 2024, la Confédération des États du sahel. Aux dires de Bakary Yaou SANGARÉ, Ministre nigérien des Affaires étrangères, de la Coopération et des Nigériens de l’extérieur, ils ont fait exprès de faire coïncider cette réunion avec ce premier anniversaire. L’objectif de cette rencontre des Ministres des Affaires étrangères était de faire le point des réalisations. Son Excellence SANGARÉ a rappelé les trois piliers sur lesquels est bâtie la Confédération des États du Sahel, à savoir : la Défense, la Diplomatie et le Développement. Dans le cadre de sa présidence, le Mali a soumis une feuille de route, validée par les autres pays membres. Il s’agissait donc de passer en revue cette feuille de route dans ses différentes articulations. Un total de 21 activités, dont 13 relevant spécifiquement de la diplomatie, ont été passées au peigne fin, a-t-il expliqué dans une interview accordée à la presse. Les ministres des Affaires étrangères travaillent à la coordination de la diplomatie dans l’espace AES. L’objectif est de parvenir à la mise en place d’une diplomatie unique où l’on puisse raccorder le violon et parler d’une seule voix. Selon Karamoko Jean-Marie TRAORÉ, Ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération Régionale et des Burkinabè de l’Extérieur, cette grande rencontre des Ministres des Affaires étrangères intervient également à la veille de l’Assemblée Générale des Nations Unies. La coïncidence de ces deux rencontres majeures à Bamako : diplomatie et réconciliation, vise à montrer la place prépondérante que joue le dialogue dans le règlement des problèmes dont souffre le sahel. « Nous partons très satisfaits des échanges que nous avons eus ici à Bamako », s’est réjouie la délégation tout en rendant un hommage mérité aux Forces armées de Défense et de Sécurité des pays de la Confédération mais aussi aux populations de l’AES. Le Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, a donné des orientations à ses visiteurs du jour pour la pleine réussite de leurs missions au service de la Confédération des États du Sahel.

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NOUVEL AN 2025 : les Forces Armées de Défense et de Sécurité présentent leurs vœux au Chef suprême des Armées

Les Forces Armées de Défense et de Sécurité ont présenté, ce jeudi 6 février 2025, leurs vœux de Nouvel An au Président de la Transition, le Général d’Armée Assimi GOÏTA, Chef suprême des armées. La cérémonie, qui a eu lieu au palais de Koulouba, a réuni le Premier ministre, le ministre de la Défense et des Anciens combattants, le Président du Conseil national de Transition, l’ensemble des Chefs militaires ainsi que des membres du Gouvernement. Dans un contexte sécuritaire marqué par plusieurs défis, le Président de la Transition a rappelé le rôle central des Forces armées dans la refondation de l’État et la consolidation de la souveraineté nationale. « Nous sommes réunis en ce début d’année 2025 pour échanger nos vœux et pour dresser le bilan des grandes orientations qui guident notre outil de Défense », a déclaré le Général d’Armée Assimi GOÏTA en ouverture de son discours. Tout en saluant l’engagement des FAMa, il a insisté sur l’importance de l’unité et de la cohésion au sein des forces armées. « La cohésion et l’unité d’action, tant à l’intérieur des Forces Armées et de Sécurité que dans notre chaîne de commandement, constituent les gages de nos succès », a-t-il expliqué. Le Chef suprême des armées a également mis en avant les efforts déployés pour renforcer la capacité opérationnelle des FAMa : « La réorganisation de nos structures, l’amélioration des conditions de vie et de travail de nos soldats et l’investissement dans le matériel adéquat ont permis de créer un environnement favorable à la réussite des opérations ». Le renforcement des infrastructures militaires, l’acquisition d’équipements modernes et la formation continue des hommes ont permis de maintenir une armée opérationnelle et efficace face aux menaces persistantes, a-t-il également expliqué. Le Président de la Transition a profité de cette occasion pour rendre un hommage appuyé aux soldats tombés au champ d’honneur et réaffirmer le soutien de la Nation aux familles endeuillées, aux blessés et aux otages. « J’ai une pensée pour toutes les victimes du terrorisme ainsi que les soldats tombés au champ d’honneur. Leur sacrifice et leur engagement resteront à jamais une source d’inspiration pour les générations futures. À ceux qui sont blessés, aux otages et aux familles endeuillées, notre solidarité agissante et notre soutien indéfectible se poursuivent à leurs égards », a-t-il assuré. Dans un contexte géopolitique en mutation, le Chef suprême des Armées a aussi insisté sur la nécessité d’adapter les stratégies militaires pour mieux faire face aux menaces sécuritaires. Le Président de la Transition a mis en avant la Confédération des États du Sahel (AES), qui regroupe le Mali, le Burkina Faso et le Niger, et réaffirmé la volonté de renforcer la coopération militaire au sein de cette Confédération. « C’est dans cet esprit que nous avons œuvré, avec nos frères d’armes du Burkina Faso et du Niger, à la mise en place d’une force unifiée au sein de la Confédération des États du Sahel », a-t-il expliqué. Dans cette dynamique, il a appelé les forces armées maliennes à accélérer la planification opérationnelle et à privilégier une approche globale de la lutte contre les menaces sécuritaires. Le Général d’Armée Assimi GOÏTA a également souligné l’importance d’un renforcement de la coopération entre défense, développement et diplomatie. Selon lui, la stabilité du pays passera aussi par le progrès économique et social. Prenant la parole au nom des Forces armées, le Général de Division Oumar DIARRA, Chef d’État-Major général des Armées, a exprimé la reconnaissance des FAMa envers le Président de la Transition et l’ensemble des autorités nationales. Selon lui, la cérémonie de présentation des vœux du Nouvel An au Président de la Transition « est un cadre d’expression de joie, de foi, de prière et de communion d’esprit que vous offrez aux différentes composantes de la Nation ». Il a salué les avancées enregistrées en 2024 en matière d’équipements, de formation et de structuration des forces, tout en soulignant que les FAMa sont aujourd’hui mieux préparées, mieux équipées et plus autonomes. « Les forces armées maliennes jouent pleinement leur rôle dans la refondation de l’État, de l’unité nationale et de la cohésion sociale », a-t-il assuré. Le Chef d’État-Major général des Armées a souligné l’amélioration des ressources humaines et des infrastructures militaires ; l’acquisition de nouveaux équipements, notamment les drones Akenzi ; ainsi que la consolidation des partenariats stratégiques au sein de la Confédération des États du Sahel. Le Général de Division Oumar DIARRA a également rendu hommage aux militaires et civils tombés au combat, tout en réaffirmant l’engagement des Forces de Défense à ne ménager aucun effort pour la libération des otages. Le Président de la Transition, Son Excellence le Général d’armée Assimi GOÏTA, a conclu son intervention en appelant les forces armées à poursuivre leurs efforts et à rester mobilisées pour les défis à venir. « Je vous encourage à persévérer dans cette voie, seule garantie pour mériter davantage de la confiance du peuple malien, dont le sacrifice consenti en faveur de l’armée doit être à la dimension de sa quiétude », a-t-il affirmé. L’année 2025, selon lui, doit être celle de la continuité et de la consolidation des succès militaires.

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