Région de Nara : la population de Ballé dit merci au Président de la Transition

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La délégation de la Présidence, conduite par Assa Badiallo TOURÉ, Conseillère speciale du Président de la Transition, SE le Colonel Assimi GOITA, Chef de l’État, est arrivée, ce mardi 17 mai 2022, dans la région de Nara. Accompagnée par le Gouverneur, la délégation a inauguré le 123ème forage à Ballé, dans la commune de Dogofry.
« Le président de la transition vient de prouver son attachement à toutes les régions du Mali en dépêchant une délégation, sous cette canicule, pour inaugurer un forage dans le village de Ballé », a témoigné le Maire de la Commune de Dogofry, Abdoulaye DANSOKO. « Assimi GOITA est un Président exemplaire, qui n’oublie pas ses citoyens », a ajouté le Gouverneur de la région de Nara, Amara DOUMBIA. Selon le Gouverneur, cette journée d’inauguration est un grand jour pour la population de Ballé, qui souffre d’une véritable pénurie d’eau depuis des années.
Les populations sont massivement sorties accueillir la délégation du Colonel Assa Badiallo TOURÉ. Des bénédictions ont été formulées pour la réussite de la Transition et le retour de la sécurité sur tout le territoire national.

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Lancement du Projet de Rédaction de l’Histoire Militaire du Mali

Le ministre conseiller à la Sécurité nationale, le Général de Division Yamoussa CAMARA, a présidé, le mardi 13 février 2024, la cérémonie de lancement du projet de rédaction de l’histoire militaire du Mali. Ce projet ambitieux vise à retracer l’évolution de l’histoire militaire du Mali depuis les grands empires jusqu’à nos jours, dans le cadre de la refondation de notre système de défense. Dans le cadre de la refondation du système de défense du Mali, conformément à la vision du Président de la Transition, le Colonel Assimi GOÏTA, Chef suprême des Armées, le Secrétariat permanent du Conseil de Sécurité Nationale (SPCSN), sous la direction du ministre-Conseiller à la Sécurité Nationale, le Général de Division Yamoussa CAMARA, a initié le projet de rédaction de l’histoire militaire du Mali. Ce projet, présidé par le Professeur Doulaye KONATE, ancien ministre, vise à produire un ouvrage de qualité scientifique retraçant l’histoire militaire du Mali, depuis le IVe siècle jusqu’à nos jours. Les travaux, d’une durée d’une année, impliquent un comité de pilotage composé d’éminents historiens maliens, tant civils que militaires. Les thèmes abordés couvriront divers aspects, de l’organisation militaire des empires et royaumes jusqu’à la période coloniale, en passant par la conquête coloniale et l’exploitation économique des territoires. Le Pr KONATE souligne l’importance de consulter des sources variées, écrites et orales, en menant des recherches sur l’ensemble du territoire malien ainsi qu’à l’étranger, notamment dans les archives du Sénégal, de la Guinée, de la Côte d’Ivoire, du Maroc, de l’Algérie, de la Turquie et des bibliothèques européennes. « Des missions iront dans ces pays pour y mener des recherches approfondies et méthodiques », promet Pr KONATE. Le Général de Division Yamoussa CAMARA souligne que l’objectif va au-delà d’un exposé chronologique des faits. Il insiste sur la nécessité d’écrire l’histoire militaire en tenant compte de l’aspect genre et de la dimension socio-ethnique des forces armées et de sécurité. L’ambition est de parvenir à une Armée nationale reflétant la diversité sociale du Mali, conformément aux dispositions de la Loi fondamentale. L’histoire militaire est un élément fondamental de l’éducation et de la formation continue des soldats en vue de la nécessaire refondation de l’outil de défense de notre pays. Au-delà du retour d’expérience, l’histoire militaire du Mali donnera au citoyen en uniforme, à chaque niveau de grade ou de responsabilités, une capacité à réfléchir et à agir dans les circonstances les plus difficiles, dans un métier où la mort est une hypothèse de travail parmi d’autres.

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Œuvres sociales : Le Président de la Transition apporte un soutien alimentaire au Haut Conseil Islamique du Mali (HCIM)

En ce mois de ramadan, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Président de la Transition, a fait don de 200 kits alimentaires au Haut Conseil Islamique du Mali (HCIM) dans le but d’assister les fidèles musulmans dans le besoin afin qu’ils puissent mieux observer ce mois sacré. Dans le cadre de ses œuvres sociales, le Président de la Transition intensifie ses efforts en faveur des plus démunis, y compris les différentes organisations religieuses nationales. Ainsi, après avoir accordé des dons à la communauté chrétienne (catholique et protestante) à la veille du Carême, le Chef de l’État vient d’offrir 200 kits alimentaires à la communauté musulmane par l’intermédiaire du Haut Conseil Islamique. Ces kits comprennent 400 sacs de riz de 50 kg, 200 sacs de sucre de 50 kg, 200 sacs de pâtes alimentaires de 5,540 kg, 200 bidons d’huile alimentaire de 20 litres, 84 cartons de 8 paquets de dattes, 44 exemplaires du Coran et 534 unités de chapelets. La cérémonie de remise des dons s’est déroulée ce jeudi 14 mars 2024, au siège du HCIM, sous la présidence de M. Aguibou DEMBELE, Conseiller spécial du président de la Transition chargé des œuvres sociales. Il était accompagné du Ministre des Affaires Religieuses, du Culte et des Coutumes, Dr Mahamadou KONE, du Directeur administratif et financier (DAF) de la Présidence, le Colonel Cheick Mamadou Chérif TOUNKARA, ainsi que de deux chargés de mission du Président de la Transition. Dr Seydou Mady SYLLA, Président de la Conférence nationale des ulémas au HCIM, s’est réjoui de cette initiative, soulignant que ce geste du Président de la Transition témoigne de son humanisme et de son esprit de partage. Il a également exprimé la gratitude du Haut Conseil Islamique du Mali envers cette donation, en promettant de prier pour la paix et la stabilité au Mali. M. Aguibou DEMBÉLÉ, Conseiller spécial du Président de la Transition, a souligné le contexte de cette remise, lié à l’engagement du Président de la Transition qui a affecté les deux tiers de son fonds de souveraineté aux œuvres sociales depuis le début de son mandat, le 7 juin 2021. Il a également présenté les détails de cette opération, qui a bénéficié à 2 000 ménages vulnérables sur l’ensemble du territoire national, juste avant le début du mois sacré du ramadan. Au nom du Président de la Transition, il a appelé tous les Maliens à l’unité et à la solidarité pour un Mali prospère et uni.

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COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 14 FEVRIER 2024/CM N°2024-07/SGG

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le mercredi 14 février 2024, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat. Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a : adopté des projets de texte ; procédé à des nominations ; et entendu des communications. AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES Sur le rapport du ministre de la Réconciliation, de la paix et de la Cohésion nationale, Chargé de l’Accord pour la Paix et la Réconciliation nationale, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation et aux modalités de fonctionnement du Centre pour la Promotion de la Paix et de l’Unité au Mali. Les graves crises, notamment les rébellions, les violences politiques et les conflits inter ou intracommunautaires ont créé chez le citoyen en général et les victimes en particulier, un énorme besoin de justice et de réparation, de fixer ces faits dans la mémoire collective nationale et internationale et d’obtenir de l’Etat une garantie de leur non répétition. En vue de préserver la mémoire historique des périodes de violence et de répression, des initiatives éducatives indispensables ont été envisagées pour permettre d’établir une mémoire publique qui sert de bastion contre le déni et la récidive. Dans cette perspective, le Gouvernement a opté pour la justice transitionnelle pour établir la paix, construire le tissu social en vue d’un meilleur vivre ensemble et d’aboutir à la réconciliation nationale. L’architecture institutionnelle mise en place à cet effet doit être complétée pour une meilleure conservation des mémoires collectives en vue de garantir la non-répétition des évènements douloureux. Les projets de texte adoptés créent le Centre pour la Promotion de la Paix et de l’Unité au Mali, sous la forme d’un Etablissement public à caractère scientifique et technologique avec pour mission d’entreprendre des recherches relatives à la conservation de mémoire des violations graves des droits de l’Homme commises lors des crises au Mali depuis 1960. La création du Centre permettra notamment : de concevoir et de mettre en place des programmes de recherches, de formation des citoyens et autres manifestations scientifiques sur la promotion de la paix et la non répétition des conflits ; de construire le tissu social pour un vivre ensemble harmonieux ; – de contribuer à la cohésion et à la réconciliation nationale ; –      de consolider la paix durable. Sur le rapport du ministre de l’Economie et des Finances, le Conseil des Ministres a adopté un projet de décret portant approbation du marché relatif aux travaux de construction de l’immeuble R+8 du siège de la Direction générale des Impôts en lot unique. Le marché est conclu entre le Gouvernement de la République du Mali et l’Entreprise CHECEC pour un montant de 15 milliards 999 millions 109 mille 681 francs CFA, toutes taxes comprises et un délai d’exécution de 36 mois. La réalisation de ce projet permettra d’améliorer les conditions de travail de l’Administration fiscale.      AU CHAPITRE DES MESURES INDIVIDUELLES Le Conseil des Ministres a procédé aux nominations suivantes : AU TITRE DU MINISTERE DE DE LA REFONDATION DE L’ETAT Secrétaire Général : Monsieur Ibrahim SIMPARA, Inspecteur des Impôts. Commissaire au Développement Institutionnel : Monsieur Mamadou DEMBELE, Professeur principal de l’Enseignement secondaire général. AU TITRE DU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES ET DE LA COOPERATION INTERNATIONALE       –     Ambassadeur, Directeur de la Coopération Multilatérale : Monsieur Kanisson COULIBALY, Conseiller des Affaires Etrangères. AU TITRE DU MINISTERE DE L’AGRICULTURE Inspecteur à l’Inspection de l’Agriculture : Monsieur Mamadou TOGOLA, Ingénieur de l’Agriculture et du Génie Rural. Président Directeur Général de l’Office du Niger : Monsieur Badara Aliou TRAORE, Ingénieur en Génie civil. AU TITRE DU MINISTERE DE L’ENTREPRENARIAT NATIONAL, DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE       –     Chargé de mission : Monsieur Drissa DIOUARA, Journaliste-Réalisateur. AU TITRE DU MINISTERE DE L’ARTISANAT, DE LA CULTURE, DE L’INDUSTRIE HOTELIERE ET DU TOURISME Chargé de mission : Monsieur Alpha Atikou MAIGA, Journaliste-Réalisateur. Directeur Général du Conservatoire des Arts et Métiers Multimédia Balla Fasséké KOUYATE : Monsieur Oumar KAMARA dit KAMARA KA, Enseignant-chercheur. Directeur national des Bibliothèques et de la Documentation : Monsieur Amadou SIDIBE, Administrateur des Arts et de la Culture. AU CHAPITRE DES COMMUNICATIONS Le ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux a informé le Conseil des Ministres de la tenue de la « Semaine Nationale pour l’Harmonisation et l’Utilisation des Symboles de l’Etat ». Le Ministère de la Justice et des Droits de l’Homme, conformément à la vision du Président de la Transition, Chef de l’Etat, se propose de mieux encadrer l’usage des symboles de l’Etat, attributs majeurs de la République. De la proclamation de la République du Mali à ce jour, des lois constitutionnelles et ordinaires ont permis de définir et consacrer les différents symboles de l’Etat, dont cinq (05) fondamentaux, que sont : le Drapeau, la Devise, l’Hymne national, le Sceau et les Armoiries. Les symboles de l’Etat répondent à trois (03) principes de base : la souveraineté : caractère unique inaliénable ; l’exclusivité : droit d’usage strictement réservé, soumis à autorisation et contrôle ; – la conformité : normalisation, invariabilité, standard. Il a été donné de constater, à la pratique, des erreurs, vices et anomalies dans la configuration, l’interprétation, les modalités et les conditions d’arborer le drapeau, l’application et la reproduction desdits symboles, et leur emploi anarchique. Ces irrégularités s’imputent habituellement à une méconnaissance de l’objet, non seulement par les citoyens, mais aussi par certains agents de l’Etat, en l’absence parfois de textes juridiques de référence. En vue de trouver une solution pérenne aux difficultés soulevées, il est prévu d’organiser une « Semaine Nationale pour l’Harmonisation et l’Utilisation des Symboles de l’Etat » pour bannir leur utilisation désordonnée et frauduleuse et mettre fin à leurs violations à la fois profane ou délictuelle. La « Semaine Nationale pour l’Harmonisation et l’Utilisation des Symboles de l’Etat » a pour but entre autres : de sauvegarder

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