Ce mercredi 10 juillet 2024, le Conseiller spécial du Président de la Transition, chargé des œuvres sociales, M. Aguibou DEMBELE, a procédé à l’inauguration du premier château d’eau de l’école B de Badingo, dans la région de Kita.
Étaient présents à cette cérémonie d’inauguration les autorités locales de la Commune rurale de Badingo, le Conseiller aux affaires économiques et financières du Gouverneur de Kita, les élèves et le personnel d’encadrement de l’établissement bénéficiaire. Ce point d’adduction d’eau potable a été rendu possible grâce à l’initiative salutaire des œuvres sociales du Président de la Transition, SE le Colonel Assimi GOÏTA.
Le Maire de la Commune rurale de Badingo, très ému, a salué l’installation de ce point d’eau qui assurera une fourniture continue en eau potable pour les élèves et le personnel d’encadrement de cette école fondamentale.
Le Conseiller aux affaires économiques et financières du Gouverneur de Kita, M. Broulaye DIAKITE, a mis en lumière les précédentes réalisations du Chef de l’État dans sa région. Il a notamment évoqué la réalisation d’une trentaine de forages, la distribution de vivres et de non-vivres et plusieurs autres formes d’assistance au bénéfice des populations.
Pour sa part, le Conseiller spécial du Président de la Transition, chargé des œuvres sociales, M. Aguibou DEMBELE a expliqué les motivations derrière cette assistance humanitaire de SE le Colonel Assimi GOÏTA. Il a surtout mis l’accent sur la générosité du Président de la Transition, qui n’aspire qu’à la satisfaction des besoins vitaux des communautés vulnérables, notamment en matière d’accès à l’eau potable, de nutrition et de santé.

SÉCURITÉ : la Politique et la Stratégie nationale de sécurité en cours de finalisation
Le Secrétariat permanent du Conseil de Sécurité nationale (SP-CSN) a organisé, du mercredi 18 au vendredi 20 décembre 2024, au Palais de Koulouba, le deuxième atelier de validation des documents relatifs à la Politique et à la Stratégie nationale de sécurité. Cette rencontre avait pour objectif principal d’examiner l’avant-projet de Politique de Sécurité nationale (PSN), ainsi que ses documents connexes, notamment la Stratégie nationale de sécurité et le Guide d’élaboration des stratégies sectorielles et spécifiques. L’atelier a rassemblé des représentants des ministères membres du Conseil de sécurité nationale, des Forces de défense et de sécurité (FDS), des organisations de la société civile, des partis politiques et des experts en sécurité. À travers l’élaboration de ces documents stratégiques, le pays ambitionne de se doter d’une vision claire et coordonnée pour relever les défis sécuritaires auxquels il est confronté. Le Ministre secrétaire permanent du Conseil de Sécurité nationale, le Général de division (ER) Yamoussa CAMARA, a présidé, vendredi dernier à Koulouba, la clôture des travaux de l’atelier. Selon lui, les objectifs de la rencontre ont été pleinement atteints et les documents ont été considérablement enrichis. Il a rappelé que, dans le domaine de la sécurité, « seul l’inattendu est une certitude », soulignant l’importance d’anticiper les moindres risques pour éviter toute incapacité face à une crise ou une catastrophe. Cette validation externe constitue une étape cruciale dans le processus d’élaboration des avant-projets de la Politique de Sécurité nationale et de sa stratégie de mise en œuvre. Le Général CAMARA a salué la qualité des contributions, reflet de l’expertise des participants, et promis de poursuivre l’exploitation des nombreuses observations reçues avant la soumission des documents pour validation aux plus hautes autorités du pays. Lancé en 2014, le processus d’élaboration de la PSN vise à combler l’absence d’un cadre stratégique unifié et le manque de coordination des réponses sécuritaires. Depuis 2019, sous la coordination du SP-CSN, ce travail s’est enrichi grâce à la participation active des principaux acteurs de la Sécurité nationale, des organisations de la société civile et des partis politiques. Lors du premier atelier, tenu plus tôt dans l’année, des observations pertinentes avaient été formulées et intégrées dans les documents de travail. Ce second atelier avait pour but de consolider ces contributions et de finaliser les textes en vue de leur adoption prochaine.