Journée commémorative des pupilles de la Nation Le Président de la Transition communie avec les enfants des militaires tombés pour le Mali

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À la veille de la Journée nationale des pupilles, le Président de la transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Chef de l’État, a reçu dans la salle des banquets du Palais de Koulouba, les pupilles de la Nation, ce samedi 30 octobre 2021. Une cérémonie au cours de laquelle le Chef de l’État a remis des cadeaux aux jeunes orphelins dont les parents sont tombés sur le champ de l’honneur.
Cette édition a enregistré la présence du Premier ministre, du Président du Conseil national de la Transition, de Madame le Ministre de la Santé et du Développement social, de certains membres du Gouvernement.
La tenue de cette Journée participe de la volonté des autorités de la Transition, d’impulser un élan de solidarité autour des pupilles dont les parents ont servi la nation au prix de leur vie. Donc, un véritable devoir de mémoire dont le Président de la Transition s’est à juste titre acquitté. La création de l’Office national des pupilles du Mali répond sans conteste à cet idéal.
Ce geste de solidarité et de reconnaissance du Président de la Transition envers les serviteurs de la patrie, prévoit une prise en charge optimale des pupilles, à travers notamment l’octroi de cartes de pupille et de carte bancaire.
Au-delà de son aspect humanitaire, cette action du Chef de l’État est un soutien moral et psychologique aux militaires engagés pour la défense de la Nation.
« Face à la guerre qui nous est imposée, l’engagement des forces de défense et de sécurité est nécessaire pour le retour définitif de la paix au Mali », a affirmé Son Excellence, le Colonel Assimi GOÏTA.
Le Président de la Transition a, par ailleurs, rassuré que les sacrifices consentis pour la survie de la Nation ne seront jamais oubliés.
Habillés en jaune, « couleur de la gloire et de la richesse », les pupilles de la Nation ont entonné des poèmes pour magnifier la grandeur du Mali. Ils ont également témoigné leur reconnaissance et leur gratitude au Président de la Transition.
Des chants, des dons de présents aux pupilles et une photo de famille du Chef de l’État avec les pupilles, après une visite guidée dans le jardin du Palais présidentiel, ont mis fin à cette Journée.

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Dr Alhousseyni DIAWARA, Segal de la Présidence

Journée mondiale de lutte contre le Sida : mobilisation renforcée pour la lutte contre le VIH/Sida

Le vendredi 1er décembre 2023, s’est tenue au Centre international de Conférences de Bamako, la cérémonie de célébration de la Journée internationale de lutte contre le VIH/Sida. Ladite cérémonie était   présidée par le ministre Secrétaire Général de la Présidence, Dr Alhousseyni DIAWARA, représentant le Président de la Transition. La manifestation a rassemblé des personnalités telles que le Dr Ichiaka Moumouni KONE du Haut Conseil National de Lutte contre le Sida (HCNLS), le Coordinateur du système des Nations Unies Alain Noudéhou, l’ambassadrice des États-Unis au Mali, Mme Rachna KORHONEN, et la chanteuse engagée Coumba Gawlo SECK, ambassadrice de la lutte contre le sida. En cette Journée mondiale de lutte contre le Sida 2023, la mobilisation contre le VIH/Sida revêt un caractère exceptionnel. Sous le thème évocateur « Confier le leadership aux communautés », cette année marque un tournant décisif vers une implication accrue des communautés dans la lutte contre cette pandémie mondiale. Dr Alhousseyni DIAWARA a souligné la pertinence du thème choisi cette année en mettant en exergue les inégalités persistantes, tant économiques, sociales, culturelles que juridiques, qui ont alimenté la propagation du VIH/Sida au Mali et au-delà. Il affirme que l’éradication de ces inégalités, couplée à un leadership communautaire solide, est la clé pour améliorer la qualité de vie des personnes vivant avec le virus, visant ainsi l’élimination du VIH d’ici 2030 en tant que menace pour la santé publique. Mme Mariam TOURE, Présidente du Réseau malien des personnes vivant avec le VIH/Sida (RMAP+), a souligné les défis persistants, plaidant pour un renforcement des financements destinés aux organisations de lutte contre le sida. Elle a appelé à une augmentation des fonds nationaux pour accroître l’indépendance du pays et a particulièrement insisté sur le dépistage systématique des femmes enceintes pour réduire les naissances d’enfants atteints du VIH. Le Dr Ichiaka Moumouni KONE, Secrétaire exécutif du HCNLS, a mis en lumière l’écart persistant dans la lutte contre le VIH/Sida malgré des progrès notables, appelant à des politiques renforcées pour inverser cette tendance, en mettant particulièrement l’accent sur la transmission mère-enfant. Le Coordinateur des Nations Unies, Alain NOUDEHOU, a exprimé la conviction qu’il est possible de mettre fin au VIH/Sida d’ici 2030 en libérant le potentiel du leadership communautaire. Il a attiré l’attention sur le rôle crucial des communautés dans cette lutte, tout en soulignant l’engagement continu des États-Unis avec le programme « Maintenir le contrôle de la pandémie » au Mali. Le Mali a récemment dévoilé son cadre stratégique national de lutte contre le VIH pour la période 2022-2026, visant à intensifier les efforts de prévention, de diagnostic et de traitement des infections sexuellement transmissibles pour atténuer leur impact sur la population, a rappelé le représentant du Chef de l’État à cette cérémonie. Le Dr Alfousseyni DIAWARA a rappelé que les investissements substantiels du gouvernement, soutenus par l’engagement politique du Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, ont contribué à améliorer la santé des Maliens affectés par le VIH/Sida.

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COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU VENDREDI 16 JUIN 2023 CM N°2023-25/SGG

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le vendredi 16 juin 2023, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat. Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a : – adopté des projets de texte ; – et entendu des communications. AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES 1. Sur le rapport du ministre des Transports et des Infrastructures, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte régissant la circulation routière. Les textes législatifs et réglementaires constituant le code de la route comprennent la Loi n°99- 004 du 02 mars 1999 régissant la circulation routière et le Décret n°99-134/P-RM du 26 mai 1999 fixant les conditions de l’usage des voies ouvertes à la circulation publique et de la mise en circulation des véhicules. Dans la pratique, ces textes ont révélé des insuffisances parmi lesquelles on peut citer, notamment : – la non réglementation du transport mixte ; – la prolifération de nouveaux types de tricycles et quadricycles utilisés comme moyens de transport public ; – la non prise en compte des corbillards dans la catégorie des véhicules prioritaires ; – le faible niveau de formation des candidats à l’examen du permis de conduire, dû à l’absence de formation préalable et obligatoire dans un établissement d’enseignement de la conduite des véhicules ; – l’absence de moyens adéquats pour contrôler les dépassements de vitesse ; – l’absence de règlementation relative aux conditions de travail dans les transports routiers, en ce qui concerne les temps de conduite et de repos ; – la centralisation de la commission technique spéciale de retrait du permis et autorisation de conduire ; – la non prise en compte dans la règlementation sur le port du casque des passagers des motocyclettes, des conducteurs et passagers des vélomoteurs, cyclomoteurs ainsi que des cycles ; – la limitation du port de la ceinture de sécurité en rase campagne ; – la non-conformité aux dispositions communautaires relatives à l’harmonisation des normes et procédures du contrôle de gabarit, du poids et de la charge à l’essieu des véhicules lourds de transport de marchandises dans les Etats de l’Union Economique et Monétaire Ouest africaine ; – la non-conformité aux dispositions communautaires relatives à l’institution d’un schéma harmonisé de gestion de la sécurité routière et à l’organisation du système de formation à l’obtention du permis de conduire dans les Etats membres de l’Union Economique et Monétaire Ouest africaine ; – l’absence des dispositifs de signalisation des véhicules à traction animale en stationnement et d’un centre de transformation des véhicules. Les projets de texte adoptés visent à corriger les insuffisances constatées et à renforcer la sécurité individuelle et collective sur les routes à travers, notamment : – l’introduction des sanctions liées aux surcharges des véhicules de transport en commun ; – l’interdiction expresse du transport mixte ; – l’instauration du permis de conduire de la catégorie B1 pour les tricycles et quadricycles affectés au transport public ; – l’extension de la catégorie C aux appareils de levage et de manutention, comme il est prévu pour les engins de travaux publics, les tracteurs agricoles et les machines agricoles automotrices ; – le classement des corbillards dans la catégorie des véhicules prioritaires ; – l’instauration de la formation préalable obligatoire des candidats à l’examen du permis de conduire dans un établissement d’enseignement de la conduite des véhicules ; – l’institution d’une formation complémentaire pour les conducteurs professionnels ; – la déconcentration de la Commission technique spéciale de retrait du permis et de l’autorisation de conduire au niveau des régions ; – la règlementation du temps de conduite et de repos ; – la fixation de la vitesse maximum sur autoroute à 120 km par heure et l’institution d’un système de contrôle de la vitesse par radar ; – l’introduction du contrôle du taux d’alcoolémie et de celui du taux de consommation de la drogue ; – l’élargissement de la règlementation du port obligatoire du casque aux passagers de motocyclettes aux conducteurs et aux passagers des vélomoteurs, cyclomoteurs et des cycles ; – le port obligatoire de la ceinture de sécurité pour les conducteurs et les passagers de véhicules équipés de ceinture ; – la soumission des motocyclettes, tricycles et quadricycles au contrôle technique. 2. Sur le rapport du ministre de l’Economie et des Finances, le Conseil des Ministres a adopté un projet de décret portant reconnaissance du caractère extraordinaire de la crise énergétique. Les conditions difficiles de production ainsi que les difficultés d’accès à l’énergie sont des évènements qui ont abouti à une crise énergétique. La Société Energie du Mali, qui a pour mission la mise en œuvre du service public de l’électricité, a des indicateurs de performance financière fortement dégradés depuis plusieurs années qui ne favorisent pas les investissements conséquents pour faire face à la demande croissante. Cette dégradation des indicateurs est due essentiellement au fait que le kilo watt heure d’électricité produit à 140 francs CFA est vendu à 100 francs CFA, soit une perte de 40 francs CFA par kilo watt heure produit. Pour faire face à cette situation, le Gouvernement a adopté en mars 2022, un Plan de Redressement de la société Energie du Mali accompagné d’un plan quinquennal d’investissement sur la période 2022-2026 dont la mise en œuvre requiert l’accompagnement et le soutien de l’Etat. Le projet de décret adopté vise à reconnaître le caractère extraordinaire de la crise énergétique pour permettre d’accorder, à la Société Energie du Mali, des exonérations fiscales et douanières pour l’acquisition de certains biens et services dans le cadre de la mise en œuvre du plan d’investissement 2022-2026. 3. Sur le rapport du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation et aux modalités de fonctionnement de l’Institut national de Recherche sur la Médecine et la pharmacopée traditionnelles. La médecine traditionnelle est l’ensemble des connaissances et

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Œuvres sociales/temps de carême : Le Président de la Transition soutient la Communauté chrétienne du Mali

M. Aguibou DEMBELE, Conseiller spécial du Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Chef de l’État, a remis, le samedi 24 février 2024, des quantités substantielles de riz, d’huile et de pâtes alimentaires à la Communauté chrétienne du Mali. La volonté du Président de la Transition, le Colonel Assimi GOÏTA, de consacrer les deux tiers de ses fonds de souveraineté aux personnes dans le besoin se matérialise quotidiennement dans divers domaines. En cette période de carême chrétien, le Président de la Transition a une fois de plus témoigné son attention envers cette communauté religieuse. L’équipe chargée de mettre en œuvre ces initiatives a apporté réconfort et sourire à l’Archevêché de Bamako ainsi qu’au siège de l’Association des groupements d’églises et missions protestantes évangéliques au Mali (AGEMPEM). Outre le Conseiller spécial, la délégation comprenait le ministre des Affaires religieuses, du Culte et des Coutumes, Mahamadou KONE. D’importantes quantités de riz, d’huile et de pâtes alimentaires ont été offertes à nos compatriotes chrétiens, qui ont chaleureusement accueilli ce geste humanitaire, exprimant leurs bénédictions pour le Mali. Au sein de l’Archevêché, le Cardinal Jean ZERBO s’est félicité de cette manifestation de solidarité émanant de l’autorité suprême de l’État. Il a souligné l’opportunité de cette assistance, coïncidant avec la période de préparation des célébrations de Pâques, marquée par quarante jours de jeûne et de prières. Le geste du Chef de l’État témoigne, selon lui, du profond respect du Président GOÏTA envers la communauté chrétienne. L’Archevêque a souligné le caractère crucial de cette aide sociale, intervenant dans un contexte national difficile. Il a reconnu que de telles initiatives de solidarité contribuent à renforcer l’unité entre tous les Maliens. « En mémoire de tous ceux qui ont sacrifié pour notre nation, nous implorons la miséricorde divine. Nous tendons la main à ceux dans le besoin, qu’ils soient membres de la communauté chrétienne, musulmane ou de la tradition religieuse. Grâce à votre générosité, nous affirmons l’unité de notre peuple et notre engagement envers notre nation », a déclaré le Cardinal Jean ZERBO, avant de conduire la prière de Saint François d’Assise. Au cours de la distribution à Daoudabougou, en Commune V du District de Bamako, le Révérend-Pasteur a exprimé sa gratitude pour cette aide sans précédent venant des autorités maliennes. Dr Nouh Ag Infa YATTARA a chaleureusement remercié le Président de la Transition pour cette action sociale et humanitaire, affirmant leur soutien total aux autorités et appelant à des prières régulières pour la paix et la réussite de la Transition. Le ministre des Affaires religieuses, du Culte et des Coutumes, visiblement touché, a loué l’engagement continu du Colonel GOÏTA en faveur de son département, exprimant également sa reconnaissance envers la communauté chrétienne pour sa contribution à la paix nationale. Pour sa part, le Conseiller spécial du Président de la Transition a rappelé le slogan du Colonel Assimi GOÏTA, soulignant que la construction de notre nation nécessite l’implication de tous les Maliens, quel que soit leur statut. M. Aguibou DEMBELE a qualifié ce geste de symbolique, soulignant l’engagement continu du Président de la Transition envers tous les Maliens. Il a exhorté la communauté chrétienne à intensifier ses prières et bénédictions pour le Mali, soulignant les défis auxquels le pays est confronté. Il convient de noter que les actions sociales du Président de la Transition s’étendent à toutes les régions du pays. Des centaines de puits ont été creusés, des ambulances médicalisées ont été fournies, et des centres de dialyse de pointe ont été construits à Bamako. Ces initiatives sociales se poursuivent et se diversifient dans le seul but d’assurer le bien-être des Maliens.

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