Œuvres sociales du Président de la Transition : inauguration du 400e forage à N’Tanfara

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La population du village de N’Tanfara, dans la Commune rurale du Mandé, Arrondissement de Kalanbacoro, a bénéficié d’un nouveau château d’eau inauguré ce jeudi 25 juillet 2024 par le Conseiller spécial du Président de la Transition, Monsieur Aguibou DEMBÉLÉ. Il était accompagné d’une forte délégation comprenant le Colonel Cheick Mamadou Chérif TOUNKARA, Directeur administratif et financier de la Présidence, et deux chargés de mission du Chef de l’État.
La cérémonie d’inauguration, présidée par M. Aguibou DEMBÉLÉ, Conseiller spécial du Président de la Transition chargé des œuvres sociales, a vu la participation du préfet adjoint du Cercle de Kati, Allassane PLÉA, du maire de la Commune rurale du Mandé, Ousmane KOUYATÉ, ainsi que des autorités traditionnelles et coutumières du village. Le maire a souligné, dans son discours, l’importance de cette réalisation : « Le Président a alloué deux tiers de son fonds de souveraineté au bien-être des populations, surtout des plus vulnérables, pour renforcer la justice sociale au Mali. Aujourd’hui, selon nos observations, nous pouvons dire que le Président alloue tous ses fonds à ces œuvres sociales, car il y a des forages implantés partout sur le territoire grâce à ces œuvres sociales ».
Les bénéficiaires, particulièrement les femmes et les jeunes du village, ont exprimé leur profonde gratitude. Mme Fanta DIAKITÉ, porte-parole des femmes, a remercié le Président de la Transition pour son geste. « Nous sommes profondément reconnaissantes pour cet acte qui soulage notre quotidien et nous prions pour la stabilité et la paix durable dans notre pays. Grâce à ce forage, nos enfants n’ont plus à parcourir plusieurs kilomètres pour chercher de l’eau potable ».
Ce 400e forage, a rappelé Monsieur Aguibou DEMBÉLÉ, est un signal fort. Il témoigne de l’engagement et de la volonté du Président de la Transition de mettre tout en œuvre pour soulager les populations, surtout les plus démunies. En effet, explique M. DEMBÉLÉ, depuis 2021, des forages ont été inaugurés à travers tout le pays. Aucune région n’a été omise. « Les œuvres sociales du Président de la Transition vont au-delà des dons de forages. En décembre 2023, 800 cartons de craies fabriqués par l’Union malienne des jeunes aveugles (UMAV) ont été distribués aux académies d’enseignement de Bamako, Koulikoro et Kati. Des équipements informatiques et des dictionnaires ont aussi été remis à plusieurs établissements, en plus de la rénovation de nombreuses écoles et de la construction de nouvelles salles de classe. Chaque rentrée scolaire voit la distribution de milliers de fournitures aux élèves issus de familles vulnérables », a-t-il rappelé.
Il a ajouté qu’il y a eu la pose de la première pierre de la Maison des Pupilles, l’élaboration de cartes bancaires pour ces orphelins, la construction de trois centres de dialyse dans les Communes IV, V et au Centre médico-chirurgical des Armées ainsi que leur dotation en intrants. Il y a aussi la rénovation du centre de dialyse de Kayes ainsi que la remise de 25 groupes électrogènes à l’EDM-SA en vue d’atténuer les délestages qui touchent les familles les plus vulnérables.
Après avoir invité les Maliens à plus de solidarité et d’entraide, le Conseiller spécial a insisté sur l’importance de l’entretien de ces installations. Il a encouragé le chef de village de N’Tanfara, les responsables des femmes et des jeunes à prendre soin du forage pour garantir sa durabilité et inspirer d’autres initiatives similaires.

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KOULOUBA: Mise en route de trois nouveaux Ambassadeurs

Le Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOITA, Chef de l’État, a reçu successivement en audience, ce mardi 21 mars 2023, les nouveaux Ambassadeurs de la République du Mali, accrédités auprès de la République du Ghana, de la Tunisie et de la Confédération Suisse. À leur sortie d’audience, les nouveaux diplomates ont indiqué être venus remercier le Président de la Transition pour cette marque de confiance à l’endroit de leur modeste personne. Aussi cette visite avait pour objectif de conforter une pratique institutionnelle, d’une part, et d’autre part recueillir les orientations du Président de la Transition. Ces nouveaux diplomates ont reçu de Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Président de la Transition, des directives claires et précises pour le meilleur accomplissement de leur mission. Le Chef de l’Etat leur a instruit la prise en charge des préoccupations de nos concitoyens dans les pays hôtes, le renforcement de la coopération bilatérale et surtout la promotion des intérêts du peuple malien afin que le Mali puisse tirer le meilleur bénéfice de sa relation avec les pays hôtes, ont déclaré les Ambassadeurs Abdoulaye TOUNKARA, Moussa SY et Oumar KONATE.

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Communiqué final de la 7ème session ordinaire de la Conférence des Chefs d’État du G5 Sahel du 15 février 2021

COMMUNIQUE FINAL DE LA 7ème SESSION ORDINAIRE DE LA CONFERENCE DES CHEFS D’ÉTAT DU G5 SAHEL La 7ème session ordinaire de la Conférence des Chefs d’État du G5 Sahel s’est tenue le 15 février 2021 à N’Djamena, en République du Tchad, sous la présidence de S.E.M. Mohamed Ould CHEIKH EL GHAZOUANI, Président de la République Islamique de Mauritanie, Président en exercice du G5 Sahel. Étaient présents à cette Conférence les Chefs d’État ci-après : S.E.M. Roch Marc Christian KABORE, Président du Burkina Faso ; S.E.M. Bah N’DAW, Président de la Transition de la République du Mali ; S.E.M. Issoufou MAHAMADOU, Président de la République du Niger ; Le Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO, Président de la République du Tchad. La Conférence a enregistré les participations ci-après : Au titre des Chefs d’État et de Gouvernement invités : S.E.M. Nana AKUFO-ADDO, Président de la République du Ghana, Président en exercice de la CEDEAO ; S.E.M. Macky SALL, Président de la République du Sénégal ; Le Général de Corps d’Armées Brahim GABIR IBRAHIM, Membre du conseil souverain de Transition du Soudan ; S.E.M. Saad Dine EL OTMANI, Premier Ministre du Royaume du Maroc, Chef du Gouvernement ; Au titre des pays : Emirats Arabes Unis, République de Côte d’Ivoire, Royaume d’Espagne, République Française. Au titre des Institutions et Organisations régionales et internationales : l’Organisation des Nations Unies (ONU), l’Union africaine, la CEDEAO, l’OCI, l’OIF, l’Alliance Sahel, la BADEA, l’Institut Panafricain des Stratégies. Sur la pandémie de Covid 19 Les Chefs d’État ont échangé sur la situation sanitaire de l’espace G5 Sahel relative à la pandémie de la Covid-19 et déploré les nombreuses pertes en vies humaines enregistrées dans les pays du G5 Sahel. Ils ont relevé avec gravité les conséquences sur l’ensemble des secteurs socioéconomiques et culturels des pays du G5 Sahel. Ils se sont félicités des efforts entrepris par les États pour la protection des populations et la lutte contre la propagation de la pandémie. Ils ont salué, à cet effet, l’appui considérable des partenaires du G5 Sahel tout en appelant à plus de solidarité de la Communauté internationale. Sur la situation sécuritaire Les Chefs d’État ont noté une amélioration de la situation sécuritaire dans les pays du G5 Sahel. Cette amélioration traduit la détermination des Forces de défense et de sécurité (FDS) engagées sur le terrain ainsi que la résilience croissante des populations face à la menace terroriste. Les Chefs d’État ont salué les efforts des partenaires en faveur du G5 Sahel et de ses États membres. Ils ont à cet égard, souligné le rôle essentiel joué par la force BARKHANE et ont rendu un hommage appuyé aux nombreuses victimes civiles et aux soldats tombés sur le champ d’honneur de la lutte contre le terrorisme au Sahel. Ils se sont félicités de la bonne collaboration ainsi que de l’amélioration progressive de la coordination entre les FDS des pays du G5 Sahel, la Force conjointe et les forces partenaires, tout en appelant à la poursuite et à la consolidation de cette dynamique. Ils ont appelé à une meilleure coordination entre la Force conjointe du G5 Sahel et la Force Multinationale Mixte (FMM) de stabilisation du Bassin du Lac Tchad. Les Chefs d’État ont salué la maturation progressive de la Force conjointe du G5 Sahel et se sont félicités des succès opérationnels enregistrés ces derniers mois, notamment à la suite des opérations d’envergure menées en coordination avec les FDS des pays membres du G5 Sahel et les forces partenaires dans les fuseaux Est (AMANE 2 / OBANNA 1-2-3), Ouest (DAREA + Planification d’une opération d’envergure) et Centre (PAGNALI 2-3 / SAMPARGA 3 / SAMA 1-2). Ils ont félicité l’ensemble des acteurs pour les sacrifices consentis tout en les rassurant de leur soutien indéfectible. Ils ont particulièrement adressé leurs vives félicitations au Général Oumarou NAMATA, pour les résultats atteints à la tête de la Force conjointe du G5 Sahel. Les Chefs d’État ont relevé que, malgré les progrès réalisés, les Groupes armés terroristes (GAT) constituent toujours une menace importante pour les populations sahéliennes. Ils ont exprimé des préoccupations relatives à la persistance de zones d’insécurité et à la diffusion des menaces, notamment vers le Sud du Sahel. Les Chefs d’État ont accordé une attention particulière à la situation en Libye. Ils se sont félicités des progrès réalisés dans le cadre du processus de paix sous l’égide des Nations Unies et de l’Union africaine. Les Chefs d’État ont réaffirmé leur détermination à poursuivre la lutte contre le terrorisme, à travailler à la réinstallation des populations déplacées internes et à accélérer le retour de l’État dans les zones sécurisées. Les Chefs d’État se sont félicités de l’approbation, par l’Union africaine, de la requête relative à l’appui de la capacité opérationnelle de la Force conjointe pour un montant de 20 millions €, à travers la Facilité africaine de paix (APF). Ils ont adressé leurs remerciements à l’Union africaine et à l’Union européenne pour leurs appuis respectifs. Les Chefs d’État ont réitéré leur appel lancé à la communauté internationale et au Conseil de Sécurité des Nations Unies pour un soutien conséquent à la Force conjointe en la plaçant sous le Chapitre VII de la Charte des Nations Unies et en lui assurant un financement pérenne. Ils ont exprimé le souhait de la création d’un Bureau des Nations Unies spécialement dédié au soutien à la Force conjointe. Les Chefs d’État ont remercié l’ensemble des partenaires et amis du Sahel pour leur appui constant dont la poursuite demeure capitale suivant des moyens et procédures répondant à l’urgence de la question. A cet effet, ils ont rappelé la mise en place du Fonds fiduciaire de la Force conjointe dont la gestion est assurée par un Comité de soutien sous la responsabilité du Secrétaire exécutif du G5 Sahel. Ils ont saisi cette opportunité pour renouveler leurs remerciements aux pays et institutions ayant contribué audit Fonds (Rwanda, Turquie, Emirats Arabes Unis, CEDEAO, UEMOA), et appelé à la concrétisation des annonces faites à Bruxelles en 2018. Les Chefs d’État ont rappelé

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Le Conseil de Sécurité Nationale du Mali : un dispositif présidentiel stratégique !

Dans la continuité de ses visites de prises de contacts et d’échanges avec les chefs de services et du personnel de la Présidence de la République, le Ministre Secrétaire général, Dr Kalilou DOUMBIA s’est rendu dans l’après-midi du lundi 15 mars 2021 dans les locaux du Conseil de Sécurité Nationale sis à Koulouba. Accompagné de son staff, le Ministre Dr Kalilou DOUMBIA, s’est imprégné des réalités environnementales et des conditions de travail dans lesquelles évoluent ses collaborateurs et collègues. Il s’est engagé à solliciter à son tour son employeur pour trouver des solutions idoines aux priorités du moment. Auparavant, dans ses mots introductifs, l’Inspecteur Général Ibrahim DIALLO, en présence de son personnel, et face à la délégation du Ministre DOUMBIA, a expliqué que l’une des priorités du Conseil de Sécurité Nationale du Mali, depuis le Sommet de Pau en 2018 en France, demeure la lutte contre le trafic d’êtres humains. Il a ensuite estimé qu’au delà de cette priorité, ils veulent s’engager efficacement dans la lutte contre les trafics de drogue, de cigarettes. Il faut pallier les manques à gagner du Trésor public. Ces trafics freinent le développement socio-économique. Et, l’argent issu de ces trafics de cigarettes et de drogues, de nos jours servent à alimenter les réseaux criminels. C’est un facteur d’aggravation de l’insécurité transfrontalière. Cellule de Communication et des Relations publiques de la Présidence de la République

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