Œuvres sociales du Président GOITA : 15 forages rien que pour la semaine dernière

Actualités

C’est une semaine mémorable qui vient de se conclure pour les maliens qui ont un accès difficile à l’eau. Le Président de la transition, SE Assimi GOITA a offert, rien que la semaine dernière 15 forages dans des quartiers et villages où l’eau est difficile d’accès. Ces infrastructures ont été solennellement ouvertes au public par la conseillère spéciale du Président en charge des questions sociales et sanitaires, le colonel Assan Babdiallo Touré.
Ces dons se font dans le cadre des œuvres sociales auxquelles le président GOITA consacre les deux tiers de son fonds de souveraineté, une première au Mali. Sur le volet ressources en eau dans le cadre desdites œuvres sociales, une quarantaine de forages ont été réalisés dont une trentaine déjà inaugurée.Ce mardi 24 août 2021 l’eau coulait ainsi dans les robinets à Point G, dans la mosquée Masjid Al Awal, à Dio-Gare à une trentaine de kilomètre de Kati ainsi qu’à Banankoro sur la route de Sikasso. Ici à Banankoro, grande est la joie des populations et le médecin chef du centre de santé qui enregistre chaque année dans son centre de santé de très graves maladies liées à l’eau malsaine que boivent les riverains. Pour lui, « la santé commence par l’eau c’est une grosse épine que le président nous enlève du pied, nous l’en remercions et mesurons l’importance de cet acte », a affirmé le médecin du centre de santé de Banankoro, Ndjicolo Doumbia. Le vice-président de l’association des anciens combattants de Sanankoroba et Banankoro, Adjudant/chef Kafa Dembélé, lui aussi, salue un acte d’une importance inestimable tant l’eau est un défi permanent dans la zone. Même son de cloche, ce mercredi 25 août 2021 à NIGONI bénéficiaire de forage, région de Sikasso , commune de N’kourala. « La difficile quête du précieux liquide a mis en danger le cursus scolaire de nombreux écoliers, qui passent la journée à chercher de l’eau. Cette quête ne leur laisse pas assez de temps pour l’école, mais maintenant c’est réglé on a l’eau, on aura la santé et l’éducation », s’est réjoui Dramane Sanogo natif de Nigoni, enseignant à Kadiolo. Cette journée du 25 août 2021 a été aussi marquée par l’inauguration d’un forage à Kambo, à 5 kilomètres de Kadiolo. La journée du 28 août 2021 a, elle, concerné Dogobala, Ngabacoro Droit- Moribabougou- Seydoubougou- Dialakorodji-Safo Falayan plaque-Safo Falayan ancien où en tout 7 forages ont été officiellement ouverts aux populations par la conseillère spéciale du président en charge des questions sociales et sanitaires, le colonel Assan Badiallo Touré.

Autres articles qui font l'actualité

COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 11 OCTOBRE 2023 CM N°2023-42/SGG

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le mercredi 11 octobre 2023, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat. Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a : – adopté des projets de texte ; – et entendu des communications. AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES 1. Sur le rapport du ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux, le Conseil des Ministres a adopté : a. un projet de loi portant Code pénal ; b. un projet de loi portant Code de Procédure pénale. De son accession à l’indépendance à nos jours, notre pays a adopté deux codes pénaux et deux codes de procédures pénales, respectivement en 1962 et en 2001. Le code pénal est un recueil de textes juridiques définissant de façon claire et précise les infractions à la loi pénale. Il fixe en même temps les peines qu’encourent les comportements fautifs qu’il s’agisse de personne physique ou morale. Le code de procédure pénale, est l’ensemble des textes qui regroupent les normes législatives relatives à la phase d’enquête, de poursuites, d’instruction et de jugement. Après plus de deux décennies d’application le code pénal et le code de procédure pénale ont montré des limites compte tenu de l’évolution socio-économique et du développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication. C’est ainsi qu’il a été entrepris un ambitieux programme législatif qui vise à mettre à la disposition des praticiens des instruments juridiques pertinents à même de lutter contre la criminalité sous ses diverses formes. En vue d’atteindre cet objectif, le Ministère de la Justice et des Droits de l’Homme, sur les Hautes instructions du Président de la Transition, Chef de l’Etat, a privilégié une démarche participative, de proximité et inclusive ayant concerné toutes les couches socioprofessionnelles à travers un atelier national de validation tenu à Bamako du 15 au 20 août 2022, à la suite de certains ateliers régionaux et des travaux de la Commission permanente législative de la Direction des Affaires judiciaires et du Sceau. L’objectif principal étant de disposer d’un Code pénal et d’un code de procédure pénale consensuels, moderne dont l’application contribuera non seulement à garantir la bonne gouvernance, la stabilité et la paix, mais aussi à restaurer la confiance des justiciables en la justice. Il convient de rappeler que le projet de Code pénal, comprend plus de 702 articles contre 328 dans le code en vigueur et comporte de principales innovations, à savoir : – l’harmonisation avec les dispositions de la nouvelle Constitution ; – l’agrégation des textes pénaux épars dans un seul et unique document ; – la prise en compte des dispositions relatives à la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, et du blanchiment du produit de la corruption, du recel du produit de la corruption entre autres ; – la lutte contre le terrorisme à travers notamment l’incrimination de l’apologie du terrorisme, le recrutement de terroristes ; – la prise en charge de nouvelles infractions telles que l’esclavage, la traite des personnes, le trafic illicite de migrants ; – l’introduction de plusieurs dispositions du droit pénal général pour combler un vide juridique, telles que l’objet de la loi et celui du règlement, le principe de la légalité des peines, le principe de non rétroactivité de la loi pénale et l’application de la loi dans le temps et dans l’espace ; – les mesures relatives à la protection des dénonciateurs, des experts, des témoins ; – l’introduction du principe de la responsabilité pénale des personnes morales à l’exclusion de l’État et des collectivités territoriales. Quant au projet de Code de procédure pénale, il comprend plus de 1371 articles contre 634 dans le code actuel et comporte de nombreuses innovations dont : – l’harmonisation avec la Constitution des dispositions relatives à la suppression des immunités et privilèges et à l’exercice des poursuites contre certains responsables politiques et administratifs ; – l’imprescriptibilité des infractions en matière de délinquance économique et financière en lien avec les biens publics lorsqu’elles sont de nature criminelle ; – la création de trois pôles spécialisés autonomes en matière de lutte contre la délinquance économique et financière, de lutte contre le terrorisme et la criminalité transnationale organisée et de lutte contre la cybercriminalité ; – la suppression des cours d’assises au profit des chambres criminelles au niveau des tribunaux de grande instance pour ne pas confiner les audiences dans une périodicité et instaurer le double degré de juridiction afin de permettre le jugement des affaires par les magistrats professionnels, le tout devant aboutir à la célérité dans la distribution de la justice et au désengorgement des maisons d’arrêt ; – l’introduction du juge de l’application des peines dont la mise en œuvre se fera progressivement en fonction du niveau de l’effectif des magistrats qui sera de nature à éviter la surpopulation carcérale ; – l’introduction de la surveillance électronique comme alternative à la détention dans certains cas ; – l’institution du référé liberté qui permet de demander la remise en liberté à tout moment et à toute étape de la procédure ; – l’introduction de sanctions en cas de violation de certaines règles de procédure contre les acteurs de la justice ; – l’introduction de procédures particulières, notamment les techniques spéciales d’enquête tout en les encadrant dans le temps et en respectant les principes de la proportionnalité en vue de préserver les droits de l’homme ; – l’actualisation des dispositions relatives au casier judiciaire ; – les précisions sur la procédure d’extradition. 2. Sur le rapport du ministre de l’Urbanisme, de l’Habitat, des Domaines, de l’Aménagement du Territoire et de la Population, le Conseil des Ministres a adopté un projet de décret portant affectation au Ministère de l’Administration territoriale et de la Décentralisation des parcelles de terrain, objet des titres fonciers n°32, n°33 et n°34 du Cercle de Nara, sises à Nara. Les parcelles de terrain, de

Lire »

Le Président Assimi GOÏTA accorde une audience à l’Amicale des anciens militants de l’Union nationale des élèves et étudiants du Mali (AMSUNEEM)

Le Président de la Transition, le Général d’Armée Assimi GOÏTA, a accordé, ce lundi 28 octobre 2024, une audience à l’Amicale des anciens militants et sympathisants de l’Union nationale des élèves et étudiants du Mali (AMSUNEEM). Cette rencontre, tenue en présence du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Bouréma KANSAYE, a permis d’aborder les enjeux liés à l’éducation, à la pacification du milieu scolaire et à la stabilité du pays. Au cours de cette audience, les échanges ont porté sur la pacification de l’espace scolaire et universitaire, le fonctionnement de l’école malienne et le retour à la stabilité dans le pays. À cette occasion, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Bouréma KANSAYE, a pris part aux discussions pour aborder les problématiques spécifiques au secteur de l’éducation. Selon El Hadj Seydou Patrice DEMBÉLÉ, secrétaire général de l’AMSUNEEM, l’audience a permis de « remettre notre expérience au service de notre pays » et de témoigner du soutien de l’association à la transition en cours, tout en soulignant leur mission d’œuvrer pour un climat de paix et d’unité nationale. L’AMSUNEEM, association apolitique regroupant d’anciens militants, intervient depuis des années pour la résolution de conflits sociaux, en particulier ceux touchant les étudiants et toute l’école malienne. Durant cet échange, la délégation a remercié le Président GOÏTA pour les actions entreprises dans le cadre de la consolidation de la paix, notamment le Dialogue Inter-Malien et les États généraux de l’éducation. La question de la dissolution de l’Association des élèves et étudiants du Mali (AEEM) a également été soulevée. En 2021, l’AMSUNEEM avait plaidé pour une réforme de cette association, alors confrontée à des problèmes de violence entre étudiants. M. DEMBÉLÉ a proposé qu’une nouvelle structure soit envisagée pour corriger les erreurs passées et assurer une meilleure gestion des préoccupations estudiantines. Un autre point important abordé a été le retard dans le paiement des bourses d’études, une situation complexe qui affecte les étudiants et a suscité de multiples réclamations. Pr KANSAYE a rassuré l’AMSUNEEM en indiquant que des fonds avaient été débloqués pour régulariser la situation, bien que des contraintes administratives et la superposition des années académiques aient ralenti le processus. M. DEMBÉLÉ a exprimé l’engagement de l’AMSUNEEM à soutenir la Transition tout en continuant de proposer des recommandations pour améliorer la situation de l’éducation au Mali. « Nous allons continuer à soutenir cette transition et à faire entendre notre voix pour le bien de la nation », a-t-il déclaré, tout en appelant les Maliens à l’unité et à la tolérance pour un Mali apaisé et prospère.

Lire »

COOPÉRATION MILITAIRE MALI-RUSSIE : Le Président Assimi GOÏTA reçoit une délégation russe

Le Président de la Transition, Son Excellence Le Général d’Armée Assimi GOÏTA, Chef de l’État et Chef suprême des Armées, a accordé une audience, ce mardi 11 novembre 2025, à une importante délégation de la Fédération de Russie conduite par le Vice-Ministre de la Défense. La rencontre, qui s’est tenue au Palais de Koulouba, s’est déroulée en présence du Général de Corps d’Armée Sadio CAMARA, Ministre de la Défense et des Anciens combattants, et du Général Alou Boï DIARRA, Chef d’État-major général de l’Armée de l’air. Cette audience s’inscrit dans le cadre du renforcement de la coopération bilatérale entre le Mali et la Fédération de Russie. Elle se tient en marge du Salon international de la Défense et de la Sécurité de Bamako (BAMEX 2025), prévu du 11 au 14 novembre. Au cours des échanges, la délégation russe a réaffirmé la volonté de Moscou d’accompagner le Mali dans sa lutte contre le terrorisme, tout en transmettant les messages de solidarité et de soutien du gouvernement et du peuple russes. Les deux parties ont réitéré leur attachement à un partenariat fondé sur la confiance mutuelle, le respect de la souveraineté nationale et la promotion d’une coopération durable au service de la paix et de la stabilité.

Lire »

Partagez cette page sur vos réseaux sociaux :