SOLIDARITÉ : Le Général d’Armée Assimi GOÏTA au chevet des enfants du Village SOS Sanankoroba et des familles démunies

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Dans le cadre de ses œuvres sociales, Son Excellence le Général d’Armée Assimi GOÏTA, Président de la Transition, a fait don, le vendredi 28 février 2025, de 150 kits alimentaires au Village SOS Sanankoroba. Chaque kit comprend 50 kg de riz, 50 kg de sucre, 5 kg de pâtes alimentaires et un bidon d’huile de 5 litres.
Le même jour, 300 familles démunies des localités de Bougouni et Ouélessébougou ont également bénéficié de ces denrées de première nécessité. Ce geste vise à soutenir la direction du Village SOS Sanankoroba dans la prise en charge des enfants pensionnaires et à soulager les familles vulnérables, en particulier durant cette période de jeûne.
À Ouélessébougou, le représentant du Chef de village, M. Daba SAMAKÉ, a salué l’initiative du Président, la qualifiant d’acte de bienveillance et de solidarité exemplaire. Mme Sira SANOGO, une bénéficiaire, a tenu à exprimer sa reconnaissance en soulignant l’impact positif de cette aide, notamment pour les veuves de militaires, qui traversent des moments particulièrement difficiles.
De son côté, M. Amadou SOÏBA, Directeur du Village SOS Sanankoroba, a rappelé que l’établissement accueille actuellement 58 filles et 56 garçons. Il a mis en avant le rôle crucial des mamans SOS, des tantes SOS, des éducateurs et des assistantes sociales dans l’encadrement des enfants. Il a également plaidé pour que ces œuvres sociales bénéficient aux autres Villages SOS du pays, notamment ceux de Kita, Kayes et Mopti. « Ce don est une contribution précieuse qui vient renforcer la participation locale à la prise en charge et au bon fonctionnement du Village », a-t-il affirmé.
Mme Assétou FANÉ, maman SOS, a également salué le Président pour cette action généreuse, rappelant qu’il avait déjà offert un forage et des vivres au Village SOS Sanankoroba.
Lors de la cérémonie, M. Aguibou DEMBÉLÉ a souligné la volonté du Chef de l’État de soutenir les plus fragiles. « Dans le cadre des œuvres sociales du Président de la Transition, Son Excellence le Général d’Armée Assimi GOÏTA, nous procédons aujourd’hui à la distribution de kits alimentaires composés de produits de première nécessité. Ces denrées visent à soulager les familles durant cette période de jeûne et à leur apporter un peu de réconfort. Pour le Village SOS Sanankoroba, il s’agit d’un coup de cœur pour ces enfants qui sont chers au Président Assimi GOÏTA », a-t-il indiqué.
Par ailleurs, M. Aguibou DEMBÉLÉ a exhorté les Maliens à cultiver, en cette période, les valeurs d’entraide et de solidarité pour le bien-être de tous.

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Célébration du 08 mars : Pour plus d’égalité du genre et d’autonomisation de la Femme

Le Mali, à l’instar de la Communauté internationale, a célébré, lundi 08 mars 2021 au Palais de Koulouba, la Journée Internationale de la Femme, 27ème édition.Le Président de la Transition, SEM Bah N’DAW, Chef de l’État a présidé la cérémonie officielle qui était retransmise en direct sur l’ensemble du réseau synchronisé de l’ORTM via une interconnexion avec les régions et à travers une salle du CICB.   La cérémonie s’est déroulée en présence du Colonel Assimi GOÏTA, Vice-président de la Transition, de M. Moctar OUANE, Premier ministre, Colonel Malick DIAW, Président du Conseil National de Transition. Etaient également présentes, Mme BOUARE Bintou Founé SAMAKÉ, Ministre de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille ; Dr Fanta SIBY, Ministre de la Santé et du Développement social ; Mme Kadiatou KONARE, Ministre de la Culture, de l’Artisanat et du Tourisme et des anciennes ministres en Charge de la Femme. Des Ambassadeurs et Représentants du Corps diplomatique accrédités au Mali ont aussi pris part à la cérémonie.   Placée sous le thème national : « Leadership féminin : pour plus d’égalité au Mali dans le contexte de la COVID-19 », la Journée du 08 mars a été commémorée, cette année, dans atmosphère sobre mais très significative eu égard à la symbolique de l’événement. La cérémonie a été ponctuée par 6 interventions à savoir : – Mot de bienvenue de Mme le Maire de la Commune III du District de Bamako,  DJIRE Mariam DIALLO ; – Message de circonstance de MBaranga GASSARAMBWE, Représentante Spéciale Adjointe du Secrétaire général des Nations Unies, Coordinatrice humanitaire et résidente du Système des Nations unies au Mali ; – Message de soutien de Mme Diana JANSE, Cheffe de File du Groupe Thématique Genre, Représentante des Partenaires Techniques et Financiers ; – Message de Plaidoyer de Mme DOUMBIA, Mama KOITA, Porte-parole des Organisations féminines de la Société civile ; – Discours bilan de Mme BOUARE Bintou Founé SAMAKÉ, Ministre de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille ; – Allocation de SEM Bah N’DAW, Chef de l’État.     Le Président Bah N’DAW a donné les assurances de l’engagement de notre pays, à respecter tous ses engagements relatifs aux instruments juridiques régionaux et internationaux auxquels il a volontairement souscrit. Pour ce faire, il a engagé le Gouvernement, à tout mettre en œuvre, pour l’égalité des sexes et l’autonomisation de la Femme conformément aux Objectifs de Développement Durable (ODD), l’Agenda 2063 de l’Union Africaine, et le Cadre Stratégique pour la Relance Economique, et le Développement Durable (CREDD). Enfin, le Chef de l’État a adressé ses sincères et chaleureux remerciements, à tous les Partenaires Techniques et Financiers, pour leurs soutiens constants aux côtés du Mali, dans cette lutte implacable contre la COVID-19, la sécurisation des populations et de leurs biens, la promotion et la protection des droits de la Femme.

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Communiqué du Conseil des Ministres du mercredi 24 mars 2021

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le mercredi 24mars 2021, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba sous la présidence de Monsieur Bah N’DAW, Président de la Transition, Chef de l’Etat. Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a : – adopté des projets de textes ; – et entendu des communications. AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES AU TITRE DU MINISTERE DES AFFAIRES FONCIERES, DE L’URBANISME ET DE L’HABITAT Sur le rapport du ministre des Affaires foncières, de l’Urbanisme et de l’Habitat, le Conseil des Ministres a adopté : 1. un projet de décret portant affectation au Ministère de la Culture, de l’Artisanat et du Tourisme de la parcelle de terrain, objet du titre foncier n°15409 du Cercle de Kayes, sise à Diakalel, Commune rurale de Bangassi. La parcelle de terrain, d’une superficie totale de 24 ares 7 centiares, est destinée à la construction des bureaux de la Direction régionale du Tourisme et de l’Hôtellerie de Kayes. La construction de ces nouveaux bureaux s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du programme de construction et d’équipement des structures régionales du Ministère en charge du Tourisme et permettra d’améliorer les conditions de travail des agents de la direction. 2. un projet de décret portant affectation au Ministère des Mines, l’Energie et de l’Eau de la parcelle de terrain, objet du titre foncier n°548 du Cercle de Bla, sise à Touna. La parcelle de terrain, d’une superficie de199 hectares 32 ares 82 centiares, est destinée à la construction d’une centrale solaire photovoltaïque et à la construction de la ligne de 33 Kilovolts pour raccorder les localités de M’Pessoba, Touna et Bla à travers le poste de transformation de Koutiala. La réalisation du projet de construction de la centrale solaire photovoltaïque permettra d’augmenter les capacités de production et de transport d’électricité, d’améliorer la desserte de la ville de Bla en électricité et d’augmenter la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique. Le projet participe de la mise en œuvre de la Politique énergétique nationale et de la stratégie de développement des énergies renouvelables. AU TITRE DU MINISTERE DE LA COMMUNICATION ET DE L’ECONOMIE NUMERIQUE Sur le rapport du ministre de la Communication et de l’Economie numérique, le Conseil des Ministres a adopté un projet de décret portant approbation de la convention de concession du service public postal universel. La convention est conclue, pour une durée de 10 ans renouvelable, entre l’Etat et LA POSTE conformément aux dispositions de la Loi n°2017-016 du 12 Juin 2017 portant réglementation du secteur postal. La convention est assortie d’un cahier de charges qui fixe les conditions et les modalités de la mise en œuvre du service public postal universel. Dans le cadre de cette convention, LA POSTE a l’obligation de maintenir les points de contact existants et d’étendre le réseau postal pour couvrir notamment les chefs-lieux de région, de cercle, de commune et les villages de plus de 1000habitants. LA POSTE devrait également développer divers services financiers dont les services des chèques postaux, des mandats, des valeurs à recouvrer, de l’épargne postale et de la monnaie électronique. La mise en œuvre de la convention permettra également d’avoir une meilleure visibilité de l’écosystème du secteur postal et d’assurer la fourniture régulière des services postaux de qualité sur toute l’étendue du territoire national. AU CHAPITRE DES COMMUNICATIONS AU TITRE DU MINISTERE DE L’ENVIRONNEMENT, DE L’ASSAINISSEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE Sur le rapport du ministre de l’Environnement, de l’Assainissement et du Développement durable, le Conseil des Ministres a pris acte de la stratégie nationale de financement de l’environnement et son Plan d’action 2021-2025. La politique nationale de la protection de l’environnement adopté par le Gouvernement en 2019 vise à assurer la sécurité alimentaire et le développement des capacités nationales de gestion des ressources naturelles. La stratégie de financement de l’environnement prend en compte les priorités nationales et vise à mobiliser l’ensemble des mécanismes financiers disponibles, y compris la fiscalité écologique en vue d’assurer la mise œuvre de la politique nationale de la protection de l’environnement. Elle est assortie d’un Plan d’action 2021-2025 dont le financement sera assuré par l’Etat, le secteur privé, les collectivités territoriales et les partenaires techniques et financiers. La mise en œuvre du plan d’action de la stratégie permettra entre autres : – d’accroitre les ressources allouées au financement des questions environnementales ; – d’améliorer la gouvernance environnementale et climatique ; – de renforcer les capacités des parties prenantes de l’environnement et des changements climatiques ; – de mieux coordonner les différentes interventions et d’assurer le suivi de la mise en œuvre et l’évaluation des performances. AU TITRE DU MINISTERE DE LA SANTE ET DU DEVELOPPEMENT SOCIAL Le ministre de la Santé et du Développement social a informé le Conseil des Ministres de l’évolution de la maladie à Coronavirus marquée, notamment par une augmentation du nombre de cas testés positifs par rapport à la semaine précédente. Le ministre a également présenté au Conseil des Ministres l’état des préparatifs de la campagne de vaccination contre la maladie à coronavirus qui démarrera dans les prochains jours. Le Président de la Transition a instruit au Gouvernement de renforcer les dispositifs de prévention et de lutte contre la maladie à coronavirus en cours. Le Chef de l’Etat a également réitéré l’appel à la population pour le respect strict des mesures barrières dans les services et dans les espaces ouverts au public. Bamako, le 24 mars 2021. Le Secrétaire général du Gouvernement, Salifou DIABATE Chevalier de l’Ordre national

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COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 11 OCTOBRE 2023 CM N°2023-42/SGG

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le mercredi 11 octobre 2023, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat. Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a : – adopté des projets de texte ; – et entendu des communications. AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES 1. Sur le rapport du ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux, le Conseil des Ministres a adopté : a. un projet de loi portant Code pénal ; b. un projet de loi portant Code de Procédure pénale. De son accession à l’indépendance à nos jours, notre pays a adopté deux codes pénaux et deux codes de procédures pénales, respectivement en 1962 et en 2001. Le code pénal est un recueil de textes juridiques définissant de façon claire et précise les infractions à la loi pénale. Il fixe en même temps les peines qu’encourent les comportements fautifs qu’il s’agisse de personne physique ou morale. Le code de procédure pénale, est l’ensemble des textes qui regroupent les normes législatives relatives à la phase d’enquête, de poursuites, d’instruction et de jugement. Après plus de deux décennies d’application le code pénal et le code de procédure pénale ont montré des limites compte tenu de l’évolution socio-économique et du développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication. C’est ainsi qu’il a été entrepris un ambitieux programme législatif qui vise à mettre à la disposition des praticiens des instruments juridiques pertinents à même de lutter contre la criminalité sous ses diverses formes. En vue d’atteindre cet objectif, le Ministère de la Justice et des Droits de l’Homme, sur les Hautes instructions du Président de la Transition, Chef de l’Etat, a privilégié une démarche participative, de proximité et inclusive ayant concerné toutes les couches socioprofessionnelles à travers un atelier national de validation tenu à Bamako du 15 au 20 août 2022, à la suite de certains ateliers régionaux et des travaux de la Commission permanente législative de la Direction des Affaires judiciaires et du Sceau. L’objectif principal étant de disposer d’un Code pénal et d’un code de procédure pénale consensuels, moderne dont l’application contribuera non seulement à garantir la bonne gouvernance, la stabilité et la paix, mais aussi à restaurer la confiance des justiciables en la justice. Il convient de rappeler que le projet de Code pénal, comprend plus de 702 articles contre 328 dans le code en vigueur et comporte de principales innovations, à savoir : – l’harmonisation avec les dispositions de la nouvelle Constitution ; – l’agrégation des textes pénaux épars dans un seul et unique document ; – la prise en compte des dispositions relatives à la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, et du blanchiment du produit de la corruption, du recel du produit de la corruption entre autres ; – la lutte contre le terrorisme à travers notamment l’incrimination de l’apologie du terrorisme, le recrutement de terroristes ; – la prise en charge de nouvelles infractions telles que l’esclavage, la traite des personnes, le trafic illicite de migrants ; – l’introduction de plusieurs dispositions du droit pénal général pour combler un vide juridique, telles que l’objet de la loi et celui du règlement, le principe de la légalité des peines, le principe de non rétroactivité de la loi pénale et l’application de la loi dans le temps et dans l’espace ; – les mesures relatives à la protection des dénonciateurs, des experts, des témoins ; – l’introduction du principe de la responsabilité pénale des personnes morales à l’exclusion de l’État et des collectivités territoriales. Quant au projet de Code de procédure pénale, il comprend plus de 1371 articles contre 634 dans le code actuel et comporte de nombreuses innovations dont : – l’harmonisation avec la Constitution des dispositions relatives à la suppression des immunités et privilèges et à l’exercice des poursuites contre certains responsables politiques et administratifs ; – l’imprescriptibilité des infractions en matière de délinquance économique et financière en lien avec les biens publics lorsqu’elles sont de nature criminelle ; – la création de trois pôles spécialisés autonomes en matière de lutte contre la délinquance économique et financière, de lutte contre le terrorisme et la criminalité transnationale organisée et de lutte contre la cybercriminalité ; – la suppression des cours d’assises au profit des chambres criminelles au niveau des tribunaux de grande instance pour ne pas confiner les audiences dans une périodicité et instaurer le double degré de juridiction afin de permettre le jugement des affaires par les magistrats professionnels, le tout devant aboutir à la célérité dans la distribution de la justice et au désengorgement des maisons d’arrêt ; – l’introduction du juge de l’application des peines dont la mise en œuvre se fera progressivement en fonction du niveau de l’effectif des magistrats qui sera de nature à éviter la surpopulation carcérale ; – l’introduction de la surveillance électronique comme alternative à la détention dans certains cas ; – l’institution du référé liberté qui permet de demander la remise en liberté à tout moment et à toute étape de la procédure ; – l’introduction de sanctions en cas de violation de certaines règles de procédure contre les acteurs de la justice ; – l’introduction de procédures particulières, notamment les techniques spéciales d’enquête tout en les encadrant dans le temps et en respectant les principes de la proportionnalité en vue de préserver les droits de l’homme ; – l’actualisation des dispositions relatives au casier judiciaire ; – les précisions sur la procédure d’extradition. 2. Sur le rapport du ministre de l’Urbanisme, de l’Habitat, des Domaines, de l’Aménagement du Territoire et de la Population, le Conseil des Ministres a adopté un projet de décret portant affectation au Ministère de l’Administration territoriale et de la Décentralisation des parcelles de terrain, objet des titres fonciers n°32, n°33 et n°34 du Cercle de Nara, sises à Nara. Les parcelles de terrain, de

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