Oeuvres sociales : Le Colonel Assimi GOITA joint l’acte à la parole

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Dans le cadre de la solidarité et du développement social, le Colonel Assan Badiallo TOURE, Conseillère spéciale du Président de la Transition, a procédé à la remise de deux forages aux populations de Sogonafing et au Centre de Santé Communautaire de Kati-Malibougou, au nom de Son Excellence le Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’État, ce jeudi 1er juillet 2021.

Il s’agit en effet de deux forages de soixante mètres de profondeur chacun, avec un débit de cinq mètres cubes (5m3) par heur e sur des plates-formes de six mètres de hauteur pour plus de pression à servir des bornes fontaines, distantes d’environ cent mètres a indiqué Monsieur Souleymane COULIBALY, Responsable de l’entreprise chargée de la réalisation de l’ouvrage.

Pour le Chef de village de Sogonafing, c’est un rêve réalisé. Un rêve réalisé, a-t-il martelé, considérant la difficile accessibilité des populations de Sogonafing aux points d’eau. Au delà de ce soulagement, il faut souligner que ce joyau leur facilitera la poursuite de la clôture des cimetières dont les travaux sont en cours.

Au Centre de Santé de Kati-Malibougou, la Présidente du Comité de Gestion se réjouit quant à elle, de la fin de leurs corvées quotidiennes, et des accompagnatrices des patientes. Nombreux étaient les intervenants qui, tour à tour, ont dans la ferveur exprimé leur joie et surtout leurs remerciements à Son Excellence le Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’État pour cette initiative, combien importante dans le domaine du social.

Cette initiative dira, le Colonel Assan Badiallo TOURE, relève de l’engagement du Président de la Transition à renoncer aux deux tiers (2/3) de son fonds de souveraineté pour les consacrer aux œuvres sociales et sanitaires envers les populations. Toutefois le Colonel Assan Badiallo TOURE fera remarquer que ce n’est qu’un début.

   

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Lancement du Plan national de Réponse à l’insécurité alimentaire et à la malnutrition par le Président de la Transition

Poursuivant sa visite historique dans la région de Sikasso, le Président de la Transition a procédé au lancement officiel d’un ambitieux plan de réponse contre l’insécurité alimentaire. Cet acte constitue la deuxième étape majeure de sa visite. Le geste démontre l’engagement du Chef de l’État à aborder les défis urgents auxquels le pays est confronté. Il s’agit des défis posés par l’insécurité alimentaire, exacerbés par les conditions climatiques défavorables, la situation sécuritaire et la pandémie de COVID-19. Pour cette année 2024, le Plan national de Réponse à l’insécurité alimentaire(PNR) prévoit des actions de résilience et de renforcement des moyens d’existence. En clair, il s’agit de la distribution de 5 000 tonnes d’aliments pour bétail aux éleveurs, de la mobilisation de 600 tonnes d’aliments pour poisson/volaille, ainsi que de la réalisation et de la réhabilitation des périmètres maraîchers. L’aménagement et la restauration de près de 2 800 hectares de terres dégradées comprennent également des périmètres maraîchers pour les associations de femmes. Dans la même optique, 118 tonnes de céréales seront destinées au cercle de Kadiolo et 353 tonnes pour le cercle de Sikasso. Le Plan National de Réponse à l’insécurité alimentaire est mis en œuvre pour exprimer la solidarité nationale. Les responsables communautaires et les représentants des agriculteurs ont salué cette initiative comme une étape importante vers l’amélioration des conditions de vie et la promotion du développement durable dans la région.

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COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU VENDREDI 16 JUIN 2023 CM N°2023-25/SGG

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le vendredi 16 juin 2023, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat. Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a : – adopté des projets de texte ; – et entendu des communications. AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES 1. Sur le rapport du ministre des Transports et des Infrastructures, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte régissant la circulation routière. Les textes législatifs et réglementaires constituant le code de la route comprennent la Loi n°99- 004 du 02 mars 1999 régissant la circulation routière et le Décret n°99-134/P-RM du 26 mai 1999 fixant les conditions de l’usage des voies ouvertes à la circulation publique et de la mise en circulation des véhicules. Dans la pratique, ces textes ont révélé des insuffisances parmi lesquelles on peut citer, notamment : – la non réglementation du transport mixte ; – la prolifération de nouveaux types de tricycles et quadricycles utilisés comme moyens de transport public ; – la non prise en compte des corbillards dans la catégorie des véhicules prioritaires ; – le faible niveau de formation des candidats à l’examen du permis de conduire, dû à l’absence de formation préalable et obligatoire dans un établissement d’enseignement de la conduite des véhicules ; – l’absence de moyens adéquats pour contrôler les dépassements de vitesse ; – l’absence de règlementation relative aux conditions de travail dans les transports routiers, en ce qui concerne les temps de conduite et de repos ; – la centralisation de la commission technique spéciale de retrait du permis et autorisation de conduire ; – la non prise en compte dans la règlementation sur le port du casque des passagers des motocyclettes, des conducteurs et passagers des vélomoteurs, cyclomoteurs ainsi que des cycles ; – la limitation du port de la ceinture de sécurité en rase campagne ; – la non-conformité aux dispositions communautaires relatives à l’harmonisation des normes et procédures du contrôle de gabarit, du poids et de la charge à l’essieu des véhicules lourds de transport de marchandises dans les Etats de l’Union Economique et Monétaire Ouest africaine ; – la non-conformité aux dispositions communautaires relatives à l’institution d’un schéma harmonisé de gestion de la sécurité routière et à l’organisation du système de formation à l’obtention du permis de conduire dans les Etats membres de l’Union Economique et Monétaire Ouest africaine ; – l’absence des dispositifs de signalisation des véhicules à traction animale en stationnement et d’un centre de transformation des véhicules. Les projets de texte adoptés visent à corriger les insuffisances constatées et à renforcer la sécurité individuelle et collective sur les routes à travers, notamment : – l’introduction des sanctions liées aux surcharges des véhicules de transport en commun ; – l’interdiction expresse du transport mixte ; – l’instauration du permis de conduire de la catégorie B1 pour les tricycles et quadricycles affectés au transport public ; – l’extension de la catégorie C aux appareils de levage et de manutention, comme il est prévu pour les engins de travaux publics, les tracteurs agricoles et les machines agricoles automotrices ; – le classement des corbillards dans la catégorie des véhicules prioritaires ; – l’instauration de la formation préalable obligatoire des candidats à l’examen du permis de conduire dans un établissement d’enseignement de la conduite des véhicules ; – l’institution d’une formation complémentaire pour les conducteurs professionnels ; – la déconcentration de la Commission technique spéciale de retrait du permis et de l’autorisation de conduire au niveau des régions ; – la règlementation du temps de conduite et de repos ; – la fixation de la vitesse maximum sur autoroute à 120 km par heure et l’institution d’un système de contrôle de la vitesse par radar ; – l’introduction du contrôle du taux d’alcoolémie et de celui du taux de consommation de la drogue ; – l’élargissement de la règlementation du port obligatoire du casque aux passagers de motocyclettes aux conducteurs et aux passagers des vélomoteurs, cyclomoteurs et des cycles ; – le port obligatoire de la ceinture de sécurité pour les conducteurs et les passagers de véhicules équipés de ceinture ; – la soumission des motocyclettes, tricycles et quadricycles au contrôle technique. 2. Sur le rapport du ministre de l’Economie et des Finances, le Conseil des Ministres a adopté un projet de décret portant reconnaissance du caractère extraordinaire de la crise énergétique. Les conditions difficiles de production ainsi que les difficultés d’accès à l’énergie sont des évènements qui ont abouti à une crise énergétique. La Société Energie du Mali, qui a pour mission la mise en œuvre du service public de l’électricité, a des indicateurs de performance financière fortement dégradés depuis plusieurs années qui ne favorisent pas les investissements conséquents pour faire face à la demande croissante. Cette dégradation des indicateurs est due essentiellement au fait que le kilo watt heure d’électricité produit à 140 francs CFA est vendu à 100 francs CFA, soit une perte de 40 francs CFA par kilo watt heure produit. Pour faire face à cette situation, le Gouvernement a adopté en mars 2022, un Plan de Redressement de la société Energie du Mali accompagné d’un plan quinquennal d’investissement sur la période 2022-2026 dont la mise en œuvre requiert l’accompagnement et le soutien de l’Etat. Le projet de décret adopté vise à reconnaître le caractère extraordinaire de la crise énergétique pour permettre d’accorder, à la Société Energie du Mali, des exonérations fiscales et douanières pour l’acquisition de certains biens et services dans le cadre de la mise en œuvre du plan d’investissement 2022-2026. 3. Sur le rapport du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation et aux modalités de fonctionnement de l’Institut national de Recherche sur la Médecine et la pharmacopée traditionnelles. La médecine traditionnelle est l’ensemble des connaissances et

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Présidence de la CAF : Le soutien du Mali sollicité par la Côte d’Ivoire

Le  Président de la Transition, SEM Bah N’DAW a reçu en audience, ce mardi 23 février 2021, M. Siguide SOUMAHORO, ancien ministre de la Jeunesse et des Sports et Envoyé spécial du Président ivoirien Alassane OUATTARA, porteur d’un message. La Côte d’Ivoire y sollicite le soutien du Mali en faveur de son candidat à la prochaine élection de la présidence de la Confédération africaine de football (CAF). Le candidat ivoirien M. Jacques ANOUMA a déjà à son actif deux participations de la Côte d’Ivoire à des phases finales de la Coupe du Monde. « Nous avons compris que nos seuls suffrages ne pourront pas amener M. Jacques ANOUMA à la tête de la CAF, pour cela, le Président Alassane OUATTARA, qui, mieux que nous tous, a compris ce que représente le football aujourd’hui dans la promotion d’un État a décidé de s’investir personnellement en sonnant la mobilisation aussi bien au plan interne qu’au plan extérieur », a expliqué M. Siguide SOUMAHORO à l’issue de l’audience.  

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