Œuvres sociales du Président GOÏTA : l’Education à l’honneur  à Kalabancoro

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Faisant d’une pierre deux coups, l’équipe des œuvres sociales du Président de la Transition, a eu l’ingénieuse idée de valoriser les efforts des handicapés visuels de de l’Union malienne des Aveugles du Mali en achetant 800  cartons de leur production de craies avant d’en faire don aux académies d’enseignement de Bamako, Koulikoro et Kati.

L’achat de ce stock de craies à l’UMAV, suivi de sa distribution dans différentes circonscriptions académiques, s’inscrit dans le cadre des actions sociales initiées par le Président de la Transition. L’équipe des œuvres sociales, dirigée par M. Aguibou DEMBÉLÉ, Conseiller spécial du Chef de l’État, a entamé cette distribution à l’académie d’enseignement de Kalabancoro.

La cérémonie, certes sobre mais empreinte de signification profonde, s’est déroulée en présence du représentant du ministre de l’Éducation nationale, M. Issoufi DICKO, également Secrétaire Général dudit département. Les autorités administratives, éducatives, politiques, et coutumières du Cercle de Kati, ainsi que de la localité de Kalabancoro, ont participé à cet événement marquant. La présence du 2e Vice-président du Conseil national de Transition (CNT), Mme Djikiné Hatouma GAKOU, et du Président de l’UMAV, Hadji BARRY, a ajouté une touche significative à cette occasion.

Selon les dires d’Aguibou DEMBÉLÉ, cette initiative va au-delà de la philanthropie dans la mesure où elle s’inscrit en droite ligne de la commémoration de la Journée internationale des personnes vivant avec un handicap, célébrée le 3 décembre de chaque année. Le Chef de l’État a spécifiquement choisi d’acquérir de la craie auprès de l’UMAV, mettant en lumière la qualité méconnue du produit conçu par des non-voyants. « Plus de 800 cartons ont été acquis et seront distribués dans diverses académies du pays », a-t-il souligné.

À travers cette démarche, le Président de la Transition exprime son soutien envers les membres de l’UMAV tout en réaffirmant son engagement en faveur de l’éducation au Mali. M. Aguibou DEMBÉLÉ commente avec conviction : « Cela atteste que le nouveau Mali émergera grâce au nouveau Malien, éduqué, instruit, et capable de servir notre pays avec excellence. » Il assure que le Président GOÏTA continuera à étendre son assistance à la population malienne dans le cadre des œuvres sociales.

Cette action du Chef de l’État a été chaleureusement saluée par le Président de l’Union malienne des Aveugles, M. Hadji BARRY, qui a exprimé sa gratitude envers le Président de la Transition pour cet exemple concret de consommation responsable, inscrit dans la vision du nouveau Mali. Il souligne que soutenir les produits fabriqués par ceux qui sont dans le besoin est une manière efficace de lutter contre la pauvreté.

Au-delà des 800 cartons de craies acquis par le Président de la Transition, M. Hadji BARRY annonce la présence de plus de 2 000 autres cartons dans leurs entrepôts, prêts à être distribués. Selon lui, l’achat de ces cartons supplémentaires permettra de créer des emplois pour les personnes en situation de handicap et d’autres personnes solidaires avec cette cause.

Issoufi DICKO, Secrétaire Général du ministère de l’Éducation nationale, rappelle les engagements du Président de la Transition en faveur du système éducatif malien. Ces engagements, notamment la réhabilitation des infrastructures scolaires, prennent forme progressivement.

Durant son récent déplacement à Kayes, le Colonel Assimi GOÏTA a posé la première pierre du lycée public à Kayes N’di et pris des engagements, dont la tenue des États généraux de l’éducation avant le 31 décembre 2023. Il salue par ailleurs l’implication du Chef de l’État dans l’éducation, témoignée tant par la dotation en matériels didactiques que par le soutien global au système éducatif.

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COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU VENDREDI 16 JUIN 2023 CM N°2023-25/SGG

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le vendredi 16 juin 2023, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat. Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a : – adopté des projets de texte ; – et entendu des communications. AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES 1. Sur le rapport du ministre des Transports et des Infrastructures, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte régissant la circulation routière. Les textes législatifs et réglementaires constituant le code de la route comprennent la Loi n°99- 004 du 02 mars 1999 régissant la circulation routière et le Décret n°99-134/P-RM du 26 mai 1999 fixant les conditions de l’usage des voies ouvertes à la circulation publique et de la mise en circulation des véhicules. Dans la pratique, ces textes ont révélé des insuffisances parmi lesquelles on peut citer, notamment : – la non réglementation du transport mixte ; – la prolifération de nouveaux types de tricycles et quadricycles utilisés comme moyens de transport public ; – la non prise en compte des corbillards dans la catégorie des véhicules prioritaires ; – le faible niveau de formation des candidats à l’examen du permis de conduire, dû à l’absence de formation préalable et obligatoire dans un établissement d’enseignement de la conduite des véhicules ; – l’absence de moyens adéquats pour contrôler les dépassements de vitesse ; – l’absence de règlementation relative aux conditions de travail dans les transports routiers, en ce qui concerne les temps de conduite et de repos ; – la centralisation de la commission technique spéciale de retrait du permis et autorisation de conduire ; – la non prise en compte dans la règlementation sur le port du casque des passagers des motocyclettes, des conducteurs et passagers des vélomoteurs, cyclomoteurs ainsi que des cycles ; – la limitation du port de la ceinture de sécurité en rase campagne ; – la non-conformité aux dispositions communautaires relatives à l’harmonisation des normes et procédures du contrôle de gabarit, du poids et de la charge à l’essieu des véhicules lourds de transport de marchandises dans les Etats de l’Union Economique et Monétaire Ouest africaine ; – la non-conformité aux dispositions communautaires relatives à l’institution d’un schéma harmonisé de gestion de la sécurité routière et à l’organisation du système de formation à l’obtention du permis de conduire dans les Etats membres de l’Union Economique et Monétaire Ouest africaine ; – l’absence des dispositifs de signalisation des véhicules à traction animale en stationnement et d’un centre de transformation des véhicules. Les projets de texte adoptés visent à corriger les insuffisances constatées et à renforcer la sécurité individuelle et collective sur les routes à travers, notamment : – l’introduction des sanctions liées aux surcharges des véhicules de transport en commun ; – l’interdiction expresse du transport mixte ; – l’instauration du permis de conduire de la catégorie B1 pour les tricycles et quadricycles affectés au transport public ; – l’extension de la catégorie C aux appareils de levage et de manutention, comme il est prévu pour les engins de travaux publics, les tracteurs agricoles et les machines agricoles automotrices ; – le classement des corbillards dans la catégorie des véhicules prioritaires ; – l’instauration de la formation préalable obligatoire des candidats à l’examen du permis de conduire dans un établissement d’enseignement de la conduite des véhicules ; – l’institution d’une formation complémentaire pour les conducteurs professionnels ; – la déconcentration de la Commission technique spéciale de retrait du permis et de l’autorisation de conduire au niveau des régions ; – la règlementation du temps de conduite et de repos ; – la fixation de la vitesse maximum sur autoroute à 120 km par heure et l’institution d’un système de contrôle de la vitesse par radar ; – l’introduction du contrôle du taux d’alcoolémie et de celui du taux de consommation de la drogue ; – l’élargissement de la règlementation du port obligatoire du casque aux passagers de motocyclettes aux conducteurs et aux passagers des vélomoteurs, cyclomoteurs et des cycles ; – le port obligatoire de la ceinture de sécurité pour les conducteurs et les passagers de véhicules équipés de ceinture ; – la soumission des motocyclettes, tricycles et quadricycles au contrôle technique. 2. Sur le rapport du ministre de l’Economie et des Finances, le Conseil des Ministres a adopté un projet de décret portant reconnaissance du caractère extraordinaire de la crise énergétique. Les conditions difficiles de production ainsi que les difficultés d’accès à l’énergie sont des évènements qui ont abouti à une crise énergétique. La Société Energie du Mali, qui a pour mission la mise en œuvre du service public de l’électricité, a des indicateurs de performance financière fortement dégradés depuis plusieurs années qui ne favorisent pas les investissements conséquents pour faire face à la demande croissante. Cette dégradation des indicateurs est due essentiellement au fait que le kilo watt heure d’électricité produit à 140 francs CFA est vendu à 100 francs CFA, soit une perte de 40 francs CFA par kilo watt heure produit. Pour faire face à cette situation, le Gouvernement a adopté en mars 2022, un Plan de Redressement de la société Energie du Mali accompagné d’un plan quinquennal d’investissement sur la période 2022-2026 dont la mise en œuvre requiert l’accompagnement et le soutien de l’Etat. Le projet de décret adopté vise à reconnaître le caractère extraordinaire de la crise énergétique pour permettre d’accorder, à la Société Energie du Mali, des exonérations fiscales et douanières pour l’acquisition de certains biens et services dans le cadre de la mise en œuvre du plan d’investissement 2022-2026. 3. Sur le rapport du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation et aux modalités de fonctionnement de l’Institut national de Recherche sur la Médecine et la pharmacopée traditionnelles. La médecine traditionnelle est l’ensemble des connaissances et

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KAZAN : Le Président de la Transition explore le potentiel industriel du Tatarstan

Dans le cadre de sa visite officielle dans la Fédération de Russie, le Président de la Transition, Son Excellence le Général d’Armée Assimi GOÏTA, a conduit une importante délégation gouvernementale dans plusieurs unités industrielles stratégiques de Kazan, capitale de la République du Tatarstan. Cette mission s’inscrit dans la dynamique de consolidation des partenariats économiques et technologiques entre le Mali et la Russie, notamment dans les secteurs clés de la défense, de la formation, des transports et de l’innovation. Au programme de cette visite figurent notamment l’usine de fabrication d’hélicoptères de Kazan, le constructeur de poids lourds KAMAZ, la société spécialisée dans les véhicules blindés Remdizel, ainsi que l’entreprise technologique Eidos. Ces visites ont permis à la délégation malienne de constater de visu l’ampleur du savoir-faire industriel et technologique du Tatarstan, région réputée pour sa forte capacité d’innovation et sa contribution au développement stratégique de la Fédération de Russie. Prenant la parole à l’issue de cette tournée, le Ministre de la Défense et des Anciens Combattants, le Général de Corps d’Armée Sadio CAMARA, a souligné que cette visite officielle en Russie, voulue par Son Excellence le Général d’Armée Assimi GOÏTA, s’inscrivait dans une volonté affirmée de renforcer les relations fraternelles avec la Fédération de Russie. Selon lui, cette mission visait avant tout à s’inspirer concrètement de l’expérience russe, notamment dans les domaines stratégiques. Ainsi, en visitant les grandes unités industrielles, particulièrement celles liées à la défense, la délégation malienne cherchait à donner un contenu opérationnel aux accords récemment signés, avec pour ambition de favoriser des transferts effectifs de compétences et de technologies. Par ailleurs, le Ministre de la Défense a salué l’ouverture et la confiance manifestées par les autorités russes, qui ont permis un accès total aux installations visitées. De ce fait, la délégation a pu apprécier le haut niveau d’organisation, la qualité des équipements et la rigueur industrielle observée, éléments qui expliquent en partie la performance des matériels utilisés par les forces maliennes sur le terrain. S’exprimant à cette occasion, M. Bulat ZAINUTDINOV, Chef des affaires économiques internationales de Remdizel, a salué la visite du Président de la Transition. « Elle témoigne de la volonté commune de bâtir une coopération solide, fondée sur le respect mutuel et des valeurs partagées. Notre entreprise est prête à s’engager dans des partenariats à long terme avec le Mali, en matière de production, de maintenance et de transfert de technologie », a-t-il souligné. Cette immersion dans l’écosystème industriel du Tatarstan constitue une étape clé de la stratégie de notre pays en faveur d’un développement souverain, porté par le renforcement des capacités nationales et la montée en gamme technologique. La vision portée par le Chef de l’État, Son Excellence le Général d’Armée Assimi GOÏTA, s’inscrit dans une approche pragmatique : transformer les partenariats en leviers de modernisation, au bénéfice du peuple malien. La visite de ces sites industriels marque ainsi une volonté claire de faire du Mali un acteur industriel émergent, en s’inspirant des modèles de réussite russes et en engageant des coopérations fondées sur la confiance, le partage d’expertise et les intérêts mutuellement bénéfiques.

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COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 19 FEVRIER 2025

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le mercredi 19 février 2025, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Général d’Armée Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat. Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a : – adopté des projets de texte ; – procédé à des nominations ; – et entendu des communications. AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES Sur le rapport du ministre de l’Economie et des Finances, le Conseil des Ministres a adopté : a. des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation, aux modalités de fonctionnement et au cadre organique de la Paierie générale du Trésor. La Paierie générale du Trésor a été créée par l’Ordonnance n°02-032/P-RM du 04 mars 2002 avec pour mission l’exécution des dépenses ordonnancées et sans ordonnancement préalable de l’ordonnateur principal, des ordonnateurs secondaires ministériels du budget national, l’exécution des recettes et des dépenses des comptes spéciaux, la centralisation et l’intégration des opérations des postes comptables des Missions diplomatiques et Postes consulaires du Mali. Son organisation, les modalités de son fonctionnement et son cadre organique sont fixés respectivement par le Décret n°02-130/P-RM du 15 mars 2002 et le Décret n°02-236/P-RM du 10 mai 2002. Après plusieurs années d’application, ces textes ont révélé des insuffisances liées, notamment à l’évolution de l’environnement de l’administration publique et à la non prise en compte des innovations introduites par les normes communautaires et internationales en matière de comptabilité publique. Par ailleurs, l’étude diagnostique réalisée par le Ministère de l’Economie et des Finances courant 2022 a recommandé la réorganisation de la Paierie générale du Trésor par la création des Paieries spécialisées du Trésor auxquelles une partie de ses missions sera confiée en vue d’une déconcentration progressive de la fonction comptable et de son désengorgement. Les projets de texte, adoptés, créent sous forme de service rattaché à la Direction générale du Trésor et de la Comptabilité publique la Paierie générale du Trésor avec pour mission d’exécuter les dépenses, au titre du budget de l’Etat, des budgets annexes et des comptes spéciaux du Trésor, des départements ministériels ou de tout autre démembrement de l’Etat, à l’exception de ceux dont l’exécution des dépenses est confiée à d’autres postes comptables supérieurs. L’adoption de ces textes permet également de prendre en compte les innovations apportées dans la gestion des finances publiques, suite aux réformes communautaires et internationales et les changements induits par l’érection de la Direction nationale du Trésor et de la Comptabilité publique en Direction générale du Trésor et de la Comptabilité publique. b. des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation, aux modalités de fonctionnement et au cadre organique de la Recette générale des Finances. La Recette générale du District a été créée par l’Ordonnance n°02-033/P-RM du 04 mars 2002 avec pour mission l’exécution du budget régional du District de Bamako, des dépenses du budget national sur crédits délégués au District et des recettes du budget national. Son organisation, les modalités de son fonctionnement et son cadre organique sont fixés respectivement par le Décret n°02-129/P-RM du 15 mars 2002 et le Décret n°02-235/P-RM du 10 mai 2002. L’application de ces textes a révélé des insuffisances liées, notamment : – à l’engorgement de la Recette générale du District ; 3 – à la surcharge de travail et le au cumul des fonctions du Receveur général du District qui est à la fois comptable assignataire du budget régional du District et de toutes les recettes du budget de l’Etat ; – à la non prise en compte de certaines innovations introduites dans la gestion des finances publiques. Pour faire face à ces insuffisances, l’étude diagnostique réalisée par le Ministère de l’Economie et des Finances en 2022, a recommandé la réorganisation de la Recette générale du District en deux entités distinctes dont une Recette générale des Finances dédiée uniquement à la gestion des recettes du budget général de l’Etat recouvrées par les administrations financières et les régies de recettes auprès des départements ministériels et une Trésorerie du District de Bamako investie de la mission d’exécution des dépenses des services régionaux et subrégionaux du District de Bamako. Les projets de texte, adoptés, créent sous forme de service rattaché à la Direction générale du Trésor et de la Comptabilité publique la Recette générale des Finances avec pour mission d’exécuter les recettes du budget général de l’Etat dont elle est assignataire. AU CHAPITRE DES MESURES INDIVIDUELLES Le Conseil des Ministres a procédé aux nominations suivantes : AU TITRE DU MINISTERE DE LA RECONCILIATION, DE LA PAIX ET DE LA COHESION NATIONALE – Chef de Cabinet : Madame Azahara WALLET INALBARAKA HAIDARA, Gestionnaire des Ressources humaines. – Chargés de mission : Monsieur Oufène AG BA ALY, Spécialiste de l’Information et de la Communication ; Monsieur Sékou Allaye BOLLY, Economiste ; Madame Fatma BINT ALI, Ingénieur en Télécommunications ; Madame Fadimata Walet MOHAMED, Technicien supérieur de la Santé ; Monsieur Nouhoum HAIDARA, Spécialiste en Marketing-Communication-Management. AU TITRE DU MINISTERE DES TRANSPORTS ET DES INFRASTRUCTURES – Secrétaire général du Conseil Malien des Chargeurs : Monsieur Fousseynou SOUMANO, Inspecteur des Finances. AU TITRE DU MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES – Chef de Cabinet : Monsieur Bourama TOURE, Ingénieur de la Statistique. – Chargés de mission : Monsieur Souahibou DIABY, Gestionnaire ; Monsieur Sékou Amadou N’DOURE, Economiste ; Monsieur Mahamadou Zibo MAIGA, Economiste ; Monsieur Sidiki Loki DIALLO, Economiste. 4 – Directeur général du Trésor et de la Comptabilité publique : Monsieur Siaka SAMAKE, Inspecteur du Trésor. AU TITRE DU MINISTERE DE L’ENVIRONNEMENT DE L’ASSAINISSEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE – Directeur général des Eaux et Forêts : Monsieur Amadou DIALLO, Ingénieur des Eaux et Forêts. AU CHAPITRE DES COMMUNICATIONS 1. Le ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation a informé le Conseil des Ministres de la dissolution du Conseil communal de la Commune urbaine de Tombouctou et des Conseils communaux des Communes rurales de Ber et de Gargando, Région de Tombouctou. La dissolution du Conseil communal est prévue par

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