Inauguration de deux forages et remise de matériels scolaires à Doumanzana et Bougouba

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Sous la présidence du conseiller spécial du Président de la Transition, M. Aguibou DEMBELE, les groupes scolaires de Doumanzana et de Bougouba ont célébré la mise en service de deux nouveaux forages ainsi que la remise d’ordinateurs et de dictionnaires. La cérémonie d’inauguration s’est déroulée le mardi 14 mai 2024.
Cette initiative, inscrite dans le cadre des œuvres sociales du Président de la Transition, SE le Colonel Assimi GOÏTA, souligne l’engagement du Chef de l’État à promouvoir l’éducation comme un pilier fondamental du développement national. M. DEMBELE, dans son allocution, a mis en exergue l’importance de l’éducation et a réitéré l’engagement du Président GOÏTA, à soutenir et à investir dans ce secteur stratégique.
Le Conseiller spécial a également révélé que ces actions entrent dans le cadre de réduction des inégalités sociales et offrent à chaque enfant du pays l’opportunité d’un avenir meilleur. Les autorités locales de Doumazana et de Bougouba, exprimant leur gratitude, ont salué ces gestes significatifs du Président de la Transition qui renforcent son engagement en faveur du progrès éducatif.

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Coopération entre le Mali et la Turquie: le Président de la Fondation Maarif reçu en audience par le Président de la Transition

Le Président de la Transition, SE le Colonel Assimi GOÏTA, Chef de l’État, a accordé une audience au Pr Birol AKGÜN, Président de la Fondation Maarif de Türkiyé, le vendredi 10 mars 2023, en fin d’après-midi. Il a été question du renforcement de la coopération entre le Mali et la Turquie dans le domaine de l’éducation. « Avec plus de 3000 élèves, la fondation Maarif dispose du plus grand nombre d’écoles au Mali, parmi les pays africains dans lesquels elle est présente », a indiqué Birol AKGÜN, à sa sortie d’audience. Selon ses précisions, sa fondation couvre 26 pays africains avec 21 000 étudiants, contribuant à l’évolution du domaine éducatif. Le Président de la Fondation Maarif de Türkiyé se réjouit que la Turquie aussi bien que le Mali accordent une grande importance au domaine éducatif pour l’évolution duquel les deux pays travaillent ardemment. Au-delà du domaine de l’éducation, notons que la Turquie est également présente au Mali dans d’autres secteurs. « Le Président de la Transition accorde une grande importance au renforcement de la coopération entre les deux pays dans le domaine de l’éducation », s’est réjoui le Pr. Birol AKGÜN tout en rassurant que les deux pays vont évoluer main dans la main en vue de donner une plus grande importance à l’éducation, où, selon lui, le soutien du Président GOÏTA est attendu, à travers le renforcement de la coopération entre les deux pays.

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Koulouba : Remise du rapport des États généraux de l’éducation au Président de la Transition, le Colonel Assimi GOITA

Le Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Chef de l’État, a officiellement reçu, ce mardi 12 mars 2024, à Koulouba, le rapport des États généraux de l’éducation. Cette cérémonie a enregistré la présence du Premier ministre, du Président du Conseil national de Transition, du ministre de l’Éducation nationale, du ministre d’État, ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, Porte-parole du Gouvernement, ainsi que d’autres membres du Gouvernement. Face aux défis actuels du système éducatif malien, le peuple malien, lors des Assises nationales de la refondation (ANR), a préconisé l’organisation des États généraux de l’éducation (EGE). En réponse à cette recommandation, le Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, a annoncé lors de sa visite à Kayes, en juillet 2023, la tenue de ces Assises. Quatre départements ministériels ont conjugué leurs efforts pour la réussite de cette initiative. Il s’agit des ministères en charge de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, de l’Entrepreneuriat national, de l’Emploi et de la Formation professionnelle et celui de l’Administration territoriale et de la Décentralisation. Afin de recueillir les propositions et recommandations de l’ensemble des acteurs du système éducatif, tant nationaux qu’internationaux, la Commission nationale d’organisation des États généraux de l’éducation a parcouru toutes les régions du Mali pendant sept mois. Des rencontres ont également été organisées dans les missions diplomatiques. À chaque étape, les débats ont été passionnés et riches en enseignements et propositions. Les États généraux ont fourni le cadre idéal pour une analyse diagnostique de l’état actuel du système éducatif malien, combinée à une analyse des attentes exprimées par les populations maliennes, des recommandations des différents forums sur l’éducation au Mali depuis la réforme de 1962 jusqu’au PRODEC 2 en 2019, ainsi que des systèmes endogènes d’éducation au Mali. Le président de la Commission nationale d’organisation, Dr Koulougna Edmond DEMBELE, a présenté le rapport en remerciant le Président de la Transition pour cette initiative. Selon lui, le Peuple malien a défini, à l’issue des concertations, une vision pour la refondation du système éducatif : former, d’ici à 2038, un citoyen nouveau, patriote et bâtisseur d’une société démocratique, acteur du développement économique, social, environnemental du pays, enraciné dans sa culture, maîtrisant les savoirs endogènes, participant aux progrès scientifiques et technologiques, et contribuant activement à la culture de la paix et au vivre-ensemble. Pour concrétiser cette vision, neuf piliers ont été identifiés lors des États généraux, accompagnés d’actions stratégiques à court, moyen et long terme. Ces piliers incluent la valorisation de l’éducation aux valeurs culturelles et aux savoirs endogènes, la promotion de l’éducation inclusive sur tout le territoire national, et la promotion de l’utilisation des langues officielles dans le système éducatif. De plus, des recommandations portent sur la révision des programmes d’enseignement pour inclure la maîtrise des langues officielles, des valeurs et savoirs endogènes, ainsi que des sciences et technologies à tous les niveaux du système éducatif. La formation et la gestion des enseignants et formateurs, la promotion de la recherche scientifique au service du développement social, économique, artistique, culturel et environnemental du pays, et l’élaboration d’un schéma institutionnel systémique assurant le bon fonctionnement des sept premiers piliers, ainsi que le financement souverain du système éducatif, figurent parmi les recommandations phares des États généraux. Le Président de la Transition a salué la participation active de toutes les parties prenantes aux différentes concertations, rappelant que ces États généraux étaient une capitalisation des mémoires institutionnelles et posent les bases d’un essor certain du système éducatif malien. Il a expressément remercié la Commission nationale d’organisation pour la bonne conduite de ces États généraux, soulignant la création d’un espace de débat fructueux autour de l’éducation. Il a indiqué que les différentes orientations constituent désormais une feuille de route, tracée de manière consensuelle, pour la refondation de notre système éducatif. « Cette feuille de route est riche et nous engage collectivement. L’État s’investira pour sa mise en œuvre diligente et efficace dans l’intérêt du Mali et des générations futures », a-t-il assuré, avant d’inviter les participants à se considérer comme des acteurs majeurs de ce nouveau chantier d’honneur et à remplir pleinement leur partition.

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Cérémonie d’ouverture du premier sommet des Chefs d’État de l’Alliance des États du Sahel (AES)

Le Président de la Transition du Mali, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, a coprésidé, aux côtés du Capitaine Ibrahim TRAORE du Burkina Faso et du Général Abdourahamane TIANI du Niger, la cérémonie d’ouverture du premier sommet du Collège des Chefs d’État de l’Alliance des États du Sahel (AES), qui s’est tenue le samedi 6 juillet 2024 au Centre International de Conférences Mahatma Gandhi à Niamey. Les différents intervenants, notamment le Général de Brigade Abdourahamane TIANI, Président du Conseil national pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP) et Chef de l’État du Niger, le Colonel Assimi GOÏTA, Président de la Transition du Mali, et le Capitaine Ibrahim TRAORE, Président du Faso, ont rappelé les objectifs et le contexte ayant conduit à la création de l’AES, ainsi que la nécessité d’assurer la protection des populations des trois pays face aux menaces terroristes, aux rébellions, au banditisme armé et à toute autre forme d’agression extérieure. Le Général TIANI, Président du CNSP et Chef de l’État du Niger, a ouvert le Sommet en soulignant l’approbation formelle de son pays du Traité portant création de la Confédération « Alliance des États du Sahel (AES) ». Il a déclaré que ce traité consacrerait les aspirations des populations à forger, dans l’espace sahélien, une union d’États partageant les mêmes défis, les mêmes ambitions et le même destin. Le Président GOÏTA a souligné que depuis la signature de la Charte du Liptako-Gourma le 16 septembre 2023, des résultats tangibles ont été obtenus sur le terrain. L’AES a rapidement mis en pratique l’architecture de défense collective et d’assistance mutuelle établie pour lutter contre le terrorisme sous toutes ses formes et contre la criminalité organisée dans la région. Il a rappelé que les Présidents TIANI et TRAORE ont pris les mesures nécessaires pour autoriser les droits de poursuite sur leurs territoires respectifs, permettant ainsi de traquer efficacement les groupes armés terroristes au-delà des frontières nationales. Le Colonel Assimi GOÏTA a également indiqué que la dimension sécuritaire, à l’origine de la création de l’AES, est désormais pleinement prise en charge par les différentes Forces de Défense et de Sécurité de l’Alliance. Celles-ci opèrent en parfaite complémentarité pour faire face aux attaques terroristes et ont adopté une posture offensive pour neutraliser ces groupes sans foi ni loi. Il a exprimé sa fierté face à l’engagement et à la détermination des forces armées, qui ont permis un recul indéniable de l’insécurité dans l’espace AES. Le retour de l’État, des administrations et des populations dans des zones autrefois occupées par les terroristes, est la meilleure preuve de cette avancée sécuritaire, a-t-il ajouté. Concernant l’intégration dans le Sahel, le Président GOÏTA a déclaré que l’AES offrira un cadre d’échanges propice à un véritable développement, où toutes les populations des trois pays seront unies en tant que « populations AES ». Il a affirmé que dans cette alliance, les Burkinabè et les Nigériens se sentiront chez eux au Mali, et vice versa, sans aucune barrière bureaucratique. De son côté, le Capitaine Ibrahim TRAORE, Président du Faso et Chef de l’État, a insisté sur la nécessité de renforcer les liens stratégiques entre les trois États pour relever ensemble les défis auxquels ils sont confrontés et promouvoir un développement véritable de la région. Il a réitéré sa détermination à faire de l’Alliance des États du Sahel un modèle de coopération régionale, de solidarité et de développement, protégeant les droits des peuples du Sahel. Ce sommet historique pose les jalons de la coopération et l’intégration des pays du Sahel, unis face aux défis communs et déterminés à assurer un avenir prospère et sécurisé pour leurs populations.

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