Distribution d’ordinateurs aux établissements scolaires dotés de forages dans le cadre des œuvres sociales du Président Goita

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L’équipe des œuvres sociales du Président de la Transition, SE le Colonel Assimi GOÏTA, Chef de l’État, s’est rendue à Sénou, le 4 février 2024, en vue d’inaugurer un forage implanté au sein du groupe scolaire Donyaso et remettre des équipements informatiques à plusieurs écoles du District de Bamako.
Le groupe scolaire Donyaso, situé à Senou, en Commune VI du District de Bamako, est désormais la 10e école à bénéficier de ce geste humanitaire du Président de la Transition au cours de ce mois de ramadan, qui coïncide avec une période de canicule.
Au total, dix écoles du district de Bamako viennent de bénéficier de forage de grande capacité grâce aux œuvres sociales du Président de la Transition. Au groupe scolaire Donyaso de Sénou, l’inauguration de ce système d’adduction d’eau a été marquée par un geste important : la remise de nombreux ordinateurs et dictionnaires au groupe scolaire ainsi qu’aux neuf autres établissements ayant précédemment bénéficié d’un forage. Ce geste est le témoignage fort de l’engagement du Président de la Transition pour l’éducation.
Cette cérémonie de grande envergure a enregistré la présence de M. Aguibou DEMBELE, Conseiller spécial du Président de la Transition, chargé des œuvres sociales, ainsi que du ministre de l’Éducation nationale, Dr Amadou Sy SAVANE. Elle a vu la participation des figures éminentes de l’éducation de part et d’autre du fleuve.
Les discours d’ouverture ont souligné l’importance de l’éducation et de l’intégration des technologies modernes pour l’épanouissement des nouvelles générations. Accueillis par des ovations, les équipements informatiques offerts symbolisent un pas de géant vers un futur brillant pour les élèves.
Les responsables éducatifs, exprimant leur reconnaissance, ont salué l’impact de cette initiative sur l’environnement d’apprentissage des élèves. Le Conseiller spécial M. Aguibou DEMBELE a réitéré l’engagement de Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA à promouvoir le progrès éducatif et social, affirmant le droit de chaque enfant à une éducation de qualité.
Le ministre de l’Éducation nationale, Dr Amadou Sy SAVANE, a souligné le rôle de la technologie dans l’enseignement, envisageant ces ordinateurs comme des outils essentiels pour un apprentissage dynamique et enrichissant.

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Visite du Président Bah N’DAW en Algérie : Les jalons d’une dynamisation des relations tant attendue

Mali – Algérie : Une coopération exemplaire ! La République du Mali et la République Algérienne Démocratique et Populaire entretiennent de très longues années d’amitié liée à l’histoire et à la géographie. Les deux pays se partagent 1 329 km de ligne frontalière entièrement bornée depuis 1985 et entretiennent des relations privilégiées de coopération étoffées sur les liens de fraternité et de bon voisinage. Sur le plan sécuritaire, avec son corollaire de porosité des frontières et d’assaut terroristes multiformes, l’Algérie a toujours joué un rôle d’interface et stratégique pour le Mali. C’est elle qui a coordonné avec tact les négociations ayant abouti à l’Accord pour la Paix et la Réconciliation issu du processus d’Alger. C’est également elle qui dirige le Comité de suivi dudit Accord. Les grands efforts menés par l’Algérie pour assurer le retour et le maintien de la stabilité au Mali ne sont plus à démontrer. Le Comité de Suivi de l’Accord (CSA), placé sous l’égide de l’Algérie comme Chef de File de la Médiation internationale, n’a ménagé aucun effort pour maintenir l’équilibre de ce processus. Sous le leadership de l’Algérie, les partenaires de l’Accord issu du processus d’Alger se sont réunis pour la première fois, en mi-février 2021, dans la ville de Kidal. L’Algérie soutient le processus de la Transition au Mali et accompagne la mise en œuvre de la Feuille de route de la Transition et l’opérationnalisation des actions retenues dans la feuille de route actualisée pour diligenter la mise en œuvre de l’Accord pendant la période de la Transition. Dans le cadre de la lutte contre la pandémie du Covid-19, l’Algérie a accordé une aide humanitaire en 2020 au Mali, composée essentiellement de 90 tonnes de denrées alimentaires et de produits de protection contre le coronavirus. La visite d’Amitié et de Travail de 72 heures du Président de la Transition, Chef de l’Etat, SEM Bah N’DAW à Alger, ce dimanche 14 mars 2021, intervient après la tenue à Bamako en février dernier de la 14è session du Comité mixte Mali-Algérie chargé du suivi de la coopération militaire et technique. L’ordre du jour de cette session était la coopération bilatérale et la relance du processus de paix au Mali. La visite de SEM Bah N’DAW intervient également quelques semaines après que le Ministre des Affaires Etrangères de l’Algérie, a été reçu par les plus hautes autorités du Mali. Il a été question des relations bilatérales et des perspectives de leur renforcement, outre les voies susceptibles d’accélérer la cadence de mise en œuvre de l’Accord pour la Paix et de Réconciliation au Mali, issu du processus d’Alger. Cette visite a permis d’aborder les relations bilatérales et les modalités de faire progresser le processus de paix et de réconciliation que l’Algérie accompagne et soutient. Au cours de sa visite, le Chef de la diplomatie algérienne avait assisté à la cérémonie de la signature du mémorandum d’entente pour un partenariat avec l’Ecole de Maintien de la Paix (EMP) au Mali. Cette visite, la troisième de M. BOUKADOUM depuis les changements politiques survenus au Mali le mois d’août 2020, s’inscrivait dans le cadre des efforts visant à promouvoir les relations bilatérales et à donner un élan au processus de paix dans ce pays voisin. Les jalons d’une dynamisation des relations tant attendue Au nombre des points qui feront l’objet d’échanges lors de la visite de SEM Bah N’DAW : la Relance du Conseil d’Affaires Algéro-Malien, la Relance du Processus d’attribution de la 4ème Licence mobile et la Relance des activités de recherche pétrolière sur le bloc du Bassin de Taoudéni. Aussi, la visite permettra d’aborder la situation de la diaspora malienne, laquelle aspire à de meilleures conditions de vie en Algérie. Il faut signaler que la Communauté malienne en Algérie est évaluée à 7 000 personnes et vit majoritairement dans la partie méridionale du pays (Tamanrasset, Adrar, Ghardaïa, Bechar) et à Alger. Au-delà de l’opportunité du tête-à-tête franc que le Président Bah N’DAW aura avec son homologue, le Président de la République démocratique et populaire d’Algérie, M. Abdelmadjid TEBBOUNE, deux thématiques majeures meubleront la visite de travail du Chef de l’Etat : la Paix et la Sécurité. La visite du Chef de l’Etat, SEM Bah N’DAW, permettra de faire le point de la coopération entre l’axe Bamako-Alger et posera les jalons d’un renforcement des priorités de cette coopération. C’est une grande visite à la mesure des deux nations. Un des objectifs phares recherchés c’est la contribution de l’Algérie dans le processus d’accélération du processus de stabilisation du Mali. Il sera question des relations bilatérales, la situation internationale, la question libyenne, et celle des frontières… Au regard des enjeux sécuritaires et économiques du moment, fallait-il que les deux Chefs d’Etats se rencontrent. Sur la question du Sahara occidental, le Mali réaffirmera sa position qui est identique à celle des Nations unies. Le Président Bah N’DAW marquera sa disponibilité pour le renforcement des relations entre les deux pays et soulignera la nécessité d’une étroite collaboration entre les deux pays dans tous les domaines de coopération, y compris la lutte contre la criminalité transfrontalière organisée, notamment le terrorisme. Il renouvellera les remerciements de notre pays à l’Algérie pour tous les efforts consentis pour le retour et la consolidation de la Paix au Mali.  Il convient de signaler que la coopération entre le Mali et l’Algérie souffre suffisamment de la crise sécuritaire que vit le Mali dans les régions du Nord du Mali. Le défi à relever réside dans l’engagement des deux Etats et le dynamisme des ministères sectoriels à mettre en œuvre : – La Grande Commission Mixte de Coopération Mali-Algérie – Le Comité Bilatéral Stratégique Maliano-Algérien – Le Comité bilatéral Frontalier Maliano-Algérien – La Commission Mixte de Sécurité Maliano-Algérienne

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COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU VENDREDI 16 JUIN 2023 CM N°2023-25/SGG

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le vendredi 16 juin 2023, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat. Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a : – adopté des projets de texte ; – et entendu des communications. AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES 1. Sur le rapport du ministre des Transports et des Infrastructures, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte régissant la circulation routière. Les textes législatifs et réglementaires constituant le code de la route comprennent la Loi n°99- 004 du 02 mars 1999 régissant la circulation routière et le Décret n°99-134/P-RM du 26 mai 1999 fixant les conditions de l’usage des voies ouvertes à la circulation publique et de la mise en circulation des véhicules. Dans la pratique, ces textes ont révélé des insuffisances parmi lesquelles on peut citer, notamment : – la non réglementation du transport mixte ; – la prolifération de nouveaux types de tricycles et quadricycles utilisés comme moyens de transport public ; – la non prise en compte des corbillards dans la catégorie des véhicules prioritaires ; – le faible niveau de formation des candidats à l’examen du permis de conduire, dû à l’absence de formation préalable et obligatoire dans un établissement d’enseignement de la conduite des véhicules ; – l’absence de moyens adéquats pour contrôler les dépassements de vitesse ; – l’absence de règlementation relative aux conditions de travail dans les transports routiers, en ce qui concerne les temps de conduite et de repos ; – la centralisation de la commission technique spéciale de retrait du permis et autorisation de conduire ; – la non prise en compte dans la règlementation sur le port du casque des passagers des motocyclettes, des conducteurs et passagers des vélomoteurs, cyclomoteurs ainsi que des cycles ; – la limitation du port de la ceinture de sécurité en rase campagne ; – la non-conformité aux dispositions communautaires relatives à l’harmonisation des normes et procédures du contrôle de gabarit, du poids et de la charge à l’essieu des véhicules lourds de transport de marchandises dans les Etats de l’Union Economique et Monétaire Ouest africaine ; – la non-conformité aux dispositions communautaires relatives à l’institution d’un schéma harmonisé de gestion de la sécurité routière et à l’organisation du système de formation à l’obtention du permis de conduire dans les Etats membres de l’Union Economique et Monétaire Ouest africaine ; – l’absence des dispositifs de signalisation des véhicules à traction animale en stationnement et d’un centre de transformation des véhicules. Les projets de texte adoptés visent à corriger les insuffisances constatées et à renforcer la sécurité individuelle et collective sur les routes à travers, notamment : – l’introduction des sanctions liées aux surcharges des véhicules de transport en commun ; – l’interdiction expresse du transport mixte ; – l’instauration du permis de conduire de la catégorie B1 pour les tricycles et quadricycles affectés au transport public ; – l’extension de la catégorie C aux appareils de levage et de manutention, comme il est prévu pour les engins de travaux publics, les tracteurs agricoles et les machines agricoles automotrices ; – le classement des corbillards dans la catégorie des véhicules prioritaires ; – l’instauration de la formation préalable obligatoire des candidats à l’examen du permis de conduire dans un établissement d’enseignement de la conduite des véhicules ; – l’institution d’une formation complémentaire pour les conducteurs professionnels ; – la déconcentration de la Commission technique spéciale de retrait du permis et de l’autorisation de conduire au niveau des régions ; – la règlementation du temps de conduite et de repos ; – la fixation de la vitesse maximum sur autoroute à 120 km par heure et l’institution d’un système de contrôle de la vitesse par radar ; – l’introduction du contrôle du taux d’alcoolémie et de celui du taux de consommation de la drogue ; – l’élargissement de la règlementation du port obligatoire du casque aux passagers de motocyclettes aux conducteurs et aux passagers des vélomoteurs, cyclomoteurs et des cycles ; – le port obligatoire de la ceinture de sécurité pour les conducteurs et les passagers de véhicules équipés de ceinture ; – la soumission des motocyclettes, tricycles et quadricycles au contrôle technique. 2. Sur le rapport du ministre de l’Economie et des Finances, le Conseil des Ministres a adopté un projet de décret portant reconnaissance du caractère extraordinaire de la crise énergétique. Les conditions difficiles de production ainsi que les difficultés d’accès à l’énergie sont des évènements qui ont abouti à une crise énergétique. La Société Energie du Mali, qui a pour mission la mise en œuvre du service public de l’électricité, a des indicateurs de performance financière fortement dégradés depuis plusieurs années qui ne favorisent pas les investissements conséquents pour faire face à la demande croissante. Cette dégradation des indicateurs est due essentiellement au fait que le kilo watt heure d’électricité produit à 140 francs CFA est vendu à 100 francs CFA, soit une perte de 40 francs CFA par kilo watt heure produit. Pour faire face à cette situation, le Gouvernement a adopté en mars 2022, un Plan de Redressement de la société Energie du Mali accompagné d’un plan quinquennal d’investissement sur la période 2022-2026 dont la mise en œuvre requiert l’accompagnement et le soutien de l’Etat. Le projet de décret adopté vise à reconnaître le caractère extraordinaire de la crise énergétique pour permettre d’accorder, à la Société Energie du Mali, des exonérations fiscales et douanières pour l’acquisition de certains biens et services dans le cadre de la mise en œuvre du plan d’investissement 2022-2026. 3. Sur le rapport du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation et aux modalités de fonctionnement de l’Institut national de Recherche sur la Médecine et la pharmacopée traditionnelles. La médecine traditionnelle est l’ensemble des connaissances et

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Journée commémorative des pupilles de la Nation Le Président de la Transition communie avec les enfants des militaires tombés pour le Mali

À la veille de la Journée nationale des pupilles, le Président de la transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Chef de l’État, a reçu dans la salle des banquets du Palais de Koulouba, les pupilles de la Nation, ce samedi 30 octobre 2021. Une cérémonie au cours de laquelle le Chef de l’État a remis des cadeaux aux jeunes orphelins dont les parents sont tombés sur le champ de l’honneur. Cette édition a enregistré la présence du Premier ministre, du Président du Conseil national de la Transition, de Madame le Ministre de la Santé et du Développement social, de certains membres du Gouvernement. La tenue de cette Journée participe de la volonté des autorités de la Transition, d’impulser un élan de solidarité autour des pupilles dont les parents ont servi la nation au prix de leur vie. Donc, un véritable devoir de mémoire dont le Président de la Transition s’est à juste titre acquitté. La création de l’Office national des pupilles du Mali répond sans conteste à cet idéal. Ce geste de solidarité et de reconnaissance du Président de la Transition envers les serviteurs de la patrie, prévoit une prise en charge optimale des pupilles, à travers notamment l’octroi de cartes de pupille et de carte bancaire. Au-delà de son aspect humanitaire, cette action du Chef de l’État est un soutien moral et psychologique aux militaires engagés pour la défense de la Nation. « Face à la guerre qui nous est imposée, l’engagement des forces de défense et de sécurité est nécessaire pour le retour définitif de la paix au Mali », a affirmé Son Excellence, le Colonel Assimi GOÏTA. Le Président de la Transition a, par ailleurs, rassuré que les sacrifices consentis pour la survie de la Nation ne seront jamais oubliés. Habillés en jaune, « couleur de la gloire et de la richesse », les pupilles de la Nation ont entonné des poèmes pour magnifier la grandeur du Mali. Ils ont également témoigné leur reconnaissance et leur gratitude au Président de la Transition. Des chants, des dons de présents aux pupilles et une photo de famille du Chef de l’État avec les pupilles, après une visite guidée dans le jardin du Palais présidentiel, ont mis fin à cette Journée.

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