Démarrage des travaux d’extension de l’école fondamentale de Kambila

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Le jeudi 25 janvier 2024, une équipe des œuvres sociales du président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, s’est rendue à Kambila, dans le cercle de Kati, dans le cadre du lancement des travaux d’extension de l’école fondamentale qu’abrite cette circonscription. La délégation était conduite par M. Aguibou DEMBÉLÉ, Conseiller spécial du Président de la Transition.  

L’événement a été honoré par la présence du ministre de l’Éducation nationale, Dr Amadou Sy SAVANÉ et du Directeur administratif et Financier de la Présidence, le Colonel Cheick Mamadou Chérif TOUNKARA.

Les gestes symboliques de la truelle, effectués par le ministre de l’Éducation nationale et le Conseiller spécial, marquent ainsi le début des travaux d’extension de cette école qui ne comptait que trois salles pour six classes.

Dans les trois prochains mois, émergeront de cet espace deux nouveaux blocs de trois salles de classe chacun, quatre latrines et une salle des professeurs. Cette initiative, inscrite dans le cadre des œuvres sociales du Président de la Transition, prend une dimension concrète au bénéfice des citoyens, comme le souligne M. Habib DEMBÉLÉ, Conseiller spécial du Président de la Transition, chargé des œuvres sociales, lors d’une interview.

Avec l’achèvement de ces nouvelles infrastructures scolaires, les enfants de Kambila ne seront plus contraints à des trajets longs et épuisants à la recherche du savoir, et l’effectif pléthorique dans les classes sera considérablement allégé. Une avancée qui réjouit particulièrement les habitants de la localité, comme le souligne Jorge KONÉ, maire de la Commune rurale de Kambila.

Pour le ministre de l’Éducation nationale, Amadou Sy SAVANÉ, cette action concrétise l’intérêt manifeste des plus hautes autorités de la Transition à répondre aux besoins en infrastructures et équipements scolaires. Ces travaux d’extension viennent compléter les efforts déployés, portant à quatre le nombre d’établissements scolaires réhabilités et renforcés à l’intérieur du pays, dans le cadre des œuvres sociales du Président de la Transition. C’est donc une étape cruciale dans la consolidation du système éducatif au Mali.

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ACCÈS À L’EAU POTABLE : Un nouveau forage pour Djalakorodji

Le mercredi 4 juin 2025, le Conseiller spécial du Président de la Transition, M. Aguibou DEMBÉLÉ, a procédé à l’inauguration du 450ᵉ forage réalisé dans le cadre des œuvres sociales du Président de la Transition, Son Excellence le Général d’Armée Assimi GOÏTA. À la tête d’une importante délégation, M. DEMBÉLÉ a transmis le message des plus hautes autorités : rapprocher les services sociaux de base des citoyens, en particulier l’accès à l’eau potable, élément fondamental de bien-être et de dignité. Le Chef secteur de Djalakorodji représentant le Chef de quartier, M. Namory SISSOKO, a salué cette initiative qui vient alléger le quotidien de milliers d’habitants confrontés à une pénurie chronique d’eau. De son côté, le Président de la délégation spéciale de la mairie, M. Djakaridja KONATÉ, a souligné l’impact transversal de ce forage sur la santé, l’éducation et l’autonomisation des femmes. Prenant la parole au nom des femmes, Mme Madjouka KANTÉ a exprimé une profonde gratitude. « Ce forage nous libère d’un lourd fardeau. Nous n’aurons plus à souffrir pour trouver de l’eau. Merci au Président pour cette action salvatrice», a-t-elle précisé. Dans son allocution, M. DEMBÉLÉ a rappelé l’engagement du Chef de l’État à répondre aux besoins essentiels des Maliens. Il a exhorté les bénéficiaires à un usage responsable de l’ouvrage afin d’en garantir la durabilité. Il a également rappelé que cette réalisation s’inscrit dans une stratégie globale d’inclusion sociale, qui a déjà permis la construction d’écoles, de centres de dialyse, l’équipement de structures sanitaires en énergie solaire, ainsi que la distribution de kits alimentaires et de moutons aux plus vulnérables, notamment les veuves de militaires.

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Conseil extraordinaire des ministres : Les raisons et opportunités du retrait du Mali de la CEDEAO

Le Chef de l’État, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Président de la Transition, a  présidé le lundi 29 janvier 2024, un Conseil extraordinaire des ministres dans la salle des banquets du palais de Koulouba. L’ordre du jour portait sur les raisons et les opportunités du retrait du Mali et des autres pays de l’Alliance des États du Sahel (AES) de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, M. Abdoulaye DIOP, a souligné que le retrait des trois pays, le Mali, le Burkina Faso, et le Niger, de la CEDEAO était une décision nécessaire en raison de la menace que cette organisation représentait pour la souveraineté et les intérêts vitaux de ces nations. Il a indiqué que la CEDEAO avait été détournée de ses principes fondateurs et utilisée contre les institutions, les États, et les populations des pays membres. DIOP a ajouté que les Chefs d’État avaient pris cette décision dans l’intérêt de la survie des pays concernés, mettant en avant les trois principes énoncés par le Président de la Transition : le respect de la souveraineté du Mali, le respect des choix stratégiques et des choix des partenaires opérés par le Mali, la défense des intérêts vitaux du peuple malien dans les décisions prises. Il a aussi souligné la nécessité pour les pays de travailler dans leur intérêt, en dehors des influences extérieures néfastes. Pour sa part, le ministre de l’Économie et des Finances, M. Alousséni SANOU, a expliqué les opportunités économiques que ce retrait offrait aux pays de l’Alliance des États du sahel. Il a mis en avant la possibilité de développer un marché intérieur fort, stimulant la croissance économique et assurant une autonomie politique et économique. M. SANOU a également souligné les avantages financiers, notamment en termes de balance commerciale et d’investissements directs étrangers, qui découleraient de cette décision. Il a insisté sur la flexibilité nouvellement acquise pour négocier avec d’autres pays et la capacité de protéger les entreprises locales. Le ministre de l’Economie et des Finance a ensuite rappelé que le Mali avait surmonté des défis par le passé et exprimé sa confiance dans la résilience et l’intelligence du pays pour prendre en main son destin. Les ministres ont souligné que cette décision de retrait de la CEDEAO ouvrait des perspectives considérables pour l’autonomie politique et économique des pays de l’AES, tout en soulignant la nécessité de travailler ensemble pour concrétiser les objectifs de refondation initiés par les plus hautes autorités.

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Sommet de Paris : Bientôt des vaccins africains pour les africains

Le Président de la Transition S.E.M Bah N’DAW a pris part, ce mardi 18 mai 2021, au Sommet sur le financement des économies africaines. Plusieurs Chefs d’Etat africains y ont pris également part, dont ceux du G5 Sahel, ainsi que le Président en exercice de l’Union Africaine, SEM Felix TSHISEKEDI, Président la République Démocratique du Congo. Les mesures efficaces de lutte contre la Covid-19 ont, en Afrique, un coût énorme pour les systèmes de santé, les économies ainsi que les populations. De plus, les économies des Etats africains, en particulier l’Afrique au Sud du Sahara ont été gravement affectées en 2020 par une récession historique (-2,2% pour l’ensemble du continent) après 25 ans de croissance ininterrompue. Comment faire face à ces défis ? Pour y apporter une réponse appropriée, plusieurs initiatives ont été actées lors de ce Sommet auquel le Chef de l’État Bah N’DAW a conduit une délégation d’experts maliens. Entre autres initiatives actées lors du Sommet, il faut noter la restructuration des dettes, l’émission de droit de tirages spéciaux pour l’Afrique s’élevant à 650 milliards de dollars , ainsi que la production massive de « vaccins en Afrique pour l’Afrique ». Selon le Président Emmanuel MACRON cela est possible en développant non seulement les capacités de l’Afrique à produire tout type de vaccin dans les prochains semestres, mais aussi par un transfert de technologie et la levée de toutes contraintes en terme de propriété intellectuelle qui bloquent la fabrication de vaccin en Afrique.

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