Audience accordée par le Chef de l’État au Président de la Société AMEA POWER

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La Société AMEA POWER des Émirats Arabes Unis évoluant dans le secteur énergétique au Mali avec un investissement de plus de 60 millions de dollars, compte lancer bientôt un nouveau projet à Selingué. C’est dans ce cadre que M. Hussain AINOWAIS, Président de la Société AMEA POWER accompagné de SEM Boukary SIDIBÉ, Ambassadeur du Mali à Abu Dhabi ont été reçus, ce vendredi 23 octobre, par SEM Bah N’DAW, Chef de l’État. C’était en présence du Ministre de l’Énergie et de l’Eau et celui de l’Économie et des Finances.
Au cours de leur entretien, Monsieur AINOWAIS a indiqué au Chef de l’État que sa société va poursuivre ses activités et maintenir ses investissements au Mali.
Ce nouveau projet consiste à produire une capacité énergétique de 100 Méga Watt au profit du Mali, dont 50 Mega Watt pour la première phase. « Pour nous le Mali est un pays riche de part sa population et de ses ressources naturelles. Nous avons déjà terminé les études techniques. Il nous reste la partie finance de notre projet que nous comptons lancer très bientôt au Mali » a-t-il expliqué.

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Œuvres sociales : inauguration de deux forages à Samé Abdoulayebougou et Samé Chicoro.

Dans le cadre des Œuvres sociales de Son Excellence le Général d’Armée Assimi GOÏTA, Président de la Transition, Chef de l’État, une délégation de la Présidence, conduite par le Conseiller spécial, Aguibou DEMBELE a inauguré le mercredi 30 avril 2025, deux forages à Samé Abdoulayebougou et à Samé Chicoro. L’implantation de ces infrastructures hydrauliques est synonyme d’amélioration considérable des conditions d’hygiène, donc de vie pour les populations locales. « Depuis la réalisation de ce forage, nous avons constaté une nette amélioration de la santé de nos enfants grâce à la qualité de l’eau », a affirmé Mme KALOGA Djéné DIARRA, Représentante des femmes de Abdoulayebougou. M. Mohamed KONATE, Chef de quartier de Samé Chicoro a salué les efforts de l’équipe des Œuvres sociales pour apporter assistance aux personnes en difficulté partout sur le territoire national. Il a rappelé que ce don n’est pas le premier à Samé. Ce qui témoigne, selon lui, de la solidarité agissante et bienveillante du Chef de l’État. Pour sa part, M. Aguibou DEMBELE, Conseiller spécial du Chef de l’Etat, a rappelé que ce don est une promesse tenue du Président de la Transition. Il a exhorté les bénéficiaires à entretenir jalousement les joyaux hydrauliques et à l’utilisation optimale de l’eau.

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RÉFORMES INSTITUTIONNELLES : Pose de la première pierre du futur siège de la Cour des comptes

Le Président de la Transition, Président du Conseil Supérieur de la Magistrature, le Général d’Armée Assimi GOÏTA, a procédé, ce jeudi 19 décembre 2024, à la pose de la première pierre du futur siège de la Cour des comptes. Cette cérémonie a réuni plusieurs personnalités notamment le Premier ministre, le Président de la Cour Suprême, les Présidents des Institutions de la République, le ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux, ainsi que de nombreux membres du Gouvernement. En promulguant la nouvelle Constitution issue du référendum du 18 juin 2023, le Général d’Armée Assimi GOÏTA, Président de la Transition, a annoncé un nouveau départ pour le pays, marqué par des changements de fond dans le texte. Parmi les réformes majeures de la Constitution du 22 juillet 2023 figure la création de la Cour des comptes comme 6 ᵉ Institution de la République. Moins d’un an plus tard, pour opérationnaliser cette nouvelle institution, le Président de la Transition, le Général Assimi GOÏTA, a lancé la construction du siège de la Cour des comptes. Implanté sur un terrain d’une superficie d’un hectare, le futur siège de la Cour des comptes prévoit des infrastructures modernes et adaptées aux besoins de ses utilisateurs. Le bâtiment comprendra 187 bureaux, dont 171 équipés de toilettes privatives, un atrium central, 11 salles d’archives, deux salles d’audience pouvant accueillir respectivement 350 et 40 personnes, ainsi que deux salles de délibération. Il inclura également un restaurant, une bibliothèque, et 45 places de parking couvert, dont 27 en sous-sol et 18 au rez-de-chaussée. Cette conception vise à offrir un cadre de travail optimal pour les magistrats et le personnel de la Cour, tout en reflétant la vocation de transparence et de modernité de l’institution.   Dans une interview accordée à la presse, le Président Assimi GOÏTA a rappelé les missions essentielles de la Cour des comptes, à savoir, la sauvegarde du patrimoine public, le contrôle de la fiabilité et de la sincérité des finances publiques, ainsi que l’amélioration des méthodes de gestion administrative. Il a invité les futurs occupants de ces locaux à en prendre le plus grand soin afin de préserver cet investissement pour les générations futures. Le Président de la Cour Suprême, Dr Fatoma THÉRA, a salué cette initiative comme une preuve de l’engagement du Chef de l’État envers la bonne gouvernance et la reddition des comptes. « La réalisation de ce projet, malgré les contraintes budgétaires et les priorités de l’État, démontre la volonté politique constante de doter notre pays d’institutions fortes, crédibles et fiables, à la hauteur des attentes des citoyens », a-t-il déclaré. Le siège de la Cour des comptes se veut être un symbole fort de la lutte pour la transparence et la discipline dans la gestion budgétaire. Selon Dr Fatoma THÉRA, cet édifice offrira un cadre propice à un examen rigoureux et impartial des comptes publics, permettant de détecter toute irrégularité et de garantir une utilisation optimale des ressources de l’État.   Institution supérieure de contrôle, la Cour des comptes est dotée de compétences variées. Elle assure le contrôle de l’emploi des fonds publics selon trois axes : la régularité, la qualité des comptes et la performance. En outre, elle exerce des attributions juridictionnelles spécialisées, notamment en matière de discipline financière et budgétaire, ainsi que dans la sanction des infractions financières. Ces missions s’accompagnent d’un rôle d’assistance auprès de l’Assemblée nationale et du Gouvernement, dans le cadre du contrôle de l’exécution des lois de finances consacrées par la Constitution du 22 juillet 2023. Ce projet marque un jalon important dans la réforme des institutions dans notre pays, en vue de construire une gouvernance plus efficace et plus proche des attentes de la population.

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Refondation : la CRNC a restitué l’Avant-projet de Constitution à la Cour Constitutionnelle et à la Cour suprême

La Commission de rédaction de la nouvelle Constitution (CNRC) a restitué l’Avant-projet de Constitution de la République du Mali à la Cour Constitutionnelle et à la Cour suprême, ce mardi 18 octobre 2022. Cette cérémonie, qui a enregistré la présence des membres de la Commission, s’est tenue au Centre international de conférence de Bamako (CICB). Après un discours introductif, le Rapporteur général de la Commission, Wafi OUGADEYE, a présenté succinctement l’Avant-projet de Constitution de la République du Mali duquel ressortent des innovations majeures, aux membres des deux institutions. Au niveau de la Cour Constitutionnelle et de la Cour suprême, des changements majeurs sont introduits dans le mode de désignation des membres. Wafi OUGADEYE a fait état de plusieurs autres innovations tout en faisant état des insuffisances que contient l’actuelle Constitution de la République du Mali. Cette présentation a été suivie par la remise de quelques exemplaires au Président de la Cour suprême et au représentant du Président de la Cour Constitutionnelle par le Rapporteur général de la CRNC. Se succédant à la tribune après la présentation de l’Avant-projet, la Cour Constitutionnelle et la Cour suprême ont remercié les membres de la Commission pour avoir accompli leurs missions en si peu de temps. Elles ont salué la qualité du travail. Les deux institutions ont donc adressé leurs vives félicitations aux membres de la CRNC avant de les assurer de leur accompagnement. Ces travaux de restitution, qui ont débuté le 17 octobre dernier avec la Primature et le Gouvernement, devront se poursuivre jusqu’au 25 octobre prochain. Ils concerneront les régions en plus du district de Bamako.

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