COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 21 JUIN 2023 CM N°2023-26/SGG

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Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le mercredi 21 juin 2023, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat.
Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a :
– adopté des projets de texte ;
– procédé à des nominations ;
– et entendu des communications.
AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES
Sur le rapport du ministre de la Refondation de l’Etat, chargé des Relations avec les Institutions, le Conseil des Ministres a adopté un projet de loi autorisant le Gouvernement à prendre certaines mesures par
ordonnances.
1.
Le présent projet de loi est initié en application des articles 74 de la Constitution et 13 de la Charte de la Transition.
Il vise à autoriser le Gouvernement à prendre, par ordonnances, des mesures qui sont normalement du domaine de la loi, durant la période comprise entre la clôture de la session ordinaire du Conseil national de Transition ouverte le 03 avril 2023 et l’ouverture de la session ordinaire du mois d’octobre 2023.
Le projet de loi adopté habilite le Gouvernement à prendre des mesures nécessaires pour la réalisation de son programme dans les domaines ci-après :
– la création, l’organisation et le contrôle des services et organismes publics ;
– l’organisation de la production ;
– les statuts du personnel ;
– les traités et accords internationaux.
2. Sur le rapport du ministre des Transports et des Infrastructures, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation et aux modalités de fonctionnement du Centre national de Recherche et d’Expérimentation en Bâtiment et Travaux publics.
Le Centre national de Recherche et d’Expérimentation en Bâtiment et Travaux publics a pour mission de contribuer à la définition et à la mise en œuvre de la politique nationale en matière de recherche et d’expérimentation dans le domaine du Bâtiment et des Travaux publics.
Après plusieurs années de fonctionnement, le centre est confronté à des difficultés liées, notamment :
– à la concentration des activités du Centre autour des prestations génératrices de revenus en sous-traitance avec les bureaux d’études et les entreprises ;
– à la timide réalisation des programmes de recherche due à l’insuffisance de moyens financiers et humains ;
– à la non implication du Centre à la vérification de la qualité et de la conformité des matériaux de construction importés et fabriqués localement ;
– à la non implication du Centre dans les projets d’envergure nationale ;
– à l’insuffisance d’équipement adéquat pour l’exécution de ses missions.
Par ailleurs, l’adoption de la Loi n°2019-048 du 24 juillet 2019 régissant les laboratoires du bâtiment et des travaux publics et du Décret n°2022-075/PT-RM du 17 février 2022 fixant les conditions de qualification et de classification des laboratoires spécialisés dans les études géotechniques, au contrôle de qualité des sols et des matériaux de construction exige d’adapter le cadre législatif et réglementaire du Centre au nouveau contexte institutionnel.
Les présents projets de texte sont adoptés dans ce cadre. Ils redéfinissent les missions du Centre et l’érigent en laboratoire de référence national en lui assignant de nouvelles attributions, entre autres :
– la vérification de la qualité des matériaux de construction et leur mise en œuvre pour garantir la sécurité et la durabilité des infrastructures ;
– la contribution au contrôle et à la surveillance des travaux neufs et d’entretien du secteur du bâtiment et des travaux publics pour s’assurer du respect des normes, favoriser la maîtrise des délais contractuels ;
– la vérification de la qualité des matériaux conventionnels de construction avant leur mise sur le marché pour contraindre les producteurs et importateurs au respect des caractéristiques normatives et contribuer à la prévention des risques d’effondrement ou de vieillissement précoce des infrastructures ;
– l’élaboration de la carte géotechnique du Mali.
3. SurlerapportduministredesMines,del’Energieetdel’Eau,leConseildes Ministres a adopté :
– un projet de loi portant Code minier en République du Mali ;
– un projet de loi relatif au contenu local dans le secteur minier.
La Réforme du secteur minier est une des fortes recommandations des Assises nationales de la Refondation. Elle s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des trois (03) principes édictés par le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Colonel Assimi GOITA et qui gouvernent l’action publique, à savoir :
– le respect de la souveraineté du Mali ;
– le respect des choix stratégiques et de partenaires opérés par le Mali ;
– la prise en compte des intérêts vitaux du peuple malien dans les décisions
prises.
Dans le but de faire profiter les potentialités minières et énergétiques à l’ensemble de la population, le Gouvernement a engagé une série de réformes dans le secteur minier. C’est ainsi que furent adoptés, successivement les Codes miniers de 1963, 1970, 1991, 1999, 2012 et 2019.
L’Ordonnance n°2019-022/P-RM du 27 septembre 2019 a apporté plusieurs innovations.
En dépit de ces innovations, il est apparu des insuffisances de fond pour une amélioration substantielle de la contribution du secteur minier à l’essor économique et social. Ces insuffisances portent essentiellement sur :
– la faible intégration de l’activité minière à l’économie nationale malgré le contexte favorable marqué par la hausse du cours de l’or ;
– le manque d’inclusivité dans la signature des Conventions d’établissement et l’approbation des avenants introduits par les sociétés minières ;
– l’insuffisance des moyens de contrôle de l’Etat sur l’exploitation minière ;
– les procédures d’ouvertures de comptes offshores ;
– la non prise en compte dans la législation minière du traitement de minerai
par péage ;
– les contraintes liées à un système de convention d’établissement unique qui
couvre la phase de recherche et la phase d’exploitation ;
– les prises d’engagements par l’Etat sur l’exploitation avant même la
découverte du gisement ;
– la faiblesse des textes nationaux par rapport au contenu local.
Les projets de loi sont adoptés afin d’apporter des solutions aux insuffisances relevées.
Ils réaffirment la souveraineté de l’Etat sur les ressources minérales à travers entre autres :
– la réorganisation du régime des titres miniers ;
– la réforme du régime fiscal et financier pour mieux prendre en charge les
questions liées au traitement par péage, à la règlementation de charges, à la participation de l’Etat, à l’utilisation des ressources humaines et matérielles locales, au transfert des technologies, à la sous-traitance des entreprises locales ;
– l’utilisation des services et produits locaux ainsi que la création de valeurs additionnelles mesurables à l’économie locale.
AU CHAPITRE DES MESURES INDIVIDUELLES
Le Conseil des Ministres a procédé aux nominations suivantes :
AU TITRE DU MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES
– Conseillers techniques :
Monsieur Yaya DIARRA, Inspecteur des Finances ; Monsieur Diakaridia DEMBELE, Inspecteur des Finances.
AU CHAPITRE DES COMMUNICATIONS
1. Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale a informé le Conseil des Ministres de l’élection de Monsieur Modibo SACKO, par le collège des juges, au poste de Vice-président de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples, pour un mandat de deux (02) ans renouvelables.
Cette désignation a eu lieu dans le cadre du renouvellement du bureau de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples, au cours de sa 69ème session ordinaire qui s’est ouverte le 12 juin 2023 à Arusha en Tanzanie.
La Cour africaine des droits de l’homme et des peuples est une Cour continentale établie par les Etats africains pour assurer la protection des droits de l’homme et des peuples en Afrique. Elle complète et renforce les fonctions de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples.
La brillante élection de Monsieur Modibo SACKO est la reconnaissance par ses Pairs des compétences de notre compatriote et de l’excellent travail qu’il abat au sein de la Cour depuis son élection par le sommet de l’Union africaine de février 2021.
Il convient de souligner que Monsieur SACKO est le premier malien à occuper ce très haut poste de responsabilité au sein de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples.
2. Le ministre de l’Economie et des Finances a informé le Conseil des Ministres de la signature d’une Convention entre l’Etat du Mali et le Fonds de Garantie pour le Secteur Privé, relative à l’octroi d’une Allocation pour la résilience.
Le Fonds de Garantie pour le Secteur Privé a été créé en 2014 à l’initiative de l’Etat malien, en collaboration avec le secteur privé, conformément à la Loi d’orientation dudit secteur.
Il vise à faciliter l’accès du secteur privé au financement afin de contribuer à son développement, à la création d’emplois et de valeur ajoutée, grâce à des mécanismes incitatifs de partage de risque contribuant à l’amélioration de la confiance entre les entreprises et les Institutions de financement.
Suite à la pandémie de la COVID-19, 20 milliards de francs CFA ont été affectés au financement du secteur privé à travers les banques et les institutions de micro finances. L’impact de cette dotation a été un financement global de 471 milliards de francs CFA en faveur du secteur privé.
Dans le cadre de la mise en œuvre des trois (03) principes édictés par le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Colonel Assimi GOITA et qui gouvernent l’action publique, le gouvernement a décidé d’affecter 28 milliards de francs CFA pour le renforcement du financement des entreprises du secteur privé. L’impact de la signature de cette Convention sur le financement du secteur privé pourrait à terme atteindre 600 milliards de francs CFA.
3. Le ministre de la Santé et du Développement social a informé le Conseil des Ministres de l’évolution de la maladie à Coronavirus marquée par une stagnation du nombre de cas testés positifs par rapport à la semaine précédente.
Le Président de la Transition, Chef de l’Etat a, cependant, appelé la population au respect strict des mesures de prévention et de lutte contre la maladie.
Bamako, le 21 juin 2023 Le Secrétaire général du Gouvernement,
Mahamadou DAGNO
Officier de l’Ordre national

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Audience accordée par le Chef de l’Etat au nouveau Président de l’ARMDS

Le Président de la Transition, Son Excellence Monsieur Bah N’DAW a accordé, ce jeudi 11 mars 2021, une audience à Monsieur Alassane BAH, Président de l’Autorité de Régulation des marchés publics et des Délégations de Service Public. Nouvellement nommé à la tête de la structure, Monsieur Alassane BAH a indiqué au sortir d’audience, qu’il était important pour lui de rendre une visite de courtoisie au Chef de l’État et lui faire part de certaines difficultés que connaît l’ARMDS. Cette visite a été pour lui, une opportunité de solliciter auprès du Chef de l’État, son accompagnement afin de les aider à transcender les difficultés, a-t-il poursuivi.  

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Démarrage des travaux d’extension de l’école fondamentale de Kambila

Le jeudi 25 janvier 2024, une équipe des œuvres sociales du président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, s’est rendue à Kambila, dans le cercle de Kati, dans le cadre du lancement des travaux d’extension de l’école fondamentale qu’abrite cette circonscription. La délégation était conduite par M. Aguibou DEMBÉLÉ, Conseiller spécial du Président de la Transition.   L’événement a été honoré par la présence du ministre de l’Éducation nationale, Dr Amadou Sy SAVANÉ et du Directeur administratif et Financier de la Présidence, le Colonel Cheick Mamadou Chérif TOUNKARA. Les gestes symboliques de la truelle, effectués par le ministre de l’Éducation nationale et le Conseiller spécial, marquent ainsi le début des travaux d’extension de cette école qui ne comptait que trois salles pour six classes. Dans les trois prochains mois, émergeront de cet espace deux nouveaux blocs de trois salles de classe chacun, quatre latrines et une salle des professeurs. Cette initiative, inscrite dans le cadre des œuvres sociales du Président de la Transition, prend une dimension concrète au bénéfice des citoyens, comme le souligne M. Habib DEMBÉLÉ, Conseiller spécial du Président de la Transition, chargé des œuvres sociales, lors d’une interview. Avec l’achèvement de ces nouvelles infrastructures scolaires, les enfants de Kambila ne seront plus contraints à des trajets longs et épuisants à la recherche du savoir, et l’effectif pléthorique dans les classes sera considérablement allégé. Une avancée qui réjouit particulièrement les habitants de la localité, comme le souligne Jorge KONÉ, maire de la Commune rurale de Kambila. Pour le ministre de l’Éducation nationale, Amadou Sy SAVANÉ, cette action concrétise l’intérêt manifeste des plus hautes autorités de la Transition à répondre aux besoins en infrastructures et équipements scolaires. Ces travaux d’extension viennent compléter les efforts déployés, portant à quatre le nombre d’établissements scolaires réhabilités et renforcés à l’intérieur du pays, dans le cadre des œuvres sociales du Président de la Transition. C’est donc une étape cruciale dans la consolidation du système éducatif au Mali.

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PROJET DE COMPTE RENDU DE CONSEIL DES MINISTRES - Grande

COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 29 NOVEMBRE 2023 CM N°2023-49/SGG

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le mercredi 29 novembre 2023, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat. Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a : – adopté des projets de texte ; – et entendu des communications. AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES 1. Sur le rapport du ministre de la Refondation de l’Etat, chargé des Relations avec les Institutions, le Conseil des Ministres a adopté un projet de loi autorisant le Gouvernement à prendre certaines mesures par ordonnance. Le présent projet de loi est initié en application des articles 121 de la Constitution et 13 de la Charte de la Transition. Il vise à autoriser le Gouvernement à prendre par ordonnance, des mesures qui sont normalement du domaine de la loi, durant la période comprise entre la clôture de la session ordinaire du Conseil National de Transition, ouverte le 02 octobre 2023 et l’ouverture de la session ordinaire du mois d’avril 2024. Le projet de loi adopté, habilite le Gouvernement à adopter des mesures nécessaires pour la réalisation de son programme dans les domaines ci-après : – la création, l’organisation et le contrôle des services et organismes publics ; – l’organisation de la production ; – les statuts du personnel ; – les traités et accords internationaux. 2. Sur le rapport du ministre des Transports et des Infrastructures, le Conseil des Ministres a adopté : a. un projet de décret fixant le cadre organique de l’Observatoire des Transports. L’Observatoire des Transports a été créé par l’Ordonnance n°99-041/P-RM du 29 septembre 1999 avec pour mission de suivre les activités du secteur des Transports et de fournir aux pouvoirs publics et aux professionnels toutes informations utiles. Son organisation et ses modalités de fonctionnement sont fixées par le Décret n°00-003/P-RM du l2 janvier 2000. Le Décret n°00-004/P-RM du 12 janvier 2000 détermine le cadre organique de l’Observatoire des Transports. Après plusieurs années de mise en œuvre, la structure connait des dysfonctionnements dus principalement à la non prise en compte de certains corps dans le cadre organique en vigueur. Le projet de décret adopté, vise à corriger cette situation et à doter pour les cinq (05) prochaines années, l’Observatoire des Transports en personnel nécessaire pour l’exécution de ses missions. b. un projet de décret fixant le cadre organique de la Direction des Finances et du Matériel du Ministère des Transports et des Infrastructures. Les Directions des Finances et du Matériel ont été créées par l’Ordonnance n°09-010/P-RM du 04 mars 2009 avec pour mission d’élaborer, au niveau d’un Département ou d’un groupe de Départements ministériels, les éléments de la politique nationale dans les domaines de la gestion des ressources financières et matérielles et de l’approvisionnement des services publics. Le cadre organique de la Direction des Finances et du Matériel du Ministère de l’Equipement et du Désenclavement est fixé par le Décret n°2017-0937/P-PM du 27 novembre 2017. Au regard de la non-conformité du cadre organique actuel avec la configuration du département qui est issu de la fusion du Ministère des Transports et de la Mobilité Urbaine et du Ministère de l’Equipement et du Désenclavement, il est apparu nécessaire de procéder à sa relecture en vue de l’adapter à l’environnement institutionnel. Le projet de décret est adopté dans ce cadre. Il permettra de doter, pour les cinq (05) prochaines années, la Direction en personnel nécessaire pour l’exécution de ses missions. 3. Sur le rapport du ministre de l’Urbanisme, de l’Habitat, des Domaines, de l’Aménagement du territoire et de la Population, le Conseil des Ministres a adopté : a. un projet de décret portant approbation du Schéma Directeur d’Urbanisme de la ville de Ménaka et environs. La ville de Ménaka couvre une superficie de 95 000 hectares avec une population estimée à 13 647 habitants selon le Recensement Général de la Population et de l’Habitat 2022. L’expansion de la ville de Ménaka, son érection en capitale régionale et l’ampleur des activités qui y sont menées ont rendu nécessaire la révision du Schéma Directeur d’Urbanisme approuvé en 2004. Cette révision permettra de prendre en compte les évolutions, mais aussi son développement harmonieux à court, moyen et long terme. Le Schéma Directeur d’Urbanisme fixe les orientations fondamentales du développement et de l’aménagement de la ville de Ménaka et environs et définit les principes d’organisation de l’agglomération en matière d’habitat, d’activités, de voirie et de réseaux divers, de grands équipements, y compris le traitement des problèmes environnementaux. L’adoption du présent Schéma permet de doter la ville de Ménaka et environs d’instruments de planification et de gestion de son développement pour les vingt prochaines années. b. un projet de décret portant affectation au Ministère de la Sécurité et de la Protection civile de la parcelle de terrain, objet du Titre de foncier n°239206 du Cercle de Kati, sise à N’Tabacoro. La parcelle de terrain, d’une superficie de 16 ares 00 centiare est destinée à la construction d’un commissariat de Police en vue d’apporter une meilleure réponse à l’aspiration sécuritaire des populations de N’Tabacoro et environs. AU CHAPITRE DES COMMUNICATIONS 1. Le ministre des Transports et des Infrastructures a informé le Conseil des Ministres : a. de l’organisation du Forum international sur la prévention routière : Le Mali assure présentement la présidence de l’Organisation de la Sécurité routière en Afrique de l’Ouest. A ce titre, il assume la responsabilité d’entreprendre et de valider toutes initiatives de promotion de la sécurité routière dans l’espace communautaire. Face à la fréquence et à la gravité des accidents de la circulation routière dans notre pays, la sous-région et sur le continent, le Ministère des Transports et des Infrastructures organise un forum international sur la prévention routière, les 07 et 08 décembre 2023, sur le thème : La sécurité routière, un défi transfrontalier. L’objectif de ce forum est d’offrir un cadre d’échange sur les meilleures pratiques internationales de prévention des risques d’accidents de la route, afin de renforcer la sécurité

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