Œuvres sociales du Président de la Transition : Deux forages pour la population de Kati Fouga

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Les œuvres sociales du Président de la Transition pour le bien-être des populations continuent d’être mises en œuvre dans les différentes localités du Mali. C’est dans ce cadre que le Conseiller spécial du Chef de l’État, M. Aguibou DEMBÉLÉ, a procédé le mardi 16 janvier 2024 à l’inauguration de deux forages à Kati Sanafara extension TF 824, communément appelé Fouga. La cérémonie s’est déroulée en présence du Directeur administratif et financier de la Présidence, le Colonel Cheick Mamadou Chérif TOUNKARA, du représentant du préfet du Cercle de Kati, Arouna BERTHÉ, du maire, Yoro OUOLOGUEM, ainsi que des représentants des autorités traditionnelles et religieuses de la ville garnison.

« Une source d’eau pour une femme, c’est comme une fontaine de force qui nourrit sa vie et sa communauté ». Fort de ce proverbe, le Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, s’est engagé, depuis son investiture, à allouer les 2/3 de son fonds de souveraineté au bien-être des populations, surtout des couches les plus vulnérables, afin que puisse régner au Mali plus de justice sociale. D’où le lancement de la vaste campagne d’implantation de forages et de distribution de kits alimentaires dans plusieurs régions, cercles et villages du Mali.

C’est dans ce cadre que Kati Sanafara extension TF 824, communément appelé Fouga, a bénéficié de deux forages, dont l’inauguration a eu lieu le mardi 16 janvier 2024. Ce château d’eau, fruit des œuvres sociales du Président de la Transition, vient alléger la souffrance des femmes et des enfants de Kati Fouga, obligés jadis de transporter de l’eau dans des bidons pour leurs besoins et même de veiller pour avoir le précieux sésame.

« On a des difficultés pour avoir de l’eau pour nos besoins quotidiens. Ces ouvrages financés par le Président de la Transition viennent soulager nos souffrances et nos dures corvées d’eau », a déclaré la présidente des Femmes du quartier, Mme Diarra Mama SAMAKÉ. Et d’ajouter : « Nous avons d’autres doléances car notre quartier est nouveau et nous avons besoin d’école, de centre de santé, d’un marché, d’un terrain de sport aménagé et aussi de l’adduction d’eau de la Somagep ».

Le Conseiller spécial du Chef de l’État, M. Aguibou DEMBÉLÉ, a immédiatement promis de remonter cette information. Car, selon lui, depuis son investiture, le Président de la Transition s’est engagé à réduire la souffrance des populations à travers les œuvres sociales. Il a aussi invité les bénéficiaires à bien entretenir les ouvrages.

Le Chef de quartier, le maire de Kati, le Secrétaire Général de l’Association Benkan Fouga et le représentant du Préfet de Kati ont salué la réalisation de ces ouvrages à Kati Fouga. Ils ont formulé des remerciements et des vœux de santé à l’endroit du Président de la Transition.

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Conseil Supérieur de l’Agriculture (CSA): Le Président Assimi GOITA annonce de belles perspectives pour 2024

Le Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Chef de l’État, a présidé ce mardi 30 avril 2024, la 14e session du Conseil supérieur de l’Agriculture (CSA) au Palais de Koulouba. Cet événement annuel a vu la participation du ministre de l’Agriculture, du 2e Vice-Président de l’Assemblée permanente de la chambre d’Agriculture du Mali, du Président Directeur général de la Compagnie malienne pour le développement des textiles (CMDT), ainsi que de nombreux autres acteurs essentiels du monde agricole et du secteur privé. Le Premier ministre, le ministre d’État, ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, Porte-Parole du Gouvernement, ainsi que le ministre de l’Économie et des Finances, étaient parmi les autres membres du Gouvernement présents lors de cette cérémonie traditionnelle. L’objectif du Conseil supérieur de l’Agriculture est double : dresser le bilan de la campagne agricole passée et planifier celle à venir. Le ministre de l’Agriculture, M. Lassine DEMBELE, a déclaré que les résultats de la dernière campagne étaient globalement satisfaisants, remerciant les autorités de la Transition pour leur soutien à ces succès. Les projections pour la prochaine saison agricole révèlent un plan ambitieux pour accroître progressivement la production annuelle de coton et pour développer des millions d’hectares destinés à améliorer significativement les rendements. Ce plan sera soutenu par la fourniture continue d’engrais, partiellement subventionnés par l’État. M. Abdoulaye CAMARA, 2e Vice-Président de l’Assemblée permanente de la chambre d’Agriculture du Mali, a exprimé sa gratitude envers le Président de la Transition pour son engagement envers le secteur agricole, incluant son initiative de soutenir les éleveurs par une subvention de 10 % sur l’aliment bétail et la prochaine mise en place de la géolocalisation des producteurs pour propulser le Mali vers une agriculture moderne et garantir le bien-être des producteurs. Le Président GOÏTA a souligné l’importance stratégique du secteur agricole, le qualifiant de « secteur vital » pour l’apaisement et le développement économique du Mali. C’est une priorité absolue pour le Gouvernement. Il a également profité de cette occasion pour remercier l’ensemble des acteurs et partenaires du secteur agricole pour leur soutien indéfectible surtout en ces temps difficiles pour la nation. Il les a exhortés à continuer leur lutte pour la souveraineté alimentaire et nutritionnelle, soulignant que le bilan positif de l’année écoulée était le résultat de leur travail acharné collectif. De nouvelles directives ont été établies pour la prochaine campagne, y compris une hausse du prix du coton graine fixé désormais à 300 FCFA le kilogramme, contre 295 FCFA l’année précédente, marquant ainsi l’engagement renouvelé du gouvernement pour soutenir les agriculteurs et garantir des prix justes, facilitant ainsi une distribution équitable des ressources agricoles. Les prix d’achat des intrants agricoles subventionnés ont été également méticuleusement définis : 14 000 F CFA pour un sac de 50 kg d’engrais minéraux, 3 000 F CFA pour les engrais organiques, 1 500 FCFA pour un kilogramme de semences de maïs hybride, et 17 500 F CFA pour un kilogramme de bio-stimulant ovalis. Cette 14e session a non seulement réaffirmé l’importance centrale de l’agriculture dans l’économie, mais également dans la stabilité sociale et politique du Mali. Elle a révélé un engagement profond pour transformer le secteur agricole en 2024, en introduisant de nouvelles technologies et en soutenant les agriculteurs face aux défis climatiques, pour lutter efficacement contre l’insécurité alimentaire et nutritionnelle.

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COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 30 JUILLET 2025

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le mercredi 30 juillet 2025, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Général d’Armée Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat. Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a : – adopté des projets de texte ; – procédé à des nominations ; – et entendu des communications. AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES E T REGLEMENTAIRES 1. Sur le rapport du ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation, aux modalités de fonctionnement et au cadre organique de la Direction nationale de la Protection judiciaire des Enfants. Les instruments juridiques internationaux et régionaux relatifs à la protection et à la promotion des Droits de l’Enfant, ratifiés par notre pays, recommandent pour l’enfant en conflit avec al loi un traitement spécifique distinct de celui réservé aux adultes et l’institution d’un système complet de justice, pour les enfants, porté par des services spécialisés. Ce principe apparaît spécifiquement dans la Convention relative aux Droits de l’Enfant et dans la Charte africaine des Droits et du Bien-être de l’Enfant qui invitent les Etats parties à promouvoir l’adoption de lois et de procédures, la mise en place d’autorités et d’institutions spécialement conçues pour les enfants suspectés, accusés ou convaincus d’infraction à la loi pénale. Dans el cadre de la mise en œuvre de ces engagements internationaux, le Mali a adopté la Loi n°01- 081 du 24 août 2001 portant sur la minorité pénale et institution de juridiction pour mineurs et l’Ordonnance n°02-062/P-RM du 05 juin 2002 portant Code de Protection de l’Enfant dont la mise en œuvre a permis de marquer la spécificité de la protection des Droits de l’Enfant dans al pratique judiciaire. Cependant, l’évaluation du système de justice pour enfant, réalisée en 2021, a révélé des insuffisances qu’il convient de corriger. Les projets de texte, adoptés, créent la Direction nationale de la Protection judiciaire des Enfants avec pour mission l’élaboration des éléments de al politique nationale dans el domaine de al prise en charge des enfants en contact avec la loi et d’en assurer la coordination et le contrôle de sa mise en œuvre. Ils prévoient, également, l’effectif du personnel nécessaire à son fonctionnement pour les 5 prochaines années. 2. Sur el rapport du ministre de la Réconciliation, de la Paix et de la Cohésion nationale, le Conseil des Ministres a adopté un projet de loi portant Charte nationale pour la Paix et la Réconciliation nationale. Notre pays, depuis son accession à l’indépendance, est confronté à des défis sécuritaires, économiques, financiers, climatiques et de gouvernance qui ont engendré des conflits inter et intra- communautaires, des rébellions successives avec comme corollaires l’instabilité politique et institutionnelle, la criminalité transnationale organisée et le terrorisme. Les crises insurrectionnelles survenues, depuis 1960 ont été gérées à travers des accords notamment : – l’Accord de Tamanrasset, signé à Tamanrasset le 6janvier 1991 ; – el Pacte national, signé àBamako el 1 avril 1992 ; – l’Accord d’Alger pour la restauration de la paix, de la sécurité et du développement dans la Région de Kidal, signé à Alger el 4 juillet 2006 ; – l’Accord préliminaire à l’élection présidentielle et aux pourparlers inclusifs de paix, signé à Ouagadougou le 18 juin 2013 ; – l’Accord pour la Paix et la Réconciliation au Mali, issu du processus d’Alger, signé à Bamako le 15 mai 2015 et parachevé le 20 juin 2015. Malgré les multiples initiatives de l’Etat, des institutions régionales et internationales dans el cadre du processus de paix, l’insécurité persiste et notre pays connait depuis 2012 une profonde crise qui a impacté les fondements de la Nation et entrainé l’effritement de la cohésion sociale et du vivre- ensemble. Le Président de la Transition, Chef de l’Etat, tirant les enseignements des différentes rébellions, prenant en compte les acquis des accords subséquents et dans le but d’associer l’ensemble des Maliens à al recherche d’une paix durable, a décidé de l’appropriation nationale du processus de paix et de réconciliation. Dans ce contexte, il a initié le Dialogue inter-Maliens pour al Paix et al Réconciliation nationale qui a recommandé, entre autres, la rédaction d’une Charte pour la paix, la sécurité, la cohésion sociale et le vivre-ensemble. aLprésente charet searelda ume,edretérente pour rouesesl intacives, acoitns et eties qui ensemble. Sa vision est : «Une Nation souveraine, réconciliée, tolérante et en paix, dans un Etat refondé reposant sur une gouvernance démocratique, juste et équitable .» Le projet de loi, adopté, permettra de consolider l’unité nationale, de restaurer al paix, de renforcer la sécurité, de raffermir al cohésion sociale et le vivre-ensemble à travers la réconciliation nationale. AU CHAPITRE DES MESURES INDIVIDUELLES Le Conseil des Ministres a procédé aux nominations suivantes : AU TITRE DU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES ET DE LA COOPERATION INTERNATIONALE – Conseiller Consulaire à l’Ambassade du Mali à Moscou : Capitaine Ahmed TOURE. – Conseiller Consulaire au Consulat général du Mali à Paris : Commandant Samba COULIBALY. – Conseiller Consulaire à l’Ambassade du Mali à Bruxelles : Monsieur Modibo CISSE, Inspecteur des Finances. – Conseiller Consulaire à l’Ambassade du Mali à Riyad : Commissaire Principal Mohamed Ali OULD MOHAMED YEHIA. – Conseiller Consulaire à l’Ambassade du Mali à Libreville : Commissaire Divisionnaire Souleymane GOITA. – Conseiller Consulaire à l’Ambassade du Mali à Malabo : Capitaine Fadiougou SISSOKO. AU CHAPITRE DES COMMUNICATIONS 1. Le ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux a informé le Conseil des Ministres : a. de la participation du Mali à la 26ème Edition de la Réunion statutaire des Présidents des Cours des Comptes de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine, tenue du 14 au 18 juillet 2025 à Ouagadougou, au Burkina Faso. Cette 26eme Edition, placée sous el thème : « Renforcer la reddition des comptes pour une gouvernance publique responsable », avait pour objet l’évaluation des systèmes de contrôle des comptes

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Œuvres sociales du Président de la Transition : deux nouveaux forages pour la région de Dioïla

Le Conseiller spécial chargé des œuvres sociales du Président de la Transition, M. Aguibou DEMBELE, accompagné d’une délégation comprenant deux chargés de mission du Président de la Transition et un représentant de la Direction administrative et financière de la Présidence, s’est rendu le mercredi 26 juin 2024 à Dioïla pour inaugurer deux nouveaux forages au profit de l’école de Tiendo, dans la Commune rurale de Kaladougou, et du CAP de Bèlèko, dans la Commune rurale de Diédougou. Ces deux réalisations portent à 378 le nombre total de forages réalisé à ce jour par le Président GOÏTA à travers tout le pays. Depuis la rectification de la Transition en juin 2021, le Chef de l’État a décidé d’investir les deux tiers de son fonds de souveraineté dans des actions en faveur des couches sociales et des localités défavorisées, notamment pour l’accès aux services sociaux de base tels que l’eau, l’éducation, la santé et la nourriture. Ces actions s’inscrivent donc dans le cadre des engagements pris par le Chef de l’État. Dans la 13e région administrative du Mali, Dioïla, ce sont donc deux communes qui ont bénéficié de ces réalisations : la Commune rurale de Kaladougou et la Commune rurale de Diédougou. En fournissant ce forage à l’école de Tiendo, le Président de la Transition redonne à nos populations, en particulier aux enfants et aux enseignants, leur dignité et leur sécurité, selon les mots du maire de la Commune rurale de Kaladougou, M. Yacouba Dowélé MARIKO. « À Bèlèko, en particulier dans notre quartier abritant le Centre d’animation pédagogique (CAP), l’eau potable est une ressource précieuse, plus précieuse que l’or et les pierres précieuses », souligne la porte-parole des femmes de Bèlèko, Mme Fatoumata COULIBALY. Et de préciser : « L’eau potable est vitale pour le CAP et la population, et grâce à ce forage offert par le Président, elle est désormais disponible, apportant espoir et prospérité à la communauté ». M. Aguibou DEMBELE a encouragé les bénéficiaires à valoriser ces nouvelles infrastructures offertes par le Chef de l’État et a appelé les Maliens à renforcer leur solidarité et leur entraide pour améliorer la vie des populations les plus défavorisées.

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