Journée commémorative des pupilles de la Nation: Le Président de la Transition communie avec les enfants des militaires tombés pour le Mali

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À la veille de la Journée nationale des pupilles, le Président de la transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Chef de l’État, a reçu dans la salle des banquets du Palais de Koulouba, les pupilles de la Nation, ce samedi 30 octobre 2021. Une cérémonie au cours de laquelle le Chef de l’État a remis des cadeaux aux jeunes orphelins dont les parents sont tombés sur le champ de l’honneur.
Cette édition a enregistré la présence du Premier ministre, du Président du Conseil national de la Transition, de Madame le Ministre de la Santé et du Développement social, de certains membres du Gouvernement.
La tenue de cette Journée participe de la volonté des autorités de la Transition, d’impulser un élan de solidarité autour des pupilles dont les parents ont servi la nation au prix de leur vie. Donc, un véritable devoir de mémoire dont le Président de la Transition s’est à juste titre acquitté. La création de l’Office national des pupilles du Mali répond sans conteste à cet idéal.
Ce geste de solidarité et de reconnaissance du Président de la Transition envers les serviteurs de la patrie, prévoit une prise en charge optimale des pupilles, à travers notamment l’octroi de cartes de pupille et de carte bancaire.
Au-delà de son aspect humanitaire, cette action du Chef de l’État est un soutien moral et psychologique aux militaires engagés pour la défense de la Nation.
« Face à la guerre qui nous est imposée, l’engagement des forces de défense et de sécurité est nécessaire pour le retour définitif de la paix au Mali », a affirmé Son Excellence, le Colonel Assimi GOÏTA.
Le Président de la Transition a, par ailleurs, rassuré que les sacrifices consentis pour la survie de la Nation ne seront jamais oubliés.
Habillés en jaune, « couleur de la gloire et de la richesse », les pupilles de la Nation ont entonné des poèmes pour magnifier la grandeur du Mali. Ils ont également témoigné leur reconnaissance et leur gratitude au Président de la Transition.
Des chants, des dons de présents aux pupilles et une photo de famille du Chef de l’État avec les pupilles, après une visite guidée dans le jardin du Palais présidentiel, ont mis fin à cette Journée.

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Sanankoroba : coup d’envoi de la construction d’une nouvelle centrale solaire de 200 MWc

Ce vendredi 24 mai 2024, dans la matinée, le Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Chef de l’État, a donné le coup d’envoi de la construction de la nouvelle centrale solaire à Sanankoroba, dans la région de Koulikoro. Cette cérémonie marque un tournant décisif pour l’avenir énergétique du Mali et témoigne de l’engagement du Président GOÏTA à fournir une source d’énergie propre et durable à la nation. Le lancement des travaux de cette centrale solaire de Sanankoroba a vu la présence de plusieurs personnalités de haut rang. Étaient présents le Premier ministre, le Président du Conseil national de Transition, ainsi que plusieurs membres du Gouvernement, dont Mme Bintou CAMARA, ministre de l’Énergie et de l’Eau. Des diplomates accrédités, dont l’ambassadeur de la Fédération de Russie auprès de la République du Mali, ont également honoré de leur présence cet événement. Le Directeur général de l’entreprise russe Novawind, M. Grigory NAZAROV, a exprimé sa satisfaction et son engagement à contribuer activement au développement énergétique du Mali. « La centrale solaire de Sanankoroba, avec une capacité de 200 MWc, représente une avancée majeure vers la souveraineté énergétique du Mali», a-t-il déclaré. Il a souligné l’importance des investissements financiers et de la coopération internationale pour la réalisation de tels projets. Mme Bintou CAMARA, ministre de l’Énergie et de l’Eau, a salué la dynamique coopération entre le Mali et la Russie, qui a permis l’aboutissement de ce projet. Elle a décrit en détail les spécificités techniques de la centrale solaire, dont les travaux s’étaleront sur 12 mois pour un coût de plus de 120 milliards de FCFA. Le Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, a exprimé son espoir et sa détermination en posant le premier panneau solaire. Il a réaffirmé l’engagement du Gouvernement à concrétiser la souveraineté énergétique du Mali. « L’étape de Sanankoroba est le début d’une série de constructions de centrales solaires en République du Mali», a-t-il déclaré. Le Colonel GOÏTA a également salué la résilience et la patience du peuple malien, assurant que tous les sacrifices consentis sont le socle de la détermination du Gouvernement. Le Président GOÏTA a remercié la Fédération de Russie pour son soutien constant et a souligné la qualité de l’excellent partenariat entre les deux nations. « La réalisation de cette nouvelle centrale est la preuve de l’excellence de notre partenariat», a-t-il conclu. Cette cérémonie de lancement des travaux de la centrale solaire de Sanankoroba, qui sera installé sur une superficie de 300 hectares, est un symbole fort de la volonté du Mali de se tourner vers un avenir énergétique plus durable et autonome. Elle incarne l’espoir et la détermination du Gouvernement de transition à répondre aux besoins énergétiques urgents du pays et à améliorer la qualité de vie de ses citoyens.

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Communiqué de presse relatif au déplacement du Président de la Transition, Son Excellence le Colonel Assimi GOITA à Accra

Le Président de la Transition, Colonel Assimi GOITA, Chef de l’État a quitté Bamako ce samedi 29 mai 2021 pour Accra au Ghana où il prendra part aux côtés de ses homologues de la sous-région au « Sommet extraordinaire de la CEDEAO sur la situation au Mali », prévu ce dimanche 30 mai 2021. Au cours de son séjour, le Chef de l’État aura un tête-à-tête avec son homologue ghanéen et des entretiens bilatéraux avec les partenaires et amis du Mali. Ce déplacement intervient au lendemain de la publication de l’arrêt de la Cour Constitutionnelle qui l’installe dans ses nouvelles fonctions. Cellule de Communication et des Relations publiques de la Présidence

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COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU VENDREDI 16 JUIN 2023 CM N°2023-25/SGG

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le vendredi 16 juin 2023, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat. Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a : – adopté des projets de texte ; – et entendu des communications. AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES 1. Sur le rapport du ministre des Transports et des Infrastructures, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte régissant la circulation routière. Les textes législatifs et réglementaires constituant le code de la route comprennent la Loi n°99- 004 du 02 mars 1999 régissant la circulation routière et le Décret n°99-134/P-RM du 26 mai 1999 fixant les conditions de l’usage des voies ouvertes à la circulation publique et de la mise en circulation des véhicules. Dans la pratique, ces textes ont révélé des insuffisances parmi lesquelles on peut citer, notamment : – la non réglementation du transport mixte ; – la prolifération de nouveaux types de tricycles et quadricycles utilisés comme moyens de transport public ; – la non prise en compte des corbillards dans la catégorie des véhicules prioritaires ; – le faible niveau de formation des candidats à l’examen du permis de conduire, dû à l’absence de formation préalable et obligatoire dans un établissement d’enseignement de la conduite des véhicules ; – l’absence de moyens adéquats pour contrôler les dépassements de vitesse ; – l’absence de règlementation relative aux conditions de travail dans les transports routiers, en ce qui concerne les temps de conduite et de repos ; – la centralisation de la commission technique spéciale de retrait du permis et autorisation de conduire ; – la non prise en compte dans la règlementation sur le port du casque des passagers des motocyclettes, des conducteurs et passagers des vélomoteurs, cyclomoteurs ainsi que des cycles ; – la limitation du port de la ceinture de sécurité en rase campagne ; – la non-conformité aux dispositions communautaires relatives à l’harmonisation des normes et procédures du contrôle de gabarit, du poids et de la charge à l’essieu des véhicules lourds de transport de marchandises dans les Etats de l’Union Economique et Monétaire Ouest africaine ; – la non-conformité aux dispositions communautaires relatives à l’institution d’un schéma harmonisé de gestion de la sécurité routière et à l’organisation du système de formation à l’obtention du permis de conduire dans les Etats membres de l’Union Economique et Monétaire Ouest africaine ; – l’absence des dispositifs de signalisation des véhicules à traction animale en stationnement et d’un centre de transformation des véhicules. Les projets de texte adoptés visent à corriger les insuffisances constatées et à renforcer la sécurité individuelle et collective sur les routes à travers, notamment : – l’introduction des sanctions liées aux surcharges des véhicules de transport en commun ; – l’interdiction expresse du transport mixte ; – l’instauration du permis de conduire de la catégorie B1 pour les tricycles et quadricycles affectés au transport public ; – l’extension de la catégorie C aux appareils de levage et de manutention, comme il est prévu pour les engins de travaux publics, les tracteurs agricoles et les machines agricoles automotrices ; – le classement des corbillards dans la catégorie des véhicules prioritaires ; – l’instauration de la formation préalable obligatoire des candidats à l’examen du permis de conduire dans un établissement d’enseignement de la conduite des véhicules ; – l’institution d’une formation complémentaire pour les conducteurs professionnels ; – la déconcentration de la Commission technique spéciale de retrait du permis et de l’autorisation de conduire au niveau des régions ; – la règlementation du temps de conduite et de repos ; – la fixation de la vitesse maximum sur autoroute à 120 km par heure et l’institution d’un système de contrôle de la vitesse par radar ; – l’introduction du contrôle du taux d’alcoolémie et de celui du taux de consommation de la drogue ; – l’élargissement de la règlementation du port obligatoire du casque aux passagers de motocyclettes aux conducteurs et aux passagers des vélomoteurs, cyclomoteurs et des cycles ; – le port obligatoire de la ceinture de sécurité pour les conducteurs et les passagers de véhicules équipés de ceinture ; – la soumission des motocyclettes, tricycles et quadricycles au contrôle technique. 2. Sur le rapport du ministre de l’Economie et des Finances, le Conseil des Ministres a adopté un projet de décret portant reconnaissance du caractère extraordinaire de la crise énergétique. Les conditions difficiles de production ainsi que les difficultés d’accès à l’énergie sont des évènements qui ont abouti à une crise énergétique. La Société Energie du Mali, qui a pour mission la mise en œuvre du service public de l’électricité, a des indicateurs de performance financière fortement dégradés depuis plusieurs années qui ne favorisent pas les investissements conséquents pour faire face à la demande croissante. Cette dégradation des indicateurs est due essentiellement au fait que le kilo watt heure d’électricité produit à 140 francs CFA est vendu à 100 francs CFA, soit une perte de 40 francs CFA par kilo watt heure produit. Pour faire face à cette situation, le Gouvernement a adopté en mars 2022, un Plan de Redressement de la société Energie du Mali accompagné d’un plan quinquennal d’investissement sur la période 2022-2026 dont la mise en œuvre requiert l’accompagnement et le soutien de l’Etat. Le projet de décret adopté vise à reconnaître le caractère extraordinaire de la crise énergétique pour permettre d’accorder, à la Société Energie du Mali, des exonérations fiscales et douanières pour l’acquisition de certains biens et services dans le cadre de la mise en œuvre du plan d’investissement 2022-2026. 3. Sur le rapport du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation et aux modalités de fonctionnement de l’Institut national de Recherche sur la Médecine et la pharmacopée traditionnelles. La médecine traditionnelle est l’ensemble des connaissances et

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