Quatre nouveaux Ambassadeurs présentent leurs lettres de créance au Chef de l’État

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Le Chef de l'Etat, SEM Bah N'DAW, a reçu, ce vendredi 22 janvier 2021, les Lettres de Créance des nouveaux Ambassadeurs, du Danemark, d'Espagne, du Brésil et de Grande Bretagne, accrédités au Mali.
Le Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Bah N’DAW a reçu, ce vendredi 22 janvier 2021, les Lettres de Créance de quatre nouveaux Ambassadeurs accrédités au Mali.
La cérémonie a obéi au rituel protocolaire en vigueur en la matière : Honneurs militaires, Remise de la Lettre de Rappel des Ambassadeurs précédents au Chef de l’Etat, Présentation de la Lettre de Désignation du Diplomate entrant, Entretien entre le Chef de l’Etat et le nouvel Ambassadeur.
SEM Rolf M. Hay Pereira HOLMBOE est le nouveau Chef de la Représentation diplomatique du Royaume de Danemark au Mali. Il était, jusqu’à sa nomination en 2020, Ambassadeur du Danemark au Pakistan.
Le Chef de l’Etat a ensuite reçu les Lettres de Créance de son SEM José Hornero GóMEZ, Ambassadeur du Royaume d’Espagne au Mali. Titulaire d’une Licence en Droit, SEM GóMEZ était Conseiller d’Ambassade jusqu’à sa nomination.
C’était ensuite au tour de SEM Carlos Eduardo de Ribas GUEDES, le nouvel Ambassadeur de la République Fédérale du Brésil au Mali, de présenter ses Lettres de Créance au Président N’DAW. Titulaire d’un diplôme en Communication sociale, le diplomate a effectué plusieurs missions permanentes à l’Etranger. Il a bénéficié de Cours de Perfectionnement de Diplomate à l’Institut Rio Branco du Ministère Brésilien des Relations Extérieures.
SEM Barry Robert LOWEN, Ambassadeur du Royaume Uni de Grande Bretagne, a bouclé la boucle de cette séquence de Présentation des Lettres de Créance. Le diplomate Anglais a occupé de 2017 à 2020 la Fonction de Chef de la Représentation diplomatique du Royaume Uni à Alger.

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Communiqué du Conseil des Ministres du mercredi 13 janvier 2021

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le mercredi 13 janvier 2021, par visioconférence, sous la présidence de Monsieur Bah N’DAW, Président de la Transition, Chef de l’Etat.
Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a :
– adopté des projets de textes ;
– procédé à une nomination ;
– et entendu des communications.

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Œuvres sociales du Président de la Transition : deux centres de santé bénéficient du programme d’électrification solaire

La mise en place de systèmes solaires dans les structures sanitaires publiques se poursuit de manière soutenue. Après l’équipement du service d’Odonto-Stomatologie, de l’Hôpital Dermatologique de Bamako, de l’Hôpital du Mali, du Centre de Santé de Référence (CSRéf) de la Commune III, ainsi que du Centre National de Transfusion Sanguine (CNTS), le Centre de Santé Communautaire de Djicoroni-Djénékabougou (ASACODJENEKA) et celui de Lafiabougou (ASACOLA II) viennent à leur tour d’être dotés d’installations solaires. La cérémonie officielle de mise en service s’est tenue, vendredi 9 mai 2025, en présence du Ministre de la Santé et du Développement Social, le Médecin-Colonel Assa Badiallo TOURÉ, accompagné d’une délégation de la Présidence conduite par le Conseiller spécial du Président de la Transition chargé des œuvres sociales, M. Aguibou DEMBÉLÉ, ainsi que des autorités administratives et locales. Cette initiative s’inscrit dans le cadre des œuvres sociales impulsées par le Président de la Transition, le Général d’Armée Assimi GOÏTA. Grâce à ces équipements solaires, les deux centres renforceront la continuité et la qualité de leurs prestations, notamment en matière de soins d’urgence, tout en s’affranchissant des contraintes liées aux délestages électriques. Dans son intervention, le Ministre de la Santé et du Développement Social a salué cette action tangible du Chef de l’État, qu’il a qualifiée de levier stratégique pour la résilience et la performance du système de santé national. Pour sa part, le Conseiller spécial Aguibou DEMBÉLÉ a réaffirmé la volonté du Président de la Transition d’élargir ce programme à l’ensemble des régions du pays, dans le but de garantir un accès durable et sécurisé à l’énergie pour toutes les structures sanitaires.

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COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 21 JUIN 2023 CM N°2023-26/SGG

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le mercredi 21 juin 2023, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat. Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a : – adopté des projets de texte ; – procédé à des nominations ; – et entendu des communications. AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES Sur le rapport du ministre de la Refondation de l’Etat, chargé des Relations avec les Institutions, le Conseil des Ministres a adopté un projet de loi autorisant le Gouvernement à prendre certaines mesures par ordonnances. 1. Le présent projet de loi est initié en application des articles 74 de la Constitution et 13 de la Charte de la Transition. Il vise à autoriser le Gouvernement à prendre, par ordonnances, des mesures qui sont normalement du domaine de la loi, durant la période comprise entre la clôture de la session ordinaire du Conseil national de Transition ouverte le 03 avril 2023 et l’ouverture de la session ordinaire du mois d’octobre 2023. Le projet de loi adopté habilite le Gouvernement à prendre des mesures nécessaires pour la réalisation de son programme dans les domaines ci-après : – la création, l’organisation et le contrôle des services et organismes publics ; – l’organisation de la production ; – les statuts du personnel ; – les traités et accords internationaux. 2. Sur le rapport du ministre des Transports et des Infrastructures, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation et aux modalités de fonctionnement du Centre national de Recherche et d’Expérimentation en Bâtiment et Travaux publics. Le Centre national de Recherche et d’Expérimentation en Bâtiment et Travaux publics a pour mission de contribuer à la définition et à la mise en œuvre de la politique nationale en matière de recherche et d’expérimentation dans le domaine du Bâtiment et des Travaux publics. Après plusieurs années de fonctionnement, le centre est confronté à des difficultés liées, notamment : – à la concentration des activités du Centre autour des prestations génératrices de revenus en sous-traitance avec les bureaux d’études et les entreprises ; – à la timide réalisation des programmes de recherche due à l’insuffisance de moyens financiers et humains ; – à la non implication du Centre à la vérification de la qualité et de la conformité des matériaux de construction importés et fabriqués localement ; – à la non implication du Centre dans les projets d’envergure nationale ; – à l’insuffisance d’équipement adéquat pour l’exécution de ses missions. Par ailleurs, l’adoption de la Loi n°2019-048 du 24 juillet 2019 régissant les laboratoires du bâtiment et des travaux publics et du Décret n°2022-075/PT-RM du 17 février 2022 fixant les conditions de qualification et de classification des laboratoires spécialisés dans les études géotechniques, au contrôle de qualité des sols et des matériaux de construction exige d’adapter le cadre législatif et réglementaire du Centre au nouveau contexte institutionnel. Les présents projets de texte sont adoptés dans ce cadre. Ils redéfinissent les missions du Centre et l’érigent en laboratoire de référence national en lui assignant de nouvelles attributions, entre autres : – la vérification de la qualité des matériaux de construction et leur mise en œuvre pour garantir la sécurité et la durabilité des infrastructures ; – la contribution au contrôle et à la surveillance des travaux neufs et d’entretien du secteur du bâtiment et des travaux publics pour s’assurer du respect des normes, favoriser la maîtrise des délais contractuels ; – la vérification de la qualité des matériaux conventionnels de construction avant leur mise sur le marché pour contraindre les producteurs et importateurs au respect des caractéristiques normatives et contribuer à la prévention des risques d’effondrement ou de vieillissement précoce des infrastructures ; – l’élaboration de la carte géotechnique du Mali. 3. SurlerapportduministredesMines,del’Energieetdel’Eau,leConseildes Ministres a adopté : – un projet de loi portant Code minier en République du Mali ; – un projet de loi relatif au contenu local dans le secteur minier. La Réforme du secteur minier est une des fortes recommandations des Assises nationales de la Refondation. Elle s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des trois (03) principes édictés par le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Colonel Assimi GOITA et qui gouvernent l’action publique, à savoir : – le respect de la souveraineté du Mali ; – le respect des choix stratégiques et de partenaires opérés par le Mali ; – la prise en compte des intérêts vitaux du peuple malien dans les décisions prises. Dans le but de faire profiter les potentialités minières et énergétiques à l’ensemble de la population, le Gouvernement a engagé une série de réformes dans le secteur minier. C’est ainsi que furent adoptés, successivement les Codes miniers de 1963, 1970, 1991, 1999, 2012 et 2019. L’Ordonnance n°2019-022/P-RM du 27 septembre 2019 a apporté plusieurs innovations. En dépit de ces innovations, il est apparu des insuffisances de fond pour une amélioration substantielle de la contribution du secteur minier à l’essor économique et social. Ces insuffisances portent essentiellement sur : – la faible intégration de l’activité minière à l’économie nationale malgré le contexte favorable marqué par la hausse du cours de l’or ; – le manque d’inclusivité dans la signature des Conventions d’établissement et l’approbation des avenants introduits par les sociétés minières ; – l’insuffisance des moyens de contrôle de l’Etat sur l’exploitation minière ; – les procédures d’ouvertures de comptes offshores ; – la non prise en compte dans la législation minière du traitement de minerai par péage ; – les contraintes liées à un système de convention d’établissement unique qui couvre la phase de recherche et la phase d’exploitation ; – les prises d’engagements par l’Etat sur l’exploitation avant même la découverte du gisement ; – la faiblesse des textes nationaux par rapport au contenu local. Les projets de loi sont adoptés afin d’apporter des solutions aux insuffisances relevées. Ils réaffirment la

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