Paix et Réconciliation

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Audience accordée par le Chef de l’État à l’Ambassadeur du Sénégal au Mali

L’Ambassadeur du Sénégal au Mali, SEM Birame Mbagnick DIAGNE a rendu, une visite de courtoisie, le jeudi 08 octobre, à SEM Bah N’DAW, Chef de l’Etat. Le Diplomate sénégalais est venu remettre la lettre de félicitations que SEM Macky SALL a adressée au Chef de l’Etat. « Ça été l’occasion de lui transmettre les salutations fraternelles de son frère, le Président Macky SALL et ses vœux ardents de succès dans cette transition que nous venons de démarrer ici au Mali » a-t-il confié à la presse. Après les civilités d’usage, les échanges ont essentiellement porté sur la coopération bilatérale entre les deux pays. A ce sujet, M. DIAGNE a souligné que le Mali et le Sénégal entretiennent des relations économiques et commerciales très fortes, mais également, historiques, culturelles et familiales. On retiendra ainsi de lui que le Mali est le premier partenaire commercial du Sénégal dans la sous-région UEMOA et même au niveau de la CEDEAO. L’Ambassadeur DIAGNE a également rappelé que sur le plan politique, les deux pays ont toujours eu une convergence de vue dans tous les domaines. C’est pourquoi, il dit avoir bon espoir que cette coopération va être renforcée à sa juste valeur.

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Conseil extraordinaire des ministres : Les raisons et opportunités du retrait du Mali de la CEDEAO

Le Chef de l’État, Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Président de la Transition, a  présidé le lundi 29 janvier 2024, un Conseil extraordinaire des ministres dans la salle des banquets du palais de Koulouba. L’ordre du jour portait sur les raisons et les opportunités du retrait du Mali et des autres pays de l’Alliance des États du Sahel (AES) de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, M. Abdoulaye DIOP, a souligné que le retrait des trois pays, le Mali, le Burkina Faso, et le Niger, de la CEDEAO était une décision nécessaire en raison de la menace que cette organisation représentait pour la souveraineté et les intérêts vitaux de ces nations. Il a indiqué que la CEDEAO avait été détournée de ses principes fondateurs et utilisée contre les institutions, les États, et les populations des pays membres. DIOP a ajouté que les Chefs d’État avaient pris cette décision dans l’intérêt de la survie des pays concernés, mettant en avant les trois principes énoncés par le Président de la Transition : le respect de la souveraineté du Mali, le respect des choix stratégiques et des choix des partenaires opérés par le Mali, la défense des intérêts vitaux du peuple malien dans les décisions prises. Il a aussi souligné la nécessité pour les pays de travailler dans leur intérêt, en dehors des influences extérieures néfastes. Pour sa part, le ministre de l’Économie et des Finances, M. Alousséni SANOU, a expliqué les opportunités économiques que ce retrait offrait aux pays de l’Alliance des États du sahel. Il a mis en avant la possibilité de développer un marché intérieur fort, stimulant la croissance économique et assurant une autonomie politique et économique. M. SANOU a également souligné les avantages financiers, notamment en termes de balance commerciale et d’investissements directs étrangers, qui découleraient de cette décision. Il a insisté sur la flexibilité nouvellement acquise pour négocier avec d’autres pays et la capacité de protéger les entreprises locales. Le ministre de l’Economie et des Finance a ensuite rappelé que le Mali avait surmonté des défis par le passé et exprimé sa confiance dans la résilience et l’intelligence du pays pour prendre en main son destin. Les ministres ont souligné que cette décision de retrait de la CEDEAO ouvrait des perspectives considérables pour l’autonomie politique et économique des pays de l’AES, tout en soulignant la nécessité de travailler ensemble pour concrétiser les objectifs de refondation initiés par les plus hautes autorités.

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NOUVEL AN : Vœux du personnel de la Présidence au Chef de l’État

Le personnel de la Présidence a présenté, ses vœux de Nouvel An, ce vendredi 14 février 2025, au Président de la Transition, SE le Général d’Armée Assimi GOÏTA, Chef de l’État. Cette cérémonie, au-delà de son caractère symbolique, est une preuve du dévouement et de l’engagement du personnel de la Présidence au côté du Chef de l’État pour œuvrer ensemble pour la grandeur de la patrie. Au nom de l’ensemble du personnel, le Ministre Secrétaire Général de la Présidence, Dr Alfousseyni DIAWARA, a présenté au Chef de l’État, ainsi qu’à sa famille des vœux de bonheur, de succès, de longévité et de santé. Il a mis l’occasion à profit pour rappeler quelques hauts faits ayant impacté positivement la vie de la Nation durant l’année écoulée, notamment la lutte implacable contre la corruption, l’élaboration d’une Charte pour la paix et la réconciliation nationale, la réforme et la gouvernance minière, la montée en puissance des Forces de défense et de sécurité et les réformes institutionnelles et politiques. Le ministre a également souligné l’importance des Œuvres sociales du Chef de l’État, véritable source d’espoir pour les couches vulnérables partout sur le territoire national. Dr Alfousseyni DIAWARA a réitéré à Son Excellence le Président de la Transition, l’engagement indéfectible du personnel de la Présidence. Il a salué à juste titre la nomination de certains collaborateurs aux plus hautes fonctions, notamment comme Ministre, Ambassadeur ou même membre des Commissions de travail dans le cadre des réformes institutionnelles. Le Président de la Transition a salué le cadre d’échanges convivial que représente cette cérémonie dans le renforcement des liens de collaboration. Le Général d’Armée Assimi GOÏTA s’est également réjoui de la constance des efforts de ses collaborateurs pour veiller à la bonne utilisation des ressources de l’État, qui dénote d’un engagement collectif en faveur de la transparence et de l’efficacité. En raison des défis énormes auxquels fait face notre pays, il a exhorté le personnel à continuer à s’approprier, dans leurs tâches quotidiennes, les trois principes constitutionnels qui guident l’action publique au Mali. « C’est en se conformant à ces principes que chaque Malienne et chaque Malien réussira à conforter sa citoyenneté », a-t-il poursuivi.

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